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Le vol s’est déroulé dans la nuit du 4 au 5 septembre à la Villa des Roses à Dole. La Brigade Airsoft Doloise rappelle dans leur publication qu’il y a beaucoup de matériels à l’intérieur. Il s’agit d’un camion de la marque Peugeot, un modèle J5 Adriatik datant de 1991, immatriculé BR 366 TC. Il est reconnaissable grâce à ses bandes rouges de chaque côté du toit. Une prime est offerte à qui retrouvera le camping-car, sans plus de précision à son sujet.

D’après un commentaire écrit par l’association sous la publication, les caméras de la ville de Dole n’ont pas été visionnées.

Si vous l’apercevez, la Brigade Airsoft Doloise vous invite à leur envoyer une photo en message privé sur leur page Facebook.

C’est l’événement de la rentrée, le retour du Mont d’Or. Pour affronter la baisse des températures, rien de mieux qu’un Mont d’Or souvent accompagné d’une saucisse de Morteau.

Comme chaque année, le 10 septembre annonce le retour en magasin et en fromagerie de ce fameux fromage du Haut-Doubs. Plus que quelques heures à attendre pour les plus impatients…

A noter également, que la Confrérie du Mont d’Or défilera jeudi soir à la Haute-Foire avant la traditionnelle coulée du Mont d’Or.

Dans le cadre de travaux d’amélioration et de nettoyage du centre-ville de Saint-Claude, ce dernier est interdit à la circulation et au stationnement en ce début de semaine.

Sont concernées pour les deux interdictions la place de l’Abbaye, les rues du Marché, de la Poyat et du Pré, de ce lundi 9 septembre à 6h au mardi 10 septembre à 18h.

Des déviations sont mises en place. Pour les automobilistes venant de Genève par la D436 et de Chaumont par la D304 en direction du centre-ville, Saint-Laurent et Morez, il faut passer par la rue Carnot, l’avenue de la Libération et la rue Saint-Blaise. Quant à ceux en provenance de la route de Lyon (D436) direction le centre-ville, les différentes déviations se font rues Saint-Blaise, du Miroir et l’avenue de la Gare.

De plus, le passage du Colombier est en double sens pendant cette période pour avoir accès aux rues du Château et Mercière ainsi qu’à la Place du Château.

Ce dimanche soir, en parallèle de la commémoration célébrant le 75è anniversaire de la libération de Besançon, Jean-Louis Fousseret, le maire bisontin, a annoncé le lancement du projet de rénovation du musée de la résistance et de la déportation de Besançon. Avant le début du chantier, qui devrait débuter dans le courant du deuxième semestre 2020, les collections du site seront déménagées, pour mieux revenir dans le nouvel espace aménagé. Le musée fermera ses portes à la fin de l’année. Sa réouverture est prévue le 8 mai 2022. Le coût de ce chantier est estimé à 5 millions d’euros.

Jean-Louis Fousseret a expliqué que la Ville de Besançon souhaitait créer « un véritable outil pédagogique à destination de tous les visiteurs, et notamment des jeunes Â». Pour l’élu, le futur musée de la résistance et de la déportation doit être « un outil de questionnement et de réflexion pour construire le monde de demain Â».

Pierre Lorinet, déporté bisontin

Mr Pierre Lorinet fait partie de ces déportés bisontins qui ont participé à la création de ce musée, né en 1971 à la Citadelle. Président d’honneur du site, il explique qu’il était important pour lui et ses amis de raconter les horreurs de la guerre. Néanmoins, cette démarche ne fut pas des plus simples. D’une part, parce que ces atrocités ont marqué à jamais ces grands hommes, mais aussi parce que la population française n’a pas toujours cru ce que ces héros racontaient. « Au début, personne ne nous croyait. Ca ne passait pas Â» explique Mr Lorinet. Il a fallu que les médias de l’époque diffusent des photographies et autres messages sonores pour que les mentalités évoluent. « Nous avons attendu 25 ans avant de raconter Â» conclut Pierre Rolinet.