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C'est un sujet qui préoccupe tout particulièrement les élus levitiens et de la communauté de communes. Depuis le mois de janvier dernier, le secteur de Levier perd ses infirmières.

Selon nos informations, certaines ont franchi la frontière. D'autres, fatiguées et épuisées, ont dû suspendre temporairement leur activité. Par exemple, actuellement, la maison de santé du Clos Saint-Claude ne dispose plus d'infirmière. Elles étaient quatre auparavant. Cette problématique, encore plus inquiétante en cette période de pandémie, est prise très au sérieux par les élus locaux.

Une réflexion est actuellement menée pour trouver des solutions. A Levier, on espère que le village sortira au plus vite de la situation inconfortable dans laquelle il se trouve. C'est la raison pour laquelle, l'Agence Régionale de Santé a été sollicitée afin que « l'aide à l'installation » soit activée. Autonome sur ce point jusqu'à présent, le secteur levitien désire que sa situation soit reconsidérée. « C'est le premier levier que nous actionnons. Nous en prévoyons d'autres si les lignes ne bougent pas. L'aide à l'installation ne fait pas tout sur l'attractivité d'une collectivité ou d'un territoire » conclut Marc Saulnier, le maire de la commune.

En attendant, si des professionnels sont intéressés pour venir exercer à Levier et sur ce territoire du Haut-Doubs, ils peuvent se faire connaître en contactant la mairie au 03.81.69.53.22

Deux accidents se sont produits ce dimanche en terre jurassienne. A Crançot -Hauteroche, sur la départementale 4, un motard, seul impliqué dans une perte de contrôle, fut légèrement blessé. Il a été pris en charge part les secours.

A Orchamps, un accident, impliquant une seule voiture, a fait une victime, une personne légèrement blessée, qui a été transportée sur un centre hospitalier.

Anne Vignot, la maire écologiste de Besançon, accusée de vouloir « museler » l'opposition municipale par le collectif « Besançon Maintenant ! » a réagi. Rappelons que la formation de Ludovic Fagaut s'est émue de ne pas été invitée, ce dimanche, à la commémoration organisée au cimetière des Chaprais à l'occasion de la journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation.

Mme Vignot explique que « la situation sanitaire actuelle et les mesures de confinement ne permettaient pas de tenir les cérémonies dans le format habituel ». Il est précisé que, dans ces conditions, « c'est l'Etat qui était la force invitante ». Anne Vignot, qui regrette « cette polémique politicienne », dit avoir représenté « le conseil municipal et tous les Bisontines et Bisontins ». « Cette commémoration mérite avant tout humilité et respect pour ces femmes et ces hommes qui ont subi les pires traitements » conclut-elle.

Un accident s'est produit ce dimanche aux Rousses. Une voiture a percuté un mur en pierre. On déplore un blessé léger, qui a été transporté sur un centre hospitalier.