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Dans un communiqué de presse, le sénateur Jacques Grosperrin, également président du Groupe Les Républicains, Centre-Société civile au sein du conseil municipal de Besançon, s’insurge contre l’état du Doubs à Besançon actuellement.

Il pointe « un spectacle désolant, où des pneus, des barrières de chantier et de la ferraille tapissent le fond de la rivière Â». Sans compter, « les plastiques qui flottent et s’amassent le long des rives Â».

Ces incivilités et cette pollution sont rendues beaucoup plus visibles avec le niveau du cours d’eau, qui a baissé avec le déficit en pluie, conjugué aux fortes chaleurs, de cet été. Le parlementaire et élu bisontin en appelle à la responsabilité de tous. « Il est temps de rendre le Doubs plus propre Â» conclut-il.

A Besançon, la famille du jeune Brahim (16 ans), grièvement blessé après une chute en scooter, alors qu’il était poursuivi par une voiture de la BAC, a décidé de porter plainte contre X pour violence aggravée. La famille veut comprendre ce qui s’est passé et ce qui a conduit le jeune garçon à prendre des risques. Le pronostic vital de l’adolescent est toujours engagé. Une enquête est en cours pour faire toute la lumière dans ce drame.

La Haute-Foire de Pontarlier s’est terminée hier. L’événement incontournable dans le Haut-Doubs a encore une fois fait carton plein.
Micropolis Besançon organisateur de l’événement en partenariat avec la Ville de Pontarlier tire un premier bilan de cette édition.

Ce sont près de 24 000 visiteurs qui se sont rendus à la Haute-Foire entre le jeudi 12 septembre et le lundi 16 septembre.
« Chaque journée a eu son point d’orgue Â» raconte Caroline Géhant de Micropolis Besançon. La soirée dédiée aux célibataires a fait le plein, tout comme le concert de Lilian Renaud le dimanche. Certaines fans attendaient même l’artiste depuis l’ouverture matinale de la Haute-Foire. Un concert qui était très attendu.

Des visiteurs et des exposants conquis, pari réussi pour cette édition ensoleillée. Micropolis vous donne rendez-vous dans deux ans pour de nouveau faire vivre cette Haute-Foire.

Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés aujourd'hui à Villers-le-Lac pour un accident de vélo. 

Une personne a chuté à vélo dans l'après-midi. Légèrement blessée, elle a été transportée au Centre Hospitalier de Pontarlier. 

Victime d’un accident de la route en novembre 2018, Raphaël est devenu paraplégique. Aujourd’hui, il fait le choix de combattre et tenter coûte que coûte de redonner vie à ses membres inférieurs. Lui et sa maman, Pascale, se sont installés à Pontarlier il y a quelques semaines pour suivre des soins et une rééducation spécialisée en Suisse à Bullet.
Rencontre avec ces deux battants...

Il y a presque un an, Raphaël perdait l'usage de ses jambes et plus généralement de ses membres inférieurs dans un accident de la route. Démarre alors pour lui et ses parents des rencontres incessantes avec des médecins, des infirmiers, des chirurgiens. Les médecins sont unanimes quant à Raphaël, il ne marchera plus, sa moelle épinière a été sectionnée. 

Pascale s'engage alors dans un combat pour comprendre ce qui est arrivé à son fils. Elle se renseigne auprès de professionnels de la santé et réussi à récupérer le dossier médical de son fils. Elle découvre alors que la moelle de Raphaël n'est pas sectionnée mais seulement compressée, une différence essentielle qui peut permettre à son fils de retrouver des sensations dans ses membres inférieurs. 

Un séjour en centre de réadaptation

A la sortie de l'hôpital, Raphaël est envoyé en centre de réadaptation. "Comme son nom l'indique, Raphaël n'était pas là-bas pour rééduquer les membres paralysés, mais bien pour apprendre à vivre dans cet état, en fauteuil, sans lui parler de différentes solutions pour lui" explique Pascale. 
Raphaël a alors appris à circuler en fauteuil, à passer d'un endroit à l'autre, mais rien de concret. "J'aurai aimé que l'on me donne des détails du quotidien, comme j'allais pouvoir circuler dans différents lieux mais aussi chez moi. Je voulais que l'on me dise que tout allait changer, que je n'allais plus pouvoir faire la cuisine comme avant, ou que j'allais même devoir réapprendre à me brosser les dents en fauteuil" raconte Raphaël.

Pascale qui avait décidé de ne pas lâcher a épluché les revues scientifiques et les plaquettes de centre de rééducations à l'étranger. Une fois que Raphaël était prêt mentalement a entamé une rééducation intense, la machine était lancée...

De nouveaux soins en Suisse pour garder espoir...

Il y a quelques semaines, Raphaël et Pascale se sont installés à Pontarlier pour pouvoir suivre des soins en Suisse à Bullet. "Nous avons choisi ce centre en découvrant que son directeur était tétraplégique et qu'il avait connu de réels progrès grâce à la rééducation" explique Pascale. 

En Suisse, Raphaël est suivi par un coach sportif qui lui propose des exercices de répétition et de force pour réanimer les muscles paralysés. 
Depuis le début des séances, les changements commencent à se faire sentir. "J'ai récupéré mes abdos et je peux faire de nouveaux mouvements de bassin que j'avais oublié" raconte Raphaël. En parallèle, il se rend à Lyon pour de la simulation cérébrale. "Le cerveau ne doit pas oublier ces muscles endormis. Il faut visualiser le muscle pour pouvoir le réactiver" décrit Pascale. 

Une opération pour revenir debout

Voyant la situation, Pascale a découvert la possibilité d'opérer Raphaël. Ainsi Raphaël serait laissé dans les mains d'un neurochirurgien qui lui implanterait un boîtier dans le dos, qui permettrait de restaurer les activités motrices grâce au cerveau. 
Cette opération n'est pas réalisable en France, alors Pascale et Raphaël cherchent encore quel neurochirurgien serait prêt à réaliser cette opération et dans quel pays. 

La création d'une association : Walk with Paraplegia

Pour mener au mieux ce combat, Pascale a créé une association Walk With Paraplegia pour permettre de financer l'opération de Raphaël mais pas que ! 
Elle souhaite aussi grâce à cette association faire prendre conscience aux victimes d'accidents quels qu'ils soient, que tout ne s'arrête pas après l'accident. La vie continue, et le combat ne fait que commencer. "Il faut se renseigner pour connaître toutes les possibilités qui s'offrent à nous. En France malheureusement, on ne vous donnera que ce qui se fait chez nous sans vous parler d ce qui est proposé par la médecine mondiale" explique Pascale. 

Si vous souhaitez soutenir cette famille, vous pouvez les retrouver sur Facebook : Walk With Paraplegia 
Leur site internet : Walk With Paraplegia
Le lien de la cagnotte pour les aider à financer les soins et l'opération : https://www.helloasso.com/associations/walk-with-paraplegia/collectes/surpasser-la-paraplegie/don?fbclid=IwAR0OqS7AjOSYdd8K9B2m9SLz81tpLNd_lCyfVHIWLJakrOsXNdekK23ZJTU

 

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