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Le 30 avril dernier, à Pontarlier, une patrouille de police a interpellé un individu de 19 ans qui était en possession d'1,30 gramme de résine de cannabis. La drogue était dissimulée dans un colis. L'individu se trouvait à l'intérieur d'un véhicule avec d'autres personnes qui n'ont pas été inquiétées.

Lors de la palpation de sécurité, il est apparu qu'il était en possession d'un poing américain. Entendu librement, il a reconnu les faits. Le poing et la résine de cannabis ont été détruits sur ordre du parquet.

Ce sera sans doute l'un des sujets qui devraient alimenter les discussions durant plusieurs semaines sur le territoire du Grand Besançon. L'aménagement de la RN 57 entre Beure et Microplis n'a pas fini de faire parler. A ce sujet, Anne Vignot tiendra une conférence de presse mardi soir.

Dans les rangs du Modem, les élus de Besançon et du Grand Besançon, par l'intermédiaire de Laurent Croizier et Jean-Paul Michaud, ont publié une pétition en ligne « Oui à la 2x2 voies entre Micropolis et Beure ». Près de 600 personnes ont déjà dit « OUI » à cet aménagement routier indispensable en affirmant leur soutien au projet via cette pétition : https://bit.ly/OUIRN57

Par ailleurs, pour sensibiliser toujours et encore la population un flyer est actuellement distribué sur ces deux territoires et une page animée a été mise en ligne sur Facebook : https://cutt.ly/xbpTxBb

Ce lundi, l'Union Nationale Lycéenne du Doubs appelle à la mobilisation. Le syndicat, fier des 200.000 signatures obtenues en ligne pour le passage du baccalauréat en contrôle continu cette année, veut faire flancher Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'éducation nationale. Pour l'heure, ce dernier ne l'entend pas de cette oreille.

A Besançon, l'UNL s'est installée devant les grilles du lycée Louis Pergaud. Pour ses représentants, « compte tenu des conséquences de la crise sanitaire sur les apprentissages, l'examen ne peut pas se dérouler ». Plusieurs raisons sont évoquées : les absences, le retard accumulé et le décrochage scolaire, mais également le manque de préparation et d'informations, notamment concernant l'épreuve du grand oral.

Les représentants syndicaux pointent également les inégalités entre les lycées. « Chaque lycée ayant remodeler son propre fonctionnement pédagogique, en raison de l'absence de consignes claires de la part du ministre ».

Ce dimanche, Marie-Guite Dufay a démenti sur son compte twitter les informations tenues dans le Journal du Dimanche, qui affirmait que la présidente socialiste sortante de la Région Bourgogne Franche-Comté envisageait une alliance avec La République en Marche dans le cadre des élections régionales de juin prochain.

« Je suis une femme de gauche, je mène une politique de gauche, et je conduis une liste de gauche. Point final » a-t-elle déclaré.