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Alors que la jolie Miss Franche-Comté Lauralyne Demesmay prépare la grande soirée du 15 décembre au cour de laquelle elle emportera peut-être la couronne de Miss France, on en sait un peu plus sur la robe qu’elle portera pour symboliser la région. Son créateur n’est autre que Cyril Varrault, gérant des boutiques « des sens aux fleurs Â» à Morteau et Valdahon.

Il a concouru pour avoir le droit d’habiller la jeune fille le jour J en proposant plus qu’un vêtement, une Å“uvre d’art. Trois éléments y sont représentés : l’agriculture avec la vache montbéliarde, le terroir avec le mont d’or et l’horlogerie avec un balancier d’horloge comtoise, le tout monté sur une solide armature.

Nul doute que Lauralyne ne passera pas inaperçue au milieu des 30 prétendantes. En tout cas, pour Cyril Varault qui sera dans la salle à Lille comme pour les téléspectateurs comtois, tous espèrent que pour la jeune fille ce sera son heure !

« Le but, collecter le plus grand nombre de jouets possibles. Ils seront ensuite remis aux Amis d’Emmaüs de Saint-Claude, afin d’offrir le Noël possible à tous les enfants Â» précise le club. 

Toutes les personnes qui le souhaitent peuvent se mobiliser pour cette opération, licenciés de Jura Sud Foot ou non, sympathisants, partenaires, collectivités. « Chacun peut organiser une collecte dans son coin et venir déposer les jouets au Club House de Jura Sud Foot, à Molinges, au stade Edouard Guillon, tous les jours en semaine de 17h30 à 20h30, jusqu’au vendredi 14 décembre, ou le Samedi 15 décembre au Stade de Moirans-en-Montagne, jusqu’à 15h30 Â».

Le Samedi 15 décembre justement, les clubs de Jura Sud Foot, Jura Lacs, Arbent, et Pont de la Pyle  participeront à un plateau Futsal U11, de 13h30 à 15h30. « Chaque participant viendra avec un jouet d'occasion , pour participer à la collecte Â». Un espace de jeu sera mis en place pour que les enfants en profitent entre les matchs et sera ensuite également offert aux Amis d’Emmaüs de Saint-Claude.

Toutes les équipes qui participeront au plateau futsal, ainsi que toutes les personnes qui auront apporté un ou des jouets pendant la période de collecte seront invitées à la rencontre de National 2, du Samedi 15 décembre à 17h, à Moirans, Jura Sud Foot – SC Toulon

L'édition 2018 du mois de la photographie a été lancée place aux Fleurs à Dole en présence de David Peltán, photographe tchèque originaire de Tabor, ville jumelle de Dole.

12 photographies prises autour de cette place par le jeune artiste sont à découvrir à l’extérieur et de nombreuses autres photographies d'artistes locaux sont également à voir dans différents commerces du centre-ville.

Les jeunes U11 de Planoise Chateaufarine dominent très largement leur championnat. Ce samedi après-midi, ce sont les petits footballeurs de Pouilley-les-Vignes qui en ont fait les frais. Le groupe de Kevin Joliduc s’est imposé sur le score de 7 buts à 0. En 2018, la formation n’a encore encaissé aucun but. La défense est solide. L’attaque est également au top.

Iyad (le capitaine), Oualid, Ayoub, Erwan, Mouad (gardien), Yassin, Marwan, Leeroy, Ahmadou et Ersan sont les valeurs sures de cette formation. Kevin, leur coach, qui passe une remarquable saison avec son groupe de petits footballeurs, tient également à remercier les parents, qui accompagnent leurs enfants chaque week-end. Un soutien des plus importants.

Après deux ans d’enquête, l’affaire Narumi Kurosaki va amorcer un nouveau virage. Un point presse s’est déroulé ce matin au tribunal de grande instance de Besançon par Etienne Manteaux, le Procureur de la République. Rappelons que Narumi Kurosaki cette jeune étudiante japonaise, venue étudier à Besançon, n’a plus donné signe de vie depuis le 4 décembre 2016.

Les investigations menées par les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon n’ont pas permis de retrouver le corps de la jeune étudiante japonaise. Et ce, malgré les nombreuses et importantes opérations menées. Les investigations ont donc été stoppées en octobre dernier. Les policiers ont notamment scruté plus d’un hectare de terrain boisé en forêt de chaux, pensant qu’ils auraient pu y trouver des éléments intéressants, étant donné que l’enquête a permis d’établir que la voiture de Nicolas Zepeda Contreras, le principal suspect dans cette affaire, avait stationné longuement à cet endroit, dans le secteur de Dole/Crissey plus précisément.

De précieuses informations ont néanmoins été récoltées et mettent à mal la défense de Nicolas Zepeda Contreras. La location d’une voiture à Dijon, localisée notamment à proximité de la cité universitaire bisontine et rendue recouverte de boue à la société bourguignonne, la soirée passée dans un restaurant à Ornans, l’achat d’allumettes, de produits inflammables et d’un pulvérisateur de détergent avec sa carte bancaire, la présence d’une empreinte de ce dernier sur une tasse dans la chambre de l’étudiante et ses contradictions lorsqu’il a été entendu par les autorités chiliennes sont autant d’indices graves et concordants qui le mettent en cause.

Malgré ses éléments troublants, le mandat d’arrêt international envoyé aux autorités chiliennes, via Interpol, est toujours dans l’impasse. C’est la raison pour laquelle, une commission rogatoire internationale sera formulée d’ici la fin de l’année afin qu’un magistrat instructeur français puisse se rendre au Chili pour entendre le jeune suspect. Cette possibilité est néanmoins  suspendue à la décision des autorités chiliennes, qui peuvent s’y opposer. En cas de refus, l’éventualité d’un procès devant une cour d’assise en France, sans Nicolas Zepeda Contreras, est envisagée. Ce qui serait « une déception Â» a reconnu Etienne Manteaux.

Depuis octobre dernier, les enquêteurs bisontins ont cessé les recherches permettant de retrouver le corps de Narumi Kurosaki. Pour les autorités judiciaires et policières, le décès de la jeune femme ne fait malheureusement plus aucun doute. Désormais chacun compte sur une bonne collaboration avec les autorités chiliennes.

Narumi Kurosaki n’a plus donné signe de vie depuis le 4 décembre 2016. Des cris ont été entendus par des voisins proches de la chambre de l’étudiante la nuit de sa disparition. Les achats, mails ou SMS, enregistrés depuis sa carte bancaire, son téléphone portable et son adresse IP laissent penser qu’ils ont été effectués et envoyés par un tiers après le meurtre de la jeune femme. La disparition de l’étudiante japonaise reste un mystère à ce jour.

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