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A quelques jours des fêtes de fin d’année, l’Etablissement Français du Sang Bourgogne-Franche-Comté relance son appel au don de sang. « Avec la courte durée de vie des produits sanguins, et notamment des plaquettes (7 jours), il est important que la mobilisation se poursuive pendant les fêtes, car les malades ont toujours besoin de transfusions en cette période si particulière Â» rappelle la structure.

Des collectes se tiendront tout au long de cette période, avec notamment un élargissement des horaires dans les sept maisons du don de la région, les jeudis 24 et 31 décembre et les samedis 26 et 2 janvier. Pour connaître les dates à venir et réserver votre créneau : mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr ou depuis l’appli Don de sang

Les professeurs de Besançon sont en colère. Ils dénoncent la manière dont est gérée la crise sanitaire dans les établissements scolaires. Alors que l’alternance dans les lycées, pour les élèves de terminale, n’est plus d’actualité, la gestion sanitaire et l’application des gestes barrières laissent à désirer, notamment lorsque les jeunes se rendent à la cantine.

Les enseignants dénoncent également les approximations et la gestion de cette crise par leur ministère de tutelle et le rectorat. Ils demandent, pour la rentrée de janvier, la mise en place d’un enseignement conjuguant présence et distanciation physique.

L’équipe de France féminine de handball disputera ce vendredi soir sa demi-finale de l’Euro 2020 contre la Croatie. La compétition se déroule actuellement au Danemark.

Rappelons que deux joueuses bisontines font partie de l’effectif tricolore : Chloé Valentini et Aïssatou Kouyaté . Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 18h. Elle sera retransmise sur TMC et Beinsports; 

L’Agence Régionale de Santé de Bourgogne Franche-Comté s’inquiète quant à la situation épidémique dans le département du Doubs. Les indicateurs de surveillance de l’épidémie de COVID-19 font de ce territoire le département le plus touché de Bourgogne-Franche-Comté et le deuxième de France métropolitaine. L’incidence est préoccupante chez  les plus de 65 ans puisqu’elle s’élève à plus de 320 pour 100.000 habitants. La pression hospitalière y est forte.

Les flux d’entrées à l’hôpital alimentent un plateau désormais supérieur à 1 800 personnes hospitalisées en Bourgogne-Franche-Comté, qui impose des transferts de patients entre établissements de la région et hors région.

Les livreurs grondent au sein de la cité comtoise. Travaillant pour Uber Eats, Delivroo, Stuart ou Glovo, ils se sont mobilisés ce week-end place Pasteur pour dénoncer leurs conditions de travail. Parmi leurs revendications, il est demandé : la hausse du prix minimum des livraisons, un minimum horaire garanti, la régulation des recrutements, la fin du système de notation et un protocole de déconnexion plus juste. Alors que les livraisons sont désormais gratuites, les livreurs déplorent aussi le fait qu’ils n’obtiennent plus de pourboire de la part des clients, ce qui représentait une certaine reconnaissance à leur égard.

Des conditions de travail difficiles

Jordan est livreur chez Deliveroo. Son quotidien, c’est de livrer 7 jours sur 7, en affrontant les conditions météorologiques, la fatigue morale et physique, la concurrence, la situation sanitaire, et toutes les conditions désormais imposées par les sociétés de vente à emporter. Le livreur, aussi employé en tant que surveillant dans un lycée, souligne que 80% des livreurs ne gagnent leur vie qu’avec ce job. Il affirme que les conditions de travail se dégradent de plus en plus au fil des années, ce qui pèse lourdement sur le moral des employés.

« On risque notre vie tous les jours Â»

Il est important pour Jordan de révéler la dangerosité de son métier, notamment en cas de mauvais temps. « Les temps de pluie peuvent être dangereux pour nous. Les voitures ou les autres véhicules ne font pas forcément attention aux vélos qui passent à côté. On risque quand même notre vie tous les jours pour livrer des repas aux clients Â». Il souligne le manque de considération de la part de ces derniers, qui ne donnent plus de pourboire, geste symbolique de reconnaissance, pour des personnes qui livrent tous les jours en risquant leur vie, « dans un métier ou ça ne devrait pas être le cas Â».

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