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Comme l'a récemment déclaré le gouvernement, dans l'académie de Besançon, tous les personnels de plus de 55 ans, exerçant au contact des élèves en école, collège et lycée, bénéficient d'une priorité d'accès dans des centres de vaccination existants dans chaque département du territoire.

Pour prendre rendez-vous, les contacts sont les suivants :

Doubs

Besançon

Lignes téléphoniques pour la prise de rendez-vous des ayants droits : 03.81.61.51.00 ou 03.63 42.10.13

Pôle de vaccination : samedi 17 et Dimanche 18 avril matin, Gymnase RESAL, 13 rue Semard, Besançon.

Pontarlier

Lignes téléphoniques pour la prise de rendez-vous des ayants droits : 03 81 38 81 00 ou 07 88 16 97 30

Pôle de vaccination : samedi 17 avril (jusqu'à 20 h), Espace Pourny, Pontarlier.

Montbéliard

Ligne téléphonique dédiée pour la prise de rendez-vous des ayants droits : 03 84 98 39 90

Pôle de vaccination : samedi 17, lundi 19 et mardi 20 avril, Espace Victor Hugo, 1 rue Boileau, Montbéliard.

Jura

Ligne téléphonique dédiée pour la prise de rendez-vous des ayants droits : 03 84 86 84 15

Pôle de vaccination : samedi 17 avril à Jura-Parc, Lons-le-Saunier.
Pour les autres jours, les modalités seront transmises aux personnels qui se seront inscrits par la plateforme téléphonique.

Justificatifs pour l'accès à la priorité de vaccination

Pour bénéficier de cette priorité, après avoir pris rendez-vous, les personnels devront se munir, lors de leur venue dans le centre de vaccination, des pièces justificatives suivantes :
· Pièce d'identité en cours de validité (carte d'identité ou passeport)
· Carte Vitale ou attestation de droits
· Pièce justifiant de l'exercice en établissement scolaire (carte professionnelle, bulletin de salaire accessible sur l'ENSAP...)

Gabriel Attal, le Porte-parole du gouvernement, est dans le Jura ce vendredi. Aux côtés de Danielle Brulebois, députée de la 1ère circonscription du Jura, il se rendra d'abord au centre de vaccination du Juraparc, où il saluera la mobilisation de tous les professionnels de santé impliqués dans l'accélération de la campagne vaccinale.

Il se rendra ensuite à Sellières et Passenans à la rencontre d'agriculteurs, dans des exploitations affectées par les récents épisodes de gel qui ont particulièrement touché les arboriculteurs et viticulteurs.

Ces dernières années, les insultes sur les réseaux sociaux ne cessent de se décupler. Le monde du sport n’est pas épargné par le phénomène. Anonymat, paris sportifs, et absence de public dans les tribunes sportives participent à ce triste essor.

Le 18 septembre dernier, Gaël Monfils, joueur professionnel de tennis, décide de briser le silence. Le français, 9ème mondial à l’époque, sort d’une défaite au Masters 1000 de Rome, et reçoit une flopée d’insultes toutes plus immondes les unes que les autres. Racisme, menaces, tout y passe. S’en est trop pour le français, qui publie sur ses réseaux certains des messages reçus, afin d’alerter sur cette pratique de plus en plus courante, et de moins en moins soutenable. À la manière des mouvements #MeToo ou #BalanceTonPorc pour les femmes victimes de harcèlement sexuel, de nombreux sportifs soutiennent Gaël Monfils et publient à leur tour certaines des insultes reçues quotidiennement. Le cycliste Nacer Bouhanni, ou plus récemment les footballeurs Imran Louza et Thilo Kherer ont été particulièrement touchés par des attaques verbales d’une violence extrême. Comment en est-on arrivé là ?

Le fléau des paris sportifs

De plus en plus pointés du doigt par les sportifs de haut-niveau, les paris sportifs émergent aujourd’hui comme une des principales raisons de ce déferlement de haine en forte augmentation. Depuis quelques années, les Betclic, Winamax ou encore Unibet sont en plein essor, et les parieurs, souvent protégés par leur anonymat, n’hésitent pas à déferler leur haine sur ceux qu’ils jugent responsables de leurs pertes financières. À Besançon, le jeune ailier du GBDH Thibaud Arteaga a dû y faire face il y a quelques jours, après avoir manqué le tir de la gagne face à Strasbourg : « Je pense que les paris sont dangereux à ce niveau-là. Lors du match nul contre Strasbourg, j’ai reçu pas mal d’insultes venant de personnes qui avaient parié sur nous Â». Aujourd’hui, l’ailier droit de 22 ans n’y prête plus attention. Pour autant, tout n’a pas toujours été si simple. Thibaud Arteaga recevait déjà des insultes lors de sa première saison professionnelle en N1, alors qu’il n’était âgé que de 19 ans : « Au début ça te touche. Tu cherches à savoir qui c’est. Pour ma part, j’ai de la chance que ça ne soit que des messages privés, donc ma famille n’est pas touchée. Mais quand certains se font insulter sur des publications ouvertes ou dans la rue, bien sûr que ça peut avoir un impact sur les proches Â».

Comment lutter ?

Comme beaucoup de sportifs, Thibaud Arteaga a choisi de répondre par l’indifférence : « Il faut relativiser, se dire que ces personnes sont sûrement des gens qui n’ont jamais eu et n’auront jamais le niveau pour jouer à ce niveau. Certains n’ont même probablement jamais eu un ballon de handball entre les mains. Aujourd’hui ça ne m’atteint même plus ». Cependant, faire la part des choses devient de plus en plus compliqué pour de nombreux sportifs. Certains comme Thierry Henry ou le footballeur auxerrois Quentin Bernard ont par exemple décidé de quitter les réseaux sociaux tant que ces derniers ne prendraient pas des mesures de modération plus strictes. D’autres veulent même aller plus loin, comme Nacer Bouhanni ou Théo Griezmann, frère d’Antoine, qui ont décidé de porter ces insultes devant la justice. Depuis plusieurs semaines, pouvoirs publics et ligues sportives professionnelles s’activent en coulisse pour trouver des réponses au cyber-harcèlement. Les réseaux sociaux commencent également à durcir leur méthodes de modération. Des mesures nécessaires pour calmer les pulsions des trop nombreux harceleurs, qui oublient trop souvent que derrière le sportif se cache en premier lieu un humain.

Une pontissalienne a porté plainte au commissariat de Pontarlier ce jeudi. Elle indique avoir été victime d’une escroquerie au téléphone. Un individu se serait fait passer pour un employé de sa banque, en lui déclarant qu’elle aurait été victime d’une arnaque. L’escroc aurait alors fait mine de lui venir en aide en assurant l’avoir contacté afin de « régler cette fraude Â». Règle à ne jamais enfreindre, et qui pourtant n’a pas été respectée par la pontissalienne… donner son code de carte bancaire. L’individu mal intentionné a extorqué une somme avoisinant les 1000€. Et lorsque le vrai service des fraudes a contacté la victime, celle-ci croyant tomber à nouveau dans le panneau… leur a raccroché au nez.

Un grave accident de la route s'est produit ce jeudi après-midi, vers 15h30, à Saint-Lupicin (39). On déplore un blessé grave, dont le pronostic vital est engagé, qui a été transporté sur un centre hospitalier. Une personne indemne a été laissée sur place.

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