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En cette période où l’info n’invite pas vraiment à l’enthousiasme et à la rigolade, nous avons décidé d’aller prendre l’air à Métabief. Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls. Quelques amoureux des sports de glisse ont profité de cette belle journée de mercredi pour sortir, sans doute une dernière fois, les snowboards et les skis. Certes, le nombre de pistes est réduit et la quantité de neige est limitée mais il est encore possible de se faire plaisir.

 Â«Nous sommes ravis. Pour une fin de saison, c’est impeccable. Nous sommes venus passer quelques jours à Métabief en famille. Nous ne sommes jamais déçus de la station Â» explique Patricia. « On s’est vraiment éclaté. On est seul sur les pistes. C’est le top. On a mangé au bord des pistes. C’est comme si on était en vacances alors que l’on est près de chez nous. C’est la classe Â» complète Lucile. Serge est un skieur du matin. « C’est le moment de la journée où la neige est la meilleure Â». « On arrive à la fin. Il y a plus guère de jours pour en profiter Â» conclut-il.

 Si les conditions le permettent, la station de Métabief devrait rester ouverte jusqu’au 26 mars.

Un accident s’est produit ce matin, vers 7h45, au centre-ville de Besançon, avenue Denfert Rochereau. Deux voitures sont impliquées.

On déplore deux blessés légers qui ont été transportés à l’hôpital de la ville. L’une des victimes a dû être désincarcérée avant d’être prise en charge par les secours.

Concernant les empoisonnements mis en lumière dans des cliniques bisontines, les victimes s’organisent. Elles viennent de créer une association pour mieux préparer la bataille judiciaire à venir.

Rappelons que le médecin anesthésiste soupçonné d’être impliqué dans ces affaires a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Les investigations, qui se poursuivent, évoquent sept empoisonnements dont deux mortels. Une quarantaine d’autres affaires sont encore possibles. Certains cas pourraient être mortels.

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à envoyer un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Dans le cadre de l’opération sentinelle, une vingtaine de policiers français et suisses étaient mobilisés hier soir sur le territoire pontissalien. Précisément, ce sont six gardes-frontières, cinq représentants de la police aux frontières, cinq autres du commissariat de police de Pontarlier et deux agents de la police municipale qui ont été réquisitionnés pour l’occasion.

« Cette opération s’inscrit dans le cadre des accords de Paris et de la lutte contre l’immigration clandestine, le terrorisme et le trafic de stupéfiants et d’armes Â» explique le Commandant Trousseau, le patron de la police de Pontarlier. Et de poursuivre : « nous sommes toujours contents de pouvoir échanger des informations avec nos collègues suisses. Les délinquants ayant bien compris l’intérêt qui peut y avoir d’être proche d’une frontière Â».

Hier soir, 50 personnes et 3 bus de voyageurs ont été respectivement contrôlés en gare ferroviaire et routière de Pontarlier. Des contrôles ont également été effectués sur la route nationale 57. Soit 150 véhicules et environ 300 personnes ciblés. Plusieurs infractions et délits ont été relevés. Parmi lesquels, un défaut d’assurance et une conduite sous l’emprise de stupéfiants. D’autres infractions relatives au code de la route feront également l’objet de poursuites. Le Commandant Trousseau le confirme, «d’autres actions identiques sont d’ores et déjà prévues sur le territoire pontissalien Â».

Concernant le triple infanticide de Doubs, la Procureure de la République de Besançon a tenu une conférence de presse hier après-midi. Elle a expliqué qu’au cours de sa garde à vue, la mère a reconnu s’être débarrassée de ses nourrissons.

Cette femme a accouché seule et s’est débarrassée de ses enfants en les étouffant avec une serviette avant de les mettre dans des sacs. Selon la procureure, les infanticides ont été commis dans un contexte de déni de grossesse.. Les jumeaux sont nés en novembre 2016. La naissance de l’autre enfant remonte à fin 2015.

La garde à vue des parents a été prolongée. La mère devrait être mise en examen dans la journée. Quant au père de famille, sa situation reste incertaine. Les enfants du couple, âgés de 3 et 7 ans, ont été confiés à des membres de la famille.

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