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Pour le dernier match du BesAC cette saison, les hommes de Nicolas Faure ont rendu une très belle partition au gymnase des Montboucons. Une victoire 92-86 maitrisée de bout en bout face à Boulogne et obtenue notamment grâce à un gros match du capitaine Glenn Duro, intraitable derrière l’arc (5/6 à trois points). Les bisontins terminent à la 11ème place.

La saison n’est pas encore terminée mais le GBDH s’active sérieusement sur le mercato pour la saison prochaine. Cette fois c’est un départ qui est annoncé par le club bisontin. Après trois saisons passées au club, Sacha Bouchillou quittera la cité comtoise à l’issue de la saison. Le pivot de 2m, formé à Ivry, rejoindra Frontignan pensionnaire de Nationale 1. Cette saison, Sacha Bouchillou a inscrit 25 buts en 23 rencontres.

Le 11 avril dernier, un adolescent de 15 ans est décédé à L’isle-sur-le-Doubs après avoir inhaler du gaz provenant d’une bonbonne de déodorant. Le procureur de Besançon Étienne Manteaux s’est exprimé afin d’alerter sur ce genre de pratique de plus en plus répandue.

Le 11 avril dernier, à L’isle-sur-le-Doubs, en fin de matinée, les parents d’une famille de 4 enfants découvrent leur adolescent de 15 ans sans vie, recroquevillé sous sa couette. Le jeune garçon tient une bonbonne désodorisante presque vide dans sa main. Son smartphone se trouve également à quelques centimètres de lui sur son lit. Très rapidement, les experts écartent l’éventualité d’une intervention tierce, suite à l’absence de signes de violences sur le corps de la victime. C’est bien la théorie de l’asphyxie qui est privilégiée et mise en évidence. Le médecin légiste remarque de nombreuses similitudes avec des cas de noyades ou d’embolies pulmonaires.

Une pratique de plus en plus répandue

Les enquêteurs tentent alors de comprendre les causes de cette asphyxie. Rapidement, un rapprochement est fait entre la cause de la mort et la bonbonne désodorisante retrouvée dans la main du jeune homme sans vie. D’autant que d’autres bonbonnes similaires vides sont retrouvées dans la poubelle de chambre de l’adolescent. La présence du smartphone à quelques centimètres de la victime n’est également pas anodine et met les experts sur la voie d’un « challenge Â» éventuellement réalisé sur les réseaux sociaux. L’inhalation de ce gaz aurait des effets enivrants, voire hallucinogènes pour quelques secondes ou minutes. Une pratique qui séduit malheureusement de plus en plus de jeunes inconscients du danger que cela représente.

Prévention

Le nombre de cas constatés inquiète les autorités. Récemment, un étudiant en ingénierie a perdu la vie dans des circonstances similaires après une fête dans les Vosges. D’autres cas ont également été recensés à Nice et confortent la volonté du procureur d’être davantage préventif à ce sujet. Le sentiment serait également partagé par la famille effondrée. Les parents souhaiteraient dans quelques mois se rendre dans différents établissements scolaires pour témoigner du drame qui les touche, et sensibiliser les adolescents à cette pratique dangereuse, voire mortelle.

Un homme de 54 ans a été placé en garde à vue ce mardi à Pontarlier. Lors d'un contrôle routier, il est apparu qu'il conduisait avec un défaut d'assurance et sans contrôle technique valide.

Il était également en possession de 14 grammes de résine de cannabis et d'un couteau.  Il sera de nouveau entendu ce mercredi par les policiers.

Une manifestation des professionnels du médico-social a eu lieu ce mardi 27 avril devant la Préfecture de Besançon. Selon l'organisation, ils étaient 150 à se mobiliser. Quelques-uns de ces oubliés du plan Ségur ont été reçus par le cabinet du préfet. Ce dernier s'est engagé auprès des manifestants à faire remonter leurs revendications au ministère des Solidarités et de la Santé.

Rappelons que les manifestants, qui ont été rejoints par quelques intermittents du spectacle, demandent à bénéficier de la prime de 183 euros qui a été accordées à leurs collègues du secteur médical.

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