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Le conducteur de l'un des deux trains entrés en collision frontale lundi soir au nord de Lausanne et qui est mort dans sa cabine était un Français de 24 ans, domicilié en Suisse, à Payerne, a indiqué un porte-parole de la police cantonale vaudoise. Ce conducteur était aux commandes d'un train régional en provenance de Lausanne, qui a percuté de plein fouet un train venant en sens inverse et arrêté sur la voie après que son conducteur s'était rendu compte qu'un feu de signalisation n'avait pas été respecté.

Le Français est l'unique victime de cet accident, qui a fait par ailleurs 26 blessés, dont la plupart ont quitté l'hôpital, selon les autorités suisses. L'autre conducteur, un Suisse âgé de 54 ans, a survécu à l'accident, parce qu'il s'est réfugié au fond de la rame, juste avant l'impact. Sous la violence du choc, les trains ont rétréci de 8 mètres, ont indiqué mardi les autorités suisses, au lendemain de l'accident. Dans un premier temps, lundi soir, la police cantonale vaudois avait indiqué que tous les passagers des trains étaient des Suisses.

A Besançon, l’autopsie pratiquée sur le corps de la victime a permis d’établir que cette dernière a succombé, samedi, à une dizaine de coups de couteau.

Ce  jeune homme de 23 ans  a été présenté au Parquet ce mardi. Cet individu est défavorablement connu de la justice. Il a déjà été condamné pour des faits de violence. Il avait également séjourné en hôpital psychiatrique. 

Selon le journal helvétique « Le Matin dimanche , certaines entreprises suisses n’embaucheraient plus de salariés français car elles les jugent « paresseux «  et « arrogants ». Selon l’hebdomadaire,   la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français qui n’auraient pas toujours bonne réputation. 

Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle précisé.

Ces pratiques sont néanmoins contraires à l'accord de libre circulation signé en 1999 avec l'Union européenne, qui entérine le principe de l'égalité de traitement entre les ressortissants de l'Union et les Suisses. Interrogés par le journal suisse, les cabinets de recrutement disent cependant se conformer aux exigences de certaines entreprises.

A Besançon, le jeune homme de 23 ans, impliqué dans le meurtre d’une sexagénaire, a été mis en examen pour « homicide volontaire aggravé » et écroué. Il a reconnu les faits.  « Elle me prenait pour un chien. Je me suis senti coincé » a-t-il déclaré aux enquêteurs. Une dispute avec la victime serait donc à l’origine de cette violence.

L’autopsie pratiquée ce mardi a permis d’établir que cette femme a succombé, samedi dernier, à une dizaine de coups de couteau.

L’individu est défavorablement connu de la justice. Il a déjà été condamné pour des faits de violence. Il avait également séjourné en hôpital psychiatrique. 

Et si on commençait la journée à la Source du Lison à Nans Sous Sainte Anne ? Merci à Karine pour cette photo. 

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