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La FCPE et le collectif cantines en colère s’inquiète des capacités d’accueil des enfants dans les cantines de Besançon à la rentrée prochaine. Rappelons que durant cette année scolaire 2019/2020, le déficit de places s’élevait à 400-500 . Les deux collectifs s’attendent donc à des conditions difficiles pour la prochaine rentrée des classes, justifiant «  ne pas avoir obtenu de garantie sereine Â» de la part des élus. Ils craignent que « certains enfants soient mis de côté, et ce malgré une nouvelle confirmation de la cour d’appel de Nancy Â».

Concrètement, il est demandé la mise en place à la rentrée d’un double service dans les écoles maternelles, de tout mettre en œuvre pour augmenter la capacité d’accueil dès la rentrée prochaine et une communication transparente avec les parents pour évoquer les problématiques et trouver des solutions adaptées au cas par cas dans les écoles.

Ce mardi après-midi, peu avant 15h40, les secours sont intervenus sur la commune de Surmont. Un homme de 61 ans était en arrêt cardio respiratoire suite à un effort à vélo. Après une tentative de réanimation, elle a été déclarée décédée par un médecin du SMUR.

Et de quatre ! La Ville de Pontarlier organise sa quatrième distribution de masques mercredi 27 et samedi 30 mai au Théâtre Bernard Blier, salle Toussaint Louverture. Durant ces deux jours, les Pontissaliens pourront retirer des masques pour leur foyer, à raison de deux par personnes, de 9h à 12h et de 14h à 18h. Pour cela, il faut être majeur et présenter les cartes d’identité et justificatifs de domicile des personnes concernées. La municipalité invite ses administrés possédant déjà un masque à n’en retirer qu’un seul sur place. L’objectif étant que chaque habitant soit doté de deux masques.

Ce mardi, le procureur de la république de Besançon Étienne Manteaux, et le commandant de la police judiciaire Régis Millet, donnaient une conférence de presse afin d’éclairer sur un dossier « singulier Â». Une infirmière de 55 ans aurait engagé un homme de 24 ans pour tuer son mari.

C’est une affaire digne d’un film policier qui prend sa genèse au mois d’avril. Depuis l’été 2018, un homme de 55 ans résidant à Besançon, et sa femme de 51 ans résidant à Périgueux avec leurs 3 enfants, sont en instance d’un divorce « extrêmement conflictuel Â». Le 22 avril, l’homme de 51 ans se présente au commissariat de Besançon pour porter plainte après un mystérieux appel reçu, lors duquel un jeune homme lui indique être payé par sa femme pour le tuer.

Tueur ou escroc ?

Le 12 mai, la police judiciaire interpelle simultanément la femme de 51 ans à Périgueux et le jeune homme de 24 ans en Essonne. Ã€ l’issue de ces interpellations, la police retrouve des lettres manuscrites et des SMS qui confirment les dires du mari de 55 ans. Après audition, le commandité explique qu’il n’avait pas pour projet de tuer la victime, mais seulement d’obtenir de l’argent de la femme. Une version qui concorde avec le passé du jeune homme, uniquement connu des services de police pour escroquerie. Concernant la somme versée, les versions divergent. La femme parle de 10 000 € en liquide quand le jeune homme dit n’avoir reçu que 2 500 €.

Un contrat qui coûte cher

À ce stade, les forces de l’ordre n’ont pas pu établir d’actes préparatoires de cet assassinat (achat d’arme, repérage, etc…) et ont donc placé le jeune homme de 24 ans sous statut de témoin assisté, sans contrôle judiciaire. La femme de 51 ans a elle été mise en examen le 15 mai dernier pour mandat criminel donné à un homme, et risque jusqu’à 10 ans de prison. Elle est actuellement en détention provisoire à la maison d’arrêt de Périgueux.

Dans le cadre de son dispositif TEPOS-TEPCV*, la Communauté de communes Jura Nord informe de l’acquisition de quatre véhicules électriques. Deux d’entre eux sont des utilitaires et dédiés aux services assainissement et technique. Les deux autres permettront les déplacements professionnels des agents. L’intercommunalité assure qu’ils possèdent « une autonomie adaptée à une utilisation sur tout le territoire Â». Tous ont été réceptionné le 19 mai dernier dans un garage concessionnaire de Fraisans. En parallèle, des bornes de recharge doivent être prochainement installées sur le parking de la Communauté de communes.

Cette initiative s’ajoute à plusieurs autres déjà menées dans l’élan du dispositif. Ce dernier a notamment permis la construction d’un tronçon de l’Eurovélo 6 entre Ranchot et Orchamps, sur lequel a été installé un rucher. D’autre part, des vélos électriques ont été mis à disposition des habitants et touristes du territoire.

 

*Territoire à Énergie positive pour la Croissance Verte 

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