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Un sexagénaire, domicilié dans l’arrondissement de Pontarlier, devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Il a été surpris en train de s’adonner à un plaisir solitaire dans le secteur des pistes de ski de la Malmaison. L’homme a été placé en garde à vue. Il a été reconnu par des témoins. Après avoir nié les faits en expliquant qu’il venait de terminer d’uriner, il a fini par reconnaître sa déviance.

Dans le cadre de leur formation, Florine et Charlotte, actuellement en deuxième année de master en activité physique adaptée santé (APAS) à l’UPFR des sports à Besançon, organisent avec quatre autres étudiants bisontins une conférence sur le thème de la sédentarité. Plusieurs études montrent que la moitié de la population française est sédentaire. Ce qui signifie que pour des raisons professionnelles, mais aussi par manque de motivation personnelle, ces hommes et femmes restent inactifs plus de sept heures par jour. Autant dire que les 150 minutes d’activité physique que nous devrions pratiquer hebdomadairement sont loin d’être atteintes.

A travers cette conférence, le groupe d’étudiants entend lutter contre la sédentarité et l’inaction et donner les moyens à son public d’adopter les bons comportements. Ce temps se déclinera en deux phases. L’une portera sur les conséquences de la sédentarité sur notre santé. L’autre apportera des solutions et des conseils. Pour ce faire, plusieurs intervenants officieront : médecin généraliste, enseignant, responsables associatif et du service des sports de Besançon, … . Une pause active sera proposée, sous la forme de renforcement musculaire, de yoga, de zumba, … .

Ce rendez-vous s’adresse à tous les publics. Les chefs d’entreprise et leurs salariés sont les bienvenus également. Cette conférence active se déroulera le 22 janvier prochain, de 17h à 19h, à l’amphithéâtre de l’UPFR des sports, 31 rue de l’Epitaphe à Besançon. Nombre de places limitées. Inscription obligatoire, via ce lien : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScduSOtFZ-eLVA3QSzzeakH27eNNaT7XYF9seckkBJqkfh-EA/viewform

Une nouvelle fusillade a eu lieu jeudi soir dans le quartier Planoise à Besançon. Un jeune homme de 24 ans, défavorablement connu de la police et de la justice, a été gravement blessé. Il a été touché à la jambe et dans le bas de l'abdomen. Ses jours ne sont plus en danger. Cette nouvelle violence fait suite à celle survenue le soir de Noël, où trois hommes avaient été blessés par balles.

Un accident s'est produit pendant la matinée de ce vendredi 10 janvier, impliquant une voiture et un véhicule utilitaire. Le bilan fait état de trois victimes, dont un blessé léger. Il s'agit d'un homme de 62 ans qui a été transporté au centre hospitalier Jean Minjoz.

Les deux autres personnes étaient indemnes.

Ce vendredi matin, à Besançon, enseignants et lycéens ont bloqué le lycée Jules Haag pour dénoncer la réforme du baccalauréat et la très mauvaise communication du ministère de l’éducation nationale sur les épreuves de contrôle continu que les jeunes passent dès la classe de 1ère, avec une première échéance le 27 janvier, avec l’histoire géographie, avant de plancher en février sur les langues vivantes.

Contrairement à ce que sous-entend l’éducation nationale, ces épreuves sont loin d’être comprises et inquiètent grandement jeunes et adultes. D’un côté des enseignants qui ne comprennent pas les attentes gouvernementales, dénoncent « une réforme sans concertation et une improvisation totale Â». De l’autre côté, des jeunes perdus, qui ne savent pas comment préparer ces futures échéances. Le tout, dans le cadre d’une réforme, qui les condamne à s’orienter judicieusement, sans disposer des moyens et des conditions nécessaires pour le faire.

Pour les candidats bisontins, l’inconnue est bien réelle, tant au niveau des savoirs qu’ils doivent maîtriser, que des révisions qu’ils doivent effectuer. Les jeunes viennent également d’apprendre que certaines dates d’examen pourraient être changés. Autant dire que personne n’y comprend rien. « C’est un peu fouillis. On n’est pas trop au courant. Même les profs ne sont pas trop renseignés. C’est un peu galère. On ne sait même pas ce qui nous attend en terminale » résume Aline.

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