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Pour l’heure, la reprise du football amateur s’écrit en pointillés. A l’arrêt depuis le 13 mars dernier, aucune nouvelle échéance n’est précisée. Entre situation sanitaire et économique compliquées, les interrogations sont nombreuses. Les clubs sont dans l’attente.

Pour l’heure, quelques bruits de couloir évoquent une reprise des championnats guère avant la mi-octobre. Mais rien n’est mois sûr. De toute façon, seule la situation sanitaire du pays permettra de statuer sur une éventuelle reprise.

C’est une saison très particulière qui se termine au CA Pontarlier Foot. D’une part, d’un point de vue administratif avec le départ prématuré de son ancien président Michel Chevrey, et l’arrivée aux responsabilités d’une nouvelle équipe, avec Bertrand Gabry à sa tête. Mais aussi, et bien évidemment d’un point de vue sportif, avec la fin des championnats en mars dernier, en pleine crise du coronavirus.

Après ces deux mois de confinement, Jean-Luc Courtet, responsable technique et des équipes seniors a fait son retour au siège du club. A l’issue de cette épilogue tronquée, l’équipe fanion termine à la 7è place de sa poule de national 3. La satisfaction vient sans doute de l’équipe réserve qui termine à la première place de son championnat en régional 1. Une belle prestation pour cette jeune formation coachée par Pierre Delagrange qui, lui aussi, quitte le club, après avoir pris les destinées de cette formation en 2016. Les équipes R2 et R3 se maintiennent à ce niveau, en terminant à la 9è pace

Chez les jeunes, les U18 disputeront la saison prochaine le championnat national. Concernant la pratique féminine, l’équipe senior évoluera en régional 1 lors du prochain exercice. A ce sujet, le pôle féminin continue de se structurer. Son école de football poursuit sa mutation et ses jeunes licenciées U13 et U15 font la fierté du CAP. D’ailleurs ce dernier cherche encore à accueillir un maximum de jeunes filles pour poursuivre le développement de la pratique féminine dans la capitale du Haut-Doubs.

Hier après-midi, le député Eric Alauzet, candidat à l’élection municipale bisontine, arrivé troisième au soir du 1er tour, avec 18,8% des suffrages, a pris la parole, via une vidéo publiée sur sa page Facebook. « Vous pouvez compter sur mon engagement, mon esprit de combat, mon expérience et mon enthousiasme Â» promet-il. Mr Alauzet s’engage à apporter à la population « les meilleures réponses aux difficultés de la vie de tous les jours Â». Il veut donner « une véritable ambition à la ville de Besançon afin qu’elle trouve toute sa place dans le concert des villes de France, d’Europe et du Monde’.

Après ces deux mois de confinement, qui ont rangé au second plan le résultat du 1er tour, Mr Alauzet annonce « une nouvelle campagne, avec une élection à un tour Â». « Les compteurs sont remis à zéro. Tout est possible Â» explique-t-il.

Déterminé, Eric Alauzet donne rendez-vous aux Bisontines et Bisontins pour « une nouvelle campagne Â». Il reste un mois aux trois candidats encore en lice pour convaincre la population.

Le FC Sochaux Montbéliard a 90 ans ce dimanche 24 mai. Si le FC Sochaux a été créé en 1928, c'est le 24 mai 1930 que son association avec l'AS Montbéliard a donné naissance, il y a tout juste quatre-vingts ans, au FC Sochaux-Montbéliard. Bon anniversaire au plus capé des clubs francs-comtois.

SNCF Réseau, propriétaire et gestionnaire du réseau ferré national, entreprend des travaux de confortement et de sécurisation du tunnel de Champvans-lès-Baume jusqu’au 18 octobre 2020, sur la ligne entre Besançon et Belfort.

Ce chantier représente un investissement de 6,6M€ financés par SNCF Réseau. Il s’inscrit dans le cadre du programme de modernisation du réseau, qui donne la priorité à la rénovation du réseau existant. Ces travaux contribueront à garantir la sécurité, et améliorer la régularité sur la ligne.

Le tunnel de Champvans-lès-Baume (25), long de 575 mètres, comporte 2 voies et a été mis en service en 1858. Plusieurs opérations de confortement de ces deux ouvrages ont déjà eu lieu entre 1950 et 2011. Suite à l’usure des installations et aux avaries survenues dans le tunnel, il est aujourd’hui nécessaire de moderniser cet ouvrage. Les travaux seront réalisés de nuit, du lundi soir au samedi matin, de 22h à 6h. Une base vie se situera en tête du tunnel, côté Besançon.

En Bourgogne-Franche-Comté, 385 millions d’euros sont investis en 2020 pour moderniser le réseau ferré et renforcer sa sécurité.

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