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Ce vendredi matin, les étudiants de l’Institut Régional du Travail Social (IRTS) de Franche-Comté se sont rassemblés devant la direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale de Besançon pour contester la réforme des diplômes du travail social qui s’annonce et dénoncer la précarité qui touche les étudiants. « Habituellement, nous nous battons pour les autres, cette fois-ci, il est important que nous nous battions pour nos droits Â» a expliqué Mylène, l’une des porte-paroles du mouvement.

C’est dans le cadre d’une opération nationale que cette action a vu le jour à Besançon. Concrètement, les étudiants admettent une reconnaissance du niveau de certains diplômes, qui passent de bac +2 à bac +3, soit un niveau licence, mais qui, en même temps, fragilisent leur cursus de formation, avec aucune possibilité de rattrapage en cas d’échec lors de leur examen final. Ils demandent également un financement public de leur stage, car les associations et autres organismes, faute de moyens, rechignent à prendre des stagiaires. Autre inquiétude, la reconnaissance de la valeur des diplômes délivrés antérieurement, qui pourraient entrer en concurrence avec les personnes nouvellement diplômées. Les étudiants redoutent également une évolution de leur mission, les éloignant du terrain et du contact avec les publics en difficulté.

Ces futurs travailleurs sociaux ont exprimé durant deux heures leurs inquiétudes devant les portes de l’administration. Ces dernières sont restées fermées. « On nous a expliqué qu’une nouvelle rencontre était inutile et que tout avait déjà été dit Â» regrettent les manifestants.

La revitalisation du centre-ville bisontin fait partie des enjeux que le député du Doubs Eric Alauzet, candidat aux élections municipales de Besançon, entend bien se préoccuper s’il arrive aux responsabilités. Mr Alauzet veut tester des initiatives durant un laps de temps, environ un an, pour ensuite en tirer des conclusions, avant d’envisager leur pérennisation.

Le stationnement, et sa gratuité entre 12h et 14 par exemple, la piétonnisation de certains secteurs, les modes de déplacement, la gestion des cellules commerciales vides, … sont autant de sujets que le candidat Alauzet entend traiter au plus vite.

Les visiteurs de la Saline royale pourront ressortir les patins et profiter de 300m2 de glace dès le 23 novembre et jusqu'au 12 janvier prochain. Une surface mise à disposition des amateurs de glisse pour la troisième année consécutive. Elle sera inaugurée la veille, le vendredi soir à 19h, par une troupe de patineurs incluant le champion du monde Brian Joubert. La patinoire deviendra de nouveau une scène de spectacle avec celui de Noël une semaine plus tard, le 30 novembre. Danses, ballets et numéro aérien seront au programme de cette soirée, qui commencera elle aussi à 19h.

En parallèle, un marché de Noël des métiers d'art et du savoir-faire viendra entourer ses deux galas, pendant les deux week-ends consécutifs.

En plus de ces différentes animations, l'exposition Le Monde de Jules Vernes prend sa place dans la saline jusqu'au 6 janvier.

Les réservations pour les spectacles se font au 03 81 54 45 45 ou sur le site www.salineroyale.com.

C’est parti pour environ 15 jours de mobilisation. Festisol, le festival des solidarités se tient jusqu’au 1^er décembre à Besançon. Pour cette 22è édition, le thème est « Face au changement climatique : réinventons les solidarités ».

Le collectif organisateur et sa quarantaine de partenaires proposeront de nombreux rendez-vous : concerts, expositions, conférences et spectacles. Pour tout savoir sur le programme de cet évènement www.recidev.org