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La nuit des étudiants du monde, événement national d’accueil des étudiants internationaux, fait une halte demain, vendredi 13 septembre, à Besançon. Il s’agit d’un moment festif de partage visant à souhaiter la bienvenue aux étudiants venus d’ailleurs et leur permettre de rencontrer la population locale.

Au programme : A partir de 14h, les étudiants participeront à un jeu de piste. A 18h, animation à la Rodia, suivie de 21 heures à 2 heures d’un concert dans cette même salle de spectacle. Soirée gratuite pour les étudiants sur réservation auprès de l’association ESN Besançon. Sinon, 8€ en prévente // 10€ sur place pour le grand public.

L’ESBF a remporté, ce mercredi soir, sa rencontre contre Bourg-de-Péage, comptant pour la 4è journée de  D1 féminine. Les Bisontines se sont imposées sur le score de 20 à 26.

Désormais, le groupe de Raphaëlle Tervel va se concentrer sur son match retour de Coupe d’Europe, contre les Portugaises de Colegio de Gaïa, qui se disputera ce samedi au palais des sports Ghani Yalouz. Rappelons qu’à l’aller, l’ESBF a battu son adversaire sur le score de 37 à 12. Soit 25 précieux buts d’avance

Une autopsie du corps retrouvé, samedi dernier, en forêt de Chaux, à Belmont, sera pratiquée ce jeudi. Il se trouvait dans un petit tunnel, sous la voie ferrée.

Le corps est apparu fortement dégradé. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait du corps d’un homme. La piste de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki semble donc ne pas tenir. Les investigations se poursuivent.

Bonne pioche pour les policiers pontissaliens. Le 7 septembre dernier, ces derniers ont surpris un jeune homme de 24 ans en possession de plusieurs articles, dont cinq contrefaits. Dans le coffre de sa voiture, les policiers ont notamment constaté la présence d’une paire de basket et de deux montres, de marques Hublo et Diesel, dont la valeur, en tout cas pour la première, lorsqu'elle n'est pas factice, peut atteindre 27.000 euros.

Le lendemain, lors de sa convocation au commissariat de police de Pontarlier, ce dernier a admis avoir acheté ces contrefaçons sur internet. Les produits ont été détruits et le vendeur a dû s’acquitter d’un redressement de 3.000 euros, qu’il a été en mesure de payer sur le champ.