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Un accident a fait sept blessés légers (4 adultes et 3 enfants) ce samedi après-midi, vers 14h30, à Brey et Maison-du-Bois, dans le Haut-Doubs. Les victimes ont rapidement été prises en charge par les secours et transportées sur le centre hospitalier de Pontarlier.

Entre 300 et 350 personnes, soutenant le combat des gilets jaunes, se sont réunies ce samedi après-midi à Besançon sur la place de la Révolution. Ce matin, une centaine de manifestants s’était rassemblée sur le rond-point de la piscine Mallarmé. Dans le cortège, les avis étaient très partagés. Certains regrettent le manque d’unité entre les différents mouvements sociaux actuels. « On ne veut pas de nous pour la mobilisation contre la réforme de l’assurance chômage. C’est incompréhensible. Il faut une convergence des luttes, sinon nous n’y arriverons pas Â» explique une manifestante très excédée. « Les syndicats ne veulent pas de nous car ils nous assimilent à des casseurs Â» ajoute-t-elle. Il est vrai que, ce samedi, au centre-ville bisontin, deux manifestations étaient organisées à deux endroits différents. Finalement, celle des gilets jaunes a rejoint brièvement la mobilisation d’AC Agir Contre Le Chômage, mais les tractations ont été longues.

Pour d’autres, « les plus de 300 manifestants encore présents ce samedi prouve que le mouvement n’est pas mort Â». Pour Frédéric Vuillaume, l’un des chefs de file du mouvement bisontin, « la répression policière, la sévérité de la justice, les nombreux arrêtés préfectoraux et le rassemblement régionale de Dijon Â» expliquent cette fréquentation moindre. Mr Vuillaume n’y voit surtout pas la mort du mouvement. Selon lui, la colère va encore monter d’un cran avec les réformes sociales qui s’annoncent. Le militant s’attend à une forte mobilisation, notamment le 5 décembre prochain, à l’occasion de la grande grève nationale annoncée.

Les gilets jaunes n’ont pas dit leur dernier. Ils appellent à une nouvelle mobilisation ce dimanche 17 novembre. Le rendez-vous est fixé à 10h sur le parking de la piscine Mallarmé.

Hier soir, à Besançon, vers 22h45, cinq personnels de l’établissement des Salins de Bregille ont ressenti des picotements dans les yeux.

Des moyens spécialisés en risque chimique ont été dirigés sur place et après reconnaissance il s'agissait d'un surdosage de chlore au niveau d'un bassin de balnéothérapie.

Les locaux ont été ventilés, aucune victime n'est à déplorer. Le nécessaire sera fait ce samedi au niveau du bassin par le responsable de l'établissement

Dans un communiqué de presse, l’association Les Vaîtes et les jardins des Vaîtes réagissent à la dernière conférence de presse tenue par Eric Alauzet, le candidat de la République En Marche aux élections municipale de Besançon, dans le quartier des Vaîtes jeudi matin, portant sur le projet d’écoquartier, actuellement suspendu sur décision de justice, et la démocratie participative.

Faisant allusion au projet des Vaîtes, les deux collectifs rappellent « qu’Eric Alauzet est membre de la majorité de Jean-Louis Fousseret, et qu’à ce titre, il porte une part de responsabilité de ce désastre écologique et démocratique ». Ils précisent que l’élu « n’a pas pris la peine de rencontrer ou d’écouter ni l’association Les Vaîtes – première association d’habitants, ni l’association des Jardins des Vaîtes – association de défense des jardins et de l’environnement ».

Les opposants écrivent que « ce projet est une aberration totale au vu des enjeux climatiques : atteinte à la biodiversité, destruction de zones humides, destruction de jardins populaires, effacement d'un îlot de fraîcheur, artificialisation de terres arables... ». Ils se disent néanmoins « heureux de constater que la question de l’artificialisation des sols aux Vaites est devenu centrale et que les choix faits par la municipalité sortante sont clairement remis en question ».

En conclusion, les deux collectifs reformulent aux différents candidats aux municipales bisontines leurs propositions. A savoir : une abandon du projet, une remise en état écologique des parties du site détruit par les travaux et une rediscussion avec les habitants et jardiniers des Vaîtes du Plan Local d’Urbanisme pour le quartier

"Y en a ras le bol. Hier nous sommes rentrés à pied" déclarent ces étudiantes excédées. Depuis le début de la rentrée scolaire et universitaire, se déplacer sur la ligne 3 est un véritable calvaire pour les usagers. Le matin, à 7h30, et en fin d’après-midi, entre 16h et 18h, les bus sont bondés. A tel point que certains jeunes ont choisi d’autres moyens de locomotion pour venir à l'université. Tellement la situation est tendue. Sans compter les jours, où il faut s’armer de patience pour espérer regagner son domicile. Cette ligne est fréquentée par les étudiants, mais également par les lycéens qui rejoignent quotidiennement le lycée Jules Haag.


Certes la ville et keolis semblent s'intéressés au problème en  mettant des navettes rapprochées mais il convient de reconnaître que les conditions restent fragiles et peu agréables, voir dangereuses. Les jeunes le promettent ils iront faire savoir en haut lieu leurs doléances. "D'autant plus que les contrôles sont de plus en plus nombreux en ce moment ". Attention à ce que la qualité du service soit en adéquation avec les tarifs appliqués.

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