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A compter du lundi 8 juin, les voyageurs du réseau Ginko pourront à nouveau acheter leur titre de transport à bord des bus. Toutefois, pour garantir la sécurité de tous de nouvelles règles sont à respecter et cette mesure constitue une solution de dépannage, Ginko invite donc ses voyageurs « Ã  anticiper l’achat de leur titre de transport Â».

Ainsi, il est expliqué qu’aucun « rechargement n’est possible sur une carte détenue par un voyageur Â». Par ailleurs, conformément au règlement d’exploitation du réseau Ginko, seuls les billets de 5, 10 et 20 € sont acceptés pour acheter un titre de transport à bord des bus. Cette mesure est complétée en cette période de crise sanitaire : seules les pièces de 10, 20 et 50 centimes ainsi que les pièces de 1 et 2€ seront acceptées à compter du 8 juin. Aucun rendu de monnaie ne sera effectué, les voyageurs sont invités à faire l’appoint.

Pour l’achat d’un titre de transport, rendez-vous : sur les Distributeurs Automatiques de Titres présents aux stations Tramway et de la ligne L3, en ligne, sur www.ginko.voyageou l’appli Ginko Mobilités, dans un Point Relais Ginko (liste disponible sur le site ginko.voyage) et à la Boutique Ginko située au 28, rue de la République

Selon l'OFSP, la Suisse comptait ce vendredi à midi 30'936 personnes testées positives ( 23 cas depuis la veille ) et déplorait 1'659 décès ( aucun ces dernières 24 heures ).

Les activités tels que les loisirs, le sport et les divertissements sont possibles dès demain.

Les rassemblements et manifestations de respectivement plus de 30 et 300 personnes restent cependant interdits.

Le Collectif de Défense des Droits et des Libertés des Etrangers de Besançon (CDDLE) vient d’écrire un courrier au Préfet du Doubs dans lequel il dénonce les conditions dans lesquelles Mme Avdoeva, une ressortissante géorgienne, s’est éteinte au CHU de Besançon le 20 mai dernier.

Et ce, malgré l’humanité du personnel médical. Il est reproché au représentant de l’état d’avoir tardé à lui délivrer un nouveau titre de séjour. Une autorisation émise en septembre 2019 après qu’elle ait été diagnostiquée atteinte d’une maladie très grave. « Non autorisée à vivre en France, vous l’avez en dernier ressort, autorisée à mourir en France » écrit le collectif.

A Pontarlier. Compte tenu de son passé judiciaire, un homme devra s’expliquer prochainement devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences sur sa compagne. Le 3 juin dernier, cette dernière, interpellée pour état d’ivresse sur la voie publique, a montré des hématomes aux policiers à l’issue de son placement en cellule de dégrisement. Un jour d’ITT lui a été prescrit. Elle a expliqué avoir été frappée par son conjoint le week-end dernier. Ce dernier nie les faits. Il a néanmoins été placé en garde à vue.