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Samedi 5 décembre à Pontarlier, un homme a percuté un véhicule stationné. Il s’est alors sauvé quelques mètres plus loin, où il s’est pris la tête avec un témoin. Interpellé par les policiers, il s'est ensuite rebellé et a  outragé les forces de l’ordre. Un dépistage a révélé une alcoolémie de 2,2 grammes d’alcool par litre de sang après pondération.

Son véhicule n’était pas assuré, et un poignard a été trouvé dans la poche de son pantalon. L’individu a été placé en cellule de dégrisement, puis en garde-à-vue. Il a reconnu les faits, et sera présenté à la justice en mars 2021.

Vendredi 4 décembre à 18h, un homme âgé de 21 ans a percuté une voiture stationnée avec son véhicule à Pontarlier. Les dépistages se sont avérés négatifs, mais un contrôle effectué par des policiers a révélé que cet individu roulait en ayant son permis de conduire annulé. Il sera déféré devant la justice prochainement.

Un jeune homme de 25 ans a été pris à partie par des individus le 3 décembre dernier, alors qu’il se rendait aux environs de midi, dans le secteur Battant, pour une rencontre suite à un rendez-vous sur internet. C’est alors que deux individus s’en sont pris à lui, le sommant de leur remette du numéraire. Les agresseurs lui ont fait les poches, subtilisant son porte-monnaie et la clé d’un véhicule. La victime doit son salut à des témoins Epileptique, cette dernière a été prise en charge par les sapeurs-pompiers.

Les agresseurs présumés ont été interpellés moins d’une heure après les faits. Agés de 19 et 20 ans, ils sont défavorablement connus de la police. Ils ont été placés en garde à vue. Une petite quantité de résine de cannabis a été retrouvée sur l’un d’eux. A l’issue de l’audience du 4 décembre, ils ont été écroués, dans l'attente d'un jugement en comparution immédiate fixé au 30 décembre prochain.

 

Alors que s’achève le mandat de Marie-Guite Dufay, la présidente socialiste en Bourgogne-Franche-Comté, et à l’approche du 5ème anniversaire de l’entrée en application de la loi « Notre Â» relative à la fusion des régions, Alain Joyandet, président de la commission des finances de la région Bourgogne-Franche-Comté faisait ce lundi matin le bilan de ce quinquennat. Il déplore une gestion qui selon lui, a coûté très chère aux francs-comtois, en n’apportant rien aux bourguignons. Un bilan qui remet en cause la pertinence de cette fusion, et qui a mené à un endettement global plus important pour ces deux territoires. Le sénateur tire la sonnette d’alarme en pointant du doigt « l’explosion des dépenses de fonctionnement Â» et le budget 2021 totalement « insincère et irréaliste Â» d’après lui.

Depuis la réouverture des commerces le 28 novembre dernier, des professionnels de santé déambulent dans le centre-ville de Besançon. Ils sont chargés d’aller au-devant des commerçants et du grand public, afin de rappeler les gestes barrière à adopter pour éviter une troisième vague de Covid-19, notamment pendant les fêtes de fin d’année. Ils sont surnommés les ambassadeurs santé.

L’équipe des ambassadeurs

Pour l’heure, ils sont quatre à circuler du vendredi après-midi au dimanche, dans les secteurs et les lieux avec le plus d’affluence du centre-ville. Actuellement, l’équipe des ambassadeurs est composée de deux infirmières chargées de mission de santé publique à la ville, d'un médecin également chargé de mission de santé publique, et d'une personne en service civique. Ils seront bientôt renforcés par des infirmières bénévoles de l'association Asalée, ainsi que par d'autres services civiques.

Leur mission

Ils sont chargés d’aller à la rencontre des bisontins et bisontines, afin de leur rappeler les gestes protecteurs pour lutter contre la propagation de Covid-19. A l’aide de jeux de cartes ou de quizz, les ambassadeurs interpellent des passants, pour répondre à toutes leurs questions sur la pandémie, les moyens de s’en prémunir, et plus généralement de donner les bons réflexes de santé et le respect des mesures de sécurité sanitaire. Et pour ce faire, les professionnels de santé n'auront pas les mêmes techniques d'approche que la police et son côté répressif : " on a différents outils comme des jeux de questions-réponses, nous utilisons l'humour afin de désamorcer d'éventuelles tensions " souligne Eve Palumbo, infirmières chargées de mission de santé publique à la ville.

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