Choix du secteur :
Se connecter :

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, cent femmes rencontrent le Président de la République à l’Elysée.

Parmi elles, deux Francs-Comtoises. Une chef d’entreprise de Haute-Saône et la Jurassienne Raphaëlle Manière, secrétaire générale de l'union départementale CGT du Jura.

A l'occasion de la journée des droits des femmes l'Insee Franche-Comté publie des statistiques   pour mieux analyser le positionnement de la région par rapport à la moyenne française en matière d'inégalités femmes hommes. 18 indicateurs clés ont été étudiés  : population – santé ; enseignement - éducation ; travail - emploi ; revenus - salaires et conditions de vie - société. 

La Franche-Comté se situe le plus souvent près de la moyenne nationale. Elle apparaît cependant un peu plus inégalitaire pour certains indicateurs notamment la part des inscrits au baccalauréat professionnel et la part des salariés à temps partiel chez les 25 à 54 ans.

Moins de filles que de garçons dans l'enseignement professionnel

Dans le domaine de l'éducation, les performances scolaires des filles sont en moyenne plus élevées que celles des garçons. Elles redoublent moins, leur taux de réussite au diplôme national du brevet et du baccalauréat est plus élevé et elles sont plus nombreuses à être diplômées de l'enseignement supérieur. En 2011, dans la région comme en moyenne en France, le taux de scolarisation des filles est supérieur à celui des garçons. C'est entre 16 et 18 ans que l'écart est le plus important. Ainsi, en 2011 en Franche-Comté, 72 % des filles âgées de 18 ans sont scolarisées contre 62 % des garçons du même âge, taux légèrement inférieurs à la moyenne nationale qui est de 74 % pour les filles et de 65 % pour les garçons.

Dès la fin du collège, filles et garçons s'orientent différemment. Les filles optent davantage pour l'enseignement général et technologique que pour l'enseignement professionnel et dans ce cas très rarement pour les sections industrielles. Ainsi en 2011, seulement un peu plus d'un tiers des filles sont dans une filière professionnelle contre presque la moitié des garçons qui optent dans ce cas plus volontiers pour un domaine relevant de la production concrète. Inversement 60 % des filles et seulement 49 % des garçons de la région choisissent une seconde générale et technologique.

En Franche-Comté comme en moyenne en France, il y a trois fois plus d'apprentis chez les garçons que chez les filles.L'écart entre les filles et les garçons est particulièrement marqué en Franche-Comté dans la filière des baccalauréats professionnels. En 2011, la part des garçons inscrits au baccalauréat professionnel est de 19 points supérieure à celle des filles contre 14 points en moyenne nationale. Cette particularité régionale s'explique en partie par une offre de formations professionnelles dans les spécialités de production plus importante en Franche-Comté (49 %) qu'en moyenne en France (44 %). Or, les filles sont particulièrement peu présentes dans les baccalauréats professionnels conduisant vers des spécialités de production (une fille sur six élèves), tandis qu'elles sont majoritaires dans ceux menant vers des spécialités de services (deux filles sur trois élèves).

Neuf salariés sur dix à temps partiel sont des femmes

En Franche-Comté comme en moyenne nationale, les femmes sont de plus en plus nombreuses à être actives. En 2011, le taux d'activité des Franc-comtoises âgées de 25 à 54 ans s'élève à 87 %, soit la moyenne nationale. Malgré une augmentation de 7 points entre 1999 et 2011, ce taux reste inférieur de 9 points à celui des hommes du même âge (96 %). En outre, les femmes sont davantage touchées par le chômage. L'écart entre les taux de chômage des femmes et des hommes dans la région est légèrement inférieur à l'écart observé au niveau national. Parmi l'ensemble des régions de France, la Franche-Comté compte en 2011 la plus forte proportion de femmes salariées à temps partiel : 33 % contre 27 % en moyenne en France.

Contrairement aux femmes, très peu d'hommes occupent un emploi à temps partiel, en Franche-Comté comme ailleurs. Ainsi, parmi l'ensemble des salariés à temps partiel, neuf sur dix sont des femmes. En 2011, l'écart entre la part des femmes salariées à temps partiel et celle des hommes atteint 29 points dans la région.

La majorité des femmes à temps partiel occupe un emploi peu qualifié dans le secteur tertiaire : aide à domicile, adjoint administratif, assistante maternelle ou secrétaire.

Pro D2

ESB.M 21 – 27 Angers

D2.F

ESB.F 23 – 21 Merignac

N1.F

Lomme Lille Métropole 28 – 30 Palente-Orchamps

N2.M

ESB.M – Chalon

N3.M

Chaussin 30 – 19 Entente Strasbourg Schiltigheim

N3.F

Pontarlier 25 – 27 Altkirch

Maiche Morteau 34 – 27 Rosières-Saint-Julien

Longvic 29 – 29 Saône-Mamirolle

Pays-de-Montbéliard 27 – 26 Dole

Un arrêt de la Cour de justice genevoise a autorisé vendredi une Suissesse résidant en France depuis 1986 à réintégrer la couverture maladie suisse ( LAMal) . S'appuyant sur cette jurisprudence, des milliers de Suisses résidant en France voisine pourraient suivre ce mouvement.

Refusant de passer à la Sécurité sociale française et désireuse de continuer à se faire soigner à Genève, une Suissesse résidant en Pays de Gex avait fait recours contre le Service de l'assurance maladie (SAM) de Genève, qui refusait de la réintégrer. Jusqu'à cette décision de justice, il s'avérait impossible pour les frontaliers Suisses de réintégrer LAMal après s'être assuré dans le privé. La Chambre administrative vient de prouver le contraire.

Rappelons qu'avant la fin du droit d'option, pour s'assurer, le frontalier Suisse avait le choix entre le régime français et le régime suisse. Il pouvait également choisir une assurance privée française. Or, cette dernière option a pris fin et a entraîné le basculement obligatoire des frontaliers assurés dans le privé vers la Sécurité sociale française. Considérant que le droit d'option n'est en principe possible qu'une seule fois et qu'il est irrévocable, il s'avérait impossible pour les frontaliers Suisses de réintégrer la LAMal.

C'est précisément cette absence de possibilité de retour qu'a attaquée la plaignante, faisant valoir qu'elle n'avait jamais exercé de droit d'option. Les juges ont considéré qu'elle n'avait pas formellement opté pour l'abandon de l'assurance maladie suisse en s'affiliant à une assurance privée française et qu'il n'était donc pas possible de lui interdire de rejoindre le système helvétique.

Ainsi, tous les Suisses devenus frontaliers avant l'entrée en vigueur des bilatérales en 2002 et qui n'ont donc pas fait de déclaration au SAM (Service de l'assurance-maladie) pourraient demander à réintégrer la LAMal.

Un coffret électrique a été incendié hier soir dans le quartier des 408 à Besançon. Ce matin, une partie du quartier est privée d’électricité.

Durant l’intervention des pompiers et des agents d’ERDF, une équipe de CRS était sur place. Des oranges leur ont été lancées dessus. Le rétablissement total de l’électricité est prévu dans la journée.

Sous-catégories