Choix du secteur :
Se connecter :

Ce mardi après-midi, vers 13h30, un incendie s’est déroulé dans une maison individuelle d’une surface de 200 m2 à Damparis. Trois lances ont été déployées par les secours, dont une sur échelle. Aucun occupant ne se trouvait à l’intérieur. Du relogement est à prévoir.

Une journée d’action nationale de grève concernant les manipulatrices et manipulateurs radio s’est déroulé ce mardi 21 janvier  à Besançon. Selon la CGT « l’hôpital de Besançon compte plus d’une centaine de professionnels, qui devaient suivre le mouvement aujourd’hui Â».

Ce matin, à 10h, un rassemblement s’est tenu sur le parvis de l’hôpital Jean Minjoz  et un autre fut organisé, à 14h, devant l’ARS, où une délégation sera reçue. Des professionnels du centre hospitalier de Trevenans, dans le Territoire de Belfort, étaient attendus.

Une trentaine d’activistes d’Alternatiba Besançon, ANVCOP 21 Besançon et le Collectif Pacte pour la Transition ont organisé ce mardi 21 janvier une mobilisation devant trois écoles de Planoise (école Artois, école Champage, école Île de France) pour sensibiliser parents et enseignants et interpeller les candidats aux élections municipales sur la thématique de la pollution de l’air, en particulier aux abords de la RN57. Cette mobilisation s’inscrit dans une journée d’actions organisées au niveau national.

L’action s’est passée dans la convivialité avec du café et des tartines pour les parents, ainsi que des quizz et des dessins pour les enfants. Les participants ont également voulu interpeller les candidats sur le projet de mise à 2X2 voies de la RN 57 entre Beure et Micropolis pour dénoncer son coût (entre 80 et 120 millions d’euros) et l’utilisation de ces moyens, qui pourraient être affectés à d’autres projets répondant à la protection de l’environnement.

Les mouvements sociaux pour dénoncer la réforme des retraites, du lycée et du baccalauréat se poursuivent. Ce mardi, à Besançon, un rassemblement s’est tenu devant le rectorat pour dénoncer également les suppressions de postesdans l’académie.

A 16h15, le collectif éducation Besançon organise une action de sensibilisation des parents d’élèves de l’école élémentaire de Saint Claude à Besançon. A cette occasion, des points retraites seront symboliquement distribués aux plus jeunes car « il faudra capitaliser très tôt Â». Demain, mercredi, un rassemblement est prévu au lycée Louis Pergaud en soutien aux assistants d’éducation qui seront en grève.

« Je suis super contente Â» nous confie Joséphine Pagnier au téléphone. Et elle a de quoi. Lors des Jeux Olympiques de la Jeunesse 2020, elle est montée, par deux fois, sur le podium. Le dimanche 19 janvier, elle emportait la médaille d’argent en saut à ski. Le lendemain, c’était le bronze qu’elle raflait avec l’équipe de France mixte de saut à ski et combiné. Deux victoires auxquelles elle ne s’attendait pas vraiment. « Je me focalisais sur les moyens que je devais mettre en place pour bien sauter mais on ne peut rien prévoir Â» explique-t-elle.

À l’âge de 17 ans, Joséphine est en filière scientifique, dans une école de Mouthiers, en Savoie. Là-bas, les cours sont aménagés pour les sportifs et le baccalauréat se passe en quatre ans. Pour exemple, elle n’a pas cours l’après-midi afin de pouvoir pratiquer. Et le saut à ski, elle le pratique depuis bientôt dix ans. Habitant à Chaux-Neuve, en face du tremplin où son père travaille, elle s’est découverte une passion pour le sport de glisse très jeune. Elle commence par le ski de fond puis découvre plus tard la discipline qui fera d'elle une médaillée olympique.

Pour le futur, l’adolescente sait déjà ce qu’elle souhaite. « Mon objectif c’est de faire une carrière qui dure dans le temps avec des résultats significatifs Â», affirme-t-elle, même si elle souhaite « surtout se faire plaisir Â». Jeudi 23 janvier, elle partira en Roumanie pour la coupe du monde de saut à ski féminin.

Sous-catégories