Jura : Accident à Larnaud
Les secours interviennent actuellement pour un accident de la circulation entre une voiture et un tracteur à Larnaud. Les sapeurs-pompiers du Jura sont sur place.
Les secours interviennent actuellement pour un accident de la circulation entre une voiture et un tracteur à Larnaud. Les sapeurs-pompiers du Jura sont sur place.
Le FC Sochaux-Montbéliard a entamé le vendredi 17 juillet dernier le début de sa campagne de matchs de préparations. Un mois avant la reprise officielle de la Domino’s Ligue 2, Jean-Guy Jurettigh, président de l’association des supporters sochaliens est venu à notre micro parler du début de saison particulier qui s’annonce.
Voilà 5 mois déjà que les supporters du FC Sochaux Montbéliard n’ont pu voir leur équipe fanion en compétition officielle. Une attente interminable depuis la défaite 2-0 à Clermont le 6 mars dernier qui touche quasiment à sa fin. Jean-Guy Jurettigh est évidemment impatient de retrouver les lionceaux le 22 aout prochain à Auxerre pour le top départ de la Domino’s Ligue 2 : « On est allé les voir jouer à Delle ce vendredi en match amical. Ça nous manquait d’autant plus que les entrainements sont à huis-clos en ce moment ».
Des déplacement autorisés dès août ?
Si le retour des joueurs est acté, les supporters restent dans le flou pour cette reprise, notamment concernant les déplacements. N’ayant reçu aucunes directives de la part du club, les supporters ne savent pas encore s’ils pourront être du déplacement à Auxerre le 22 aout prochain : « Pour l’instant ils ne nous ont rien dit. Pour le premier match à Auxerre, je ne sais pas comment cela va se situer. Je pense que pour la centaine de supporters que nous serons, cela devrait aller ».
Un match qui laisse planer le doute
Concernant le retour à Bonal, le chiffre de 5000 spectateurs donné par le gouvernement semble lui aussi acté, même si quelques doutes subsistaient après le match amical du Paris Saint-Germain en fin de semaine dernière, où les ultras ont été particulièrement critiqués pour leur comportement jugé irresponsable. À la suite de cet incident, la ministre des sports Roxana Maracineau avait laissé planer le doute quant à une éventuelle reprise à huis-clos, ce que n’espère évidemment pas Jean-Guy Jurettigh : « Ce qui me désole, c’est que les petits clubs payent pour les gros, ce n’est pas logique. Les joueurs ont besoin de leur public derrière eux, donc j’espère qu’il n’y aura pas de huis-clos ».
Depuis cet incident, la tendance semble à l’apaisement après le match du PSG face au Celtic ce mardi, où les supporters ont respecté les mesures de distanciation. La reprise devrait donc se faire, comme prévu, avec 5000 spectateurs.
C’est parti. Cet été, la maison de quartier des « Bains Douches » à Besançon organise de nombreuses animations à destination des enfants et des familles. Les bambins, âgés de 0 à 10 ans, doivent être accompagnés de leurs parents. Alors que les enfants à partir de 11 ans peuvent venir seuls. Le programme est riche et varié. Il se veut éducatif, divertissant et favorisant le lien social. Au programme : activités créatives, artistiques, sportives, ludiques, sorties, spectacles, débat, … .
Pour mener à bien ces ateliers, la structure bisontine a travaillé avec les acteurs locaux et leurs équipes d’animation. Cet été, crise sanitaire oblige, le programme a dû être revu pour répondre aux exigences de l’instant. « Nous avons dû adapter le dispositif. Nous fonctionnons en petits groupes. Ce que nous ne faisions pas auparavant » explique Florine Guérin, la directrice de la structure. En attendant des jours meilleurs, les sorties familiales ont été repoussées à une date ultérieure.
Des animations pour tous
Les jeunes bisontins ont largement la possibilité de faire des découvertes et prendre du plaisir. Archéologie, éveil musical, origami, tournoi de badminton, cuisine, danse hip hop, beat box, … tiendront en haleine les petits vacanciers durant ces deux longs mois d’été. Tout le monde devrait s’y retrouver.
Petits et grands sont les bienvenus. Pour participer aux ateliers proposés, il suffit de s’inscrire à l’accueil des Bains Douches. Rendez-vous au 1 rue de l’école. Tel : 03.81.41.57.58
Dans un communiqué de presse, les préfectures des quatre départements francs-comtois rappellent que l’abattage des animaux dans le cadre de la fête de l’Aïd-el-Kébir doit s’effectuer dans le respect des réglementations sanitaires, environnementales et commerciales. Le conseil français du culte musulman doit confirmer la date, mais la fête devrait débuter vers le samedi 1er août., et durer trois jours.
En Bourgogne Franche-Comté, 15 abattoirs sont autorisés à effectuer l’abattage rituel le jour de l’Aïd. La liste est consultable sur le site du Ministère de l’Agriculture. Durant la période d’abattage des animaux, des contrôles seront menés par les services de l’état
Ces derniers rappellent qu’il est interdit aux particuliers de pratiquer eux-mêmes des abattages, ou pour les éleveurs d’abattre leurs animaux pour le compte de particuliers. Les abattages clandestins, c’est-à -dire en dehors des abattoirs autorisés, constituent un délit, passible de peines allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, en raison notamment des risques que présentent ces pratiques pour la santé humaine.
Les élus du groupe La République En Marche, Modem et du mouvement écologiste indépendant s’inquiètent « de la forte dégradation de la sécurité à Besançon ». Ils le disent dans un communiqué de presse. « Dégradations, violences volontaires, casses à la voiture bélier, agressions, tentatives d’incendie, dégradations de mobiliers urbains, rodéos,… ». Ils appellent Anne Vignot à Réagir. « C’est le rôle du Maire de garantir l’ordre républicain et la sécurité dans tous les quartiers. Il est urgent d’agir avant que la situation ne nous échappe. Plaçons le respect des lois et de la règle comme priorité municipale » déclarent Eric Alauzet et son équipe.
L’opposition demande la mise en œuvre de certaines mesures comme : Le développement des contrats de parentalité et l’amplification des travaux d’intérêt général pour les petits délinquants mineurs, le renforcement de la vidéoprotection dans les zones sensibles et la coopération entre police municipale et police nationale ou encore l’application du principe du « pollueur payeur » envers ceux qui dégradent avec dépôt de plainte systématique.