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L’info est relatée par l’Est Républicain. A l’issue de sa garde à vue, un Doubien de 24 ans a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il est soupçonné d’avoir jeté des grosses pierres sur des véhicules en circulation, notamment depuis la passerelle d’Etalans.

Selon le quotidien régional, « une quinzaine de personnes ont déjà porté plainte Â». D’autres pourraient leur emboîter le pas. Les investigations se poursuivent. L’article de presse précise que l’individu nie les faits qui lui sont reprochés.

Sept membres de la Fédération de chasse de Haute-Saône ont comparu durant deux jours devant le tribunal correctionnel de Vesoul pour la destruction d’espèces protégées dans une réserve qu’ils géraient.

Des peines de 4 à 9 mois de prison avec sursis ont été requises ce vendredi à l'encontre de l'ancien directeur de la Fédération des chasseurs de Haute-Saône, du responsable technique et de trois apprentis, accusés d'avoir exécuté près de 200 animaux protégés entre 2010 et 2013.

La justice rendra sa décision le 1er décembre prochain.

Un accident s’est produit cet après-midi vers 16h30, entre Ney et Monnet la Ville. Deux voitures se sont percutées. On déplore deux blessés légers qui ont été pris en charge par les secours.

L’exposition du service des Archives de la Ville de Pontarlier et de la Communauté de Communes sur la vie quotidienne durant la Première Guerre Mondiale se poursuit jusqu’au 16 octobre à la salle annexe des Annonciades.

Ce vendredi matin, une classe de seconde du lycée professionnel Saint Bénigne s’est rendue sur place pour la visiter. Guidés par une responsable des Archives et leur enseignante, Mme Quelet, les jeunes ont découvert les atrocités de cette triste période de notre histoire et ses répercussions sur la vie quotidienne des Pontissaliens et des habitants du Haut-Doubs. Stanley a découvert que durant cette guerre, les habitants de son quartier avaient vécu ce conflit de l’intérieur. « C’est incroyable ce que ces habitants ont vécu alors que je pensais qu’il ne s’était jamais rien passé dans mon quartier» explique l’adolescent.

Les jeunes ont apprécié que cette exposition relate des faits locaux. Nicolas, Bryan, Camille, Dorian et leurs petits camarades ne sont pas restés indifférents à ce qu’ils ont vu et entendu. Les objets et les écrits de l’époque apportent une réalité indiscutable aux faits. « Des enfants n’allaient plus à l’école car ils devaient aider leur mère au travail des champs. A notre âge, nous sommes encore à l’école, alors qu’eux, moins âgés que nous, travaillaient déjà Â» explique Dorian. Stanley a retenu que «  les réfugiés, qui sont arrivés en France pendant la guerre, ont apporté aide et soutien aux familles françaises Â». Il aimerait qu’en 2016 « la population porte un regard différent sur eux Â». Pour les autres jeunes, le réconfort adressé dans les lettres envoyées aux combattants par leurs compagnes, la mobilisation de tout un territoire ou encore le rationnement pour la nourriture les ont touchés.

Selon la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), le non-remplacement des professeurs a déjà fait perdre près de 2500 jours de cours aux élèves français depuis la rentrée 2016. Dans le département du Doubs, l’association n’est pas alarmiste. Loin de là.

Si Mme Bonnet, la responsable de la FCPE du Doubs, constate quelques difficultés ponctuelles notamment dans les établissements scolaires en zone rurale, elle assure que les absences d’enseignants restent modérées dans le département depuis septembre dernier. « Nous n’assistons pas à une vague d’ampleur» explique-t-elle. Et de poursuivre : Â« Nous avions plus de difficultés en juin qu’en septembre cette année. Lors de la dernière année scolaire, l’hiver passé, il était devenu compliquer de trouver des remplaçants pour assurer certaines disciplines Â»

Où y a pas cours ?

Au niveau national, pour mieux recenser les difficultés, la FCPE a mis en ligne sur son site internet un lien qui permet aux parents de signaler le non remplacement d’un ou plusieurs enseignants dans un établissement scolaire. Pour communiquer une information, il suffit de se connecter sur : ouyapacours.fcpe.asso.fr. Les données sont ensuite prises en compte et présentées à l’Education Nationale afin de régler au plus vite ces situations.

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