L’écologiste Anne Vignot et la liste « Besançon par nature » indiquent que leur local de campagne, à l’occasion des élections municipales de mars prochain, est situé 75 grande rue au centre-ville de Besançon. Il sera inauguré ce mercredi soir.
Selon la SNCF, l’amélioration sur le trafic ferroviaire se confirme. Il est précisé que « 7 circulations TER sur 10 seront assurées mardi sur la Région ». Pour les TGV, prévoyez, par exemple, 5 allers-retours entre Besançon et Paris et 3 allers et 2 retours entre Paris et Dole.
Alors qu'il annonçait sa candidature début décembre, Cyrille Brero est revenu sur sa décision en ce lundi 13 janvier. Sa liste pourtant "bientôt bouclée", il annonce ne pas vouloir "porter la responsabilité de sa défaite, inéluctable en l’état [...] avec trois listes issues de ses rangs". Il assure au passage avoir "beaucoup échangé avec les Lédoniens, les membres de [sa] liste et tendu la main aux autres candidats issus de la majorité sortante". Un "retrait définitif" qu'il espère être synonyme de "rassemblement".
Une décision "personnelle", qu'il juge "difficile mais nécessaire", qui "n’augure en rien de la position politique de [mon] équipe".
Une réunion publique se tiendra ce mercredi 15 janvier à 17 heures au Centre Nelson Mandela dans le quartier Planoise, à Besançon, sous la double présidence de Joël Mathurin, Préfet du Doubs, et Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon.
Cette rencontre est organisée afin d’informer les habitants des solutions mises en place suite à l’incendie de la fourrière municipale à Planoise le 31 décembre dernier et répondre aux questions des locaux.
Plusieurs points seront abordés : l’avenir des commerces de Planoise, le suivi environnemental de l’incendie, la récupération des véhicules touchés par l’incendie et les différentes aides apportées.
Les Jeux Olympiques de la Jeunesse ont débuté jeudi dernier et se poursuivront jusqu’au 22 janvier prochain. Ils prennent place à Lausanne mais également dans le Jura, à Prémanon. Parmi les athlètes sélectionnés, on retrouve plusieurs francs-comtois dont une élève du lycée Xavier Marmier à Pontarlier. Âgée de 17 ans, Léonie Jeannier officie en biathlon. Même si elle a déjà participé à des compétitions internationales, encore l’année dernière en Italie, un évènement d’une telle envergure est une première pour elle. « J’étais un peu stressée au début car c’est dans le coin et donc tout le monde vient m’encourager, confie-t-elle. Mais je suis vraiment contente de le faire ».
Entre cours et ski
Alors que Léonie Jeannier faisait partie du ski club Les Verrières / La Cluse depuis ses trois ans, elle a découvert, « un peu par hasard », le biathlon il y a quatre ans. Et depuis l’annonce du lieu des Jeux Olympiques de la Jeunesse 2020, elle a gardé la sélection en tête. Une sélection qu’elle a dégotée sans trop d’optimisme au départ. « J’étais rentrée le soir des sélections en pensant avoir fait une mauvaise course, explique-t-elle. Au final, j’étais la dernière à être sélectionnée. Ça s’est joué à presque rien avec la première remplaçante ».
À partir de ce moment, les JOJ sont devenus « son vrai objectif ». Un but qui empiète sur sa vie scolaire. Au total, elle a raté près de 300 heures de cours depuis la rentrée de septembre. Heureusement, la jeune franc-comtoise est bien entourée. « J’ai des professeurs très compréhensifs et qui m’aident, des messages… Donc j’arrive toujours à trouver un petit temps pour travailler, même si cela doit faire un mois que je n’ai pas touché à mes cours… » avoue-t-elle. Un retard qu’elle devra vite rattraper dès la fin de l’évènement, surtout quand on sait que les épreuves du baccalauréat l’attendent à la fin de l’année.
Une « envie de continuer »
Pour l’instant, Léonie est à fond dans la compétition et est très admirative de l’évènement et de ses dispositions. « Ici [à Lausanne, ndlr], c’est une super expérience. On a des kinés, des dentistes, le soutien des équipes de communications… Beaucoup de personnes juste pour nous ! »
Malgré cela, l’athlète garde les pieds sur terre. « Je sais que les JOJ ne sont qu’une sélection. On est encore très jeunes on a encore plein de choses à faire, j’ai envie de continuer » affirme celle qui décrit cette compétition comme « un moteur pour la suite plutôt qu’une finalité ».
Mardi 14 janvier, dès 13h30, la lycéenne grimpera sur ses skis pour une nouvelle épreuve : un sprint de six kilomètres comportant, évidemment, du tir. Et malgré la fièvre dont elle souffre depuis quelques jours, Léonie se montre combative : « Je ferai tout ce que je peux pour y arriver ».
