Choix du secteur :
Se connecter :

Le pont Battant est un véritable monument dans le paysage patrimonial bisontin. Il est l’un des 6 ponts à relier la Boucle et le centre ville depuis des siècles. Après avoir été démolie puis reconstruit notamment en 1953, il sera dans quelques mois, à la pointe de la modernité par l’installation du tramway.

Le premier pont Battant fut construit à l’époque romaine. Il était alors muni de 5 arches et mesurait un peu plus de 4 mètres de large. Pendant longtemps, il fut le seul pont à franchir le Doubs. Au Moyen-Âge et pendant la Rennaissance, de nombreuses réparations et modifications ont été réalisées. A la Belle Epoque, le pont était un lieu de rencontres et de commerces. On y trouvait aussi bien de petits marchands que de pêcheurs et des promeneurs. Durant la seconde guerre mondiale, une partie du pont fut détruite (du côté quartier Battant) et en 1944, il fut rehabilitee mais n’est doté que de 3 arches.

Comme un air de déjà vu…

En 1953, le pont Battant fut totalement et volontairement détruit pour éviter les inondations à répétition qui paralysaient souvent la circulation fluviale. Ce fut une période pendant laquelle le transport fluvial était régulier. Il devint alors impératif pour le maire de l’époque, Jean Minjoz, de le facilité et donc de construire un pont pratique, anti-inondation qui laisse cours à la circulation des biens. Lors de l’inauguration, il déclara : “nous avons assisté tristement à la mort d’un vieux monument précieux à tous égards, nous assistons joyeusement à une renaissance. Le pont Battant est morts…Vive le pont Battant !”.

Près de 60 ans plus tard, l’histoire se reproduit mais pour des raisons différentes…

Un individu, défavorablement connu des services de police, a été interpellé au centre ville de Pontarlier. L’homme s’est montré violent envers un client et le gérant d’une boutique de téléphonie mobile hier après midi.

L’individu convoitait le sac à main d’une cliente. Il a été placé en garde à vue avant d’être remis en liberté. Il comparaîtra en novembre prochain devant la justice. 

Nous n’avons pas davantage d’information pour l’heure mais une banderole sur laquelle on peut lire « Quel avenir pour notre Ehpad ? »  a été accrochée sur la façade de la maison de retraite de Levier. Il s’agirait d’une démarche syndicale. 

Ce mercredi 19 juin, un important dispositif a ainsi été déployé de part et d'autre de la frontière Franco-suisse. Objectif : filtrer l'ensemble des axes routiers principaux et secondaires entre le département du Doubs et du Territoire de Belfort avec les cantons de Neuchâtel et du Jura. Pour la gendarmerie du Doubs, "la frontière ne doit être ni un refuge pour les délinquants, ni un obstacle pour les forces de l'ordre". 500 véhicules et environ 660 personnes ont été contrôlées.

4 personnes ont été interpellées faisant l'objet de mandats d'arrêt helvétiques, petite quantité de haschich a été saisie, ainsi qu'une matraque télescopique et quelques infractions de sécurité routière dont 2 ivresses. "Ce dispositif a permis de réaffirmer le dynamisme de la coopération transfrontalière entre les forces de sécurité franco-suisse".

"Une nouvelle fois, ce dispositif a permis de mettre en pratique et développer le partenariat transfrontalier désormais instauré entre les différents services de sécurité des deux pays, en liaison avec les parquets de Besançon et Montbéliard ainsi que les magistrats des cantons de Neuchâtel et du Jura, en coordination avec le CCPD Genève" affirme la gendarmerie du Doubs.

Sous-catégories