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Cette année encore la Ville de Morteau s'est engagée dans la campagne annuelle "Octobre Rose".
Ce programme national a pour objectif de sensibiliser la population sur le cancer du sein, et ainsi faire de la prévention auprès des femmes afin qu'elles effectuent un dépistage.

A cette occasion la Ville de Morteau a mis en place plusieurs événements afin de récolter des dons pour différentes associations qui militent pour la santé de tous.

Avec près de 1500 coureurs à la Crazy Pink Run, 8400€ ont pu être récoltés au cours de la soirée.
Grâce également aux commerçants, et à la soirée cinéma, la somme des dons récoltés a dépassé les 12000€.

Cette très belle somme a été répartie entre quatre associations à l'occasion de la cérémonie de remise des dons : Vivre comme avant, Oncodoubs, Semons l'Espoir et la Section locale de la Ligue contre le cancer.

Retrouvez les associations sur leur site internet :

Vivre comme avant : http://www.vivrecommeavant.fr/

Oncoudoubs : http://www.oncodoubs.fr/Accueil.htm

Section locale de la Ligue contre le cancer : https://www.ligue-cancer.net/cd25B/journal

Semons l'Espoir : http://www.semonslespoir.asso.fr/

L'hiver est arrivé dans la région. Il est temps comme chaque année de se prémunir face aux risques d'intoxication au monoxyde de carbone.

L'an dernier, c'est plus d'un milliers de personnes qui ont été victime d'une intoxication.
Cette année, la Préfecture du Jura tient à informer afin que tous puissent adopter les bons gestes.

Pour limiter au maximum les risques d'intoxication, il faut avant chaque période hivernale faire vérifier et entretenir ses installations de chauffage et de production d'eau chaude. Les chauffages d'appoint ne doivent pas fonctionner en continu.

Quand le froid est installé, il est parfois inenvisageable d'ouvrir les fenêtres et pourtant ! Il est fortement conseillé d'aérer au moins dix minutes tous les jours, pour éviter tout risque d'intoxication au monoxyde de carbone.

Ce matin, vers 5h30, les pompiers du Jura sont intervenus à Pont d’Héry pour un feu situé dans un fumoir d’une usine de salaison et de transformation des produits de charcuterie d’une surface de 1000 m² au sol.  L’activité de l’entreprise sera légèrement impactée et sans conséquences pour les employés de l’entreprise.

Ce jeudi 9 novembre, le secours catholique a publié son rapport statistique sur l’état de la pauvreté en France. Ce rapport est basé sur 85.165 fiches statistiques renseignées en 2016 lors des rencontres avec les personnes que l’association accueille. Il en ressort en Franche-Comté comme ailleurs que la grande pauvreté s’installe et qu’il devient de plus en plus difficile de s’en sortir.

Ce rapport fait apparaître une augmentation du nombre de familles touchées par la pauvreté, l’isolement des étrangers sur le sol français, le non-recours aux droits contrairement aux préjugés distillés et l’augmentation du nombre de personnes sans aucune ressource. Selon ce rapport, 30.000 personnes ont été accueillies en Franche-Comté par l’association en 2016, plus de la moitié sont des enfants. Une très grande majorité de ces femmes et hommes vivent avec moins de 600 euros par mois. Rappelons que le seuil de pauvreté s’établit à 1015 euros. Agées entre 18 et 50 ans, ces personnes sont des mères isolées, des couples avec enfants et des hommes seuls. L’association constate également que le nombre de retraités en difficulté augmente. Au moment de la retraite, les revenus chutent. Lorsque la vie d’avant fut déjà compliquée, la situation se détériore encore plus pour ces seniors.

Combattre les préjugés

En plus d’avoir à gérer au quotidien leur précarité, les personnes en difficulté doivent également faire face au regard et aux préjugés de la société, qui ne les épargne pas. « Si on cherche du travail, on en trouve Â», « les étrangers viennent profiter du système social français Â» ou encore « les pauvres sont des assistés et des fraudeurs Â»â€¦ Autant de phrases qui font mal, touchent et n’aident pas pour retrouver la confiance perdue. « Les préjugés ne sont pas que des mots. Ils pèsent, écrasent les personnes, déchirent la société et freinent la lutte contre la pauvreté Â» explique-t-on au Secours Catholique. C’est la raison pour laquelle l’association s’emploie « Ã  les faire tomber Â». A ce sujet, ce printemps, le Secours Catholique a organisé un tour de France contre les préjugés qui a fait étape dans de nombreuses villes , comme Belfort, Pontarlier ; Besançon et Lons-le-Saunier en Franche-Comté.

Ce jeudi 9 novembre, c’était la journée de lutte contre le harcèlement scolaire. Un véritable fléau qui touche tous les établissements de France. Dans l’académie de Besançon, l’Education nationale en a fait sa priorité. Plus précisément, elle œuvre pour améliorer le climat scolaire. Un travail de longue haleine qui a débuté il y a plusieurs années maintenant. Les adultes sont sensibilisés, mais aussi les jeunes. Ainsi des ambassadeurs lycéens sont élus chaque année pour sensibiliser les plus jeunes et inviter les victimes à prendre la parole pour que ces agressions cessent. Les chiffres parlent d’eux mêmes. Un élève sur dix serait concerné par le harcèlement scolaire. Ses formes sont variées et très sournoises. Il y les mots, mais aussi les gestes. Aujourd’hui avec les réseaux sociaux, le harcèlement scolaire dépasse très largement les grilles de l’école.

A Besançon, au collège Diderot, l’équipe éducative a bien conscience de la situation. C’est la raison pour laquelle, l’établissement scolaire a choisi de participer à cette journée, mais tout au long de l’année des actions sont mises en Å“uvre pour faire changer les mentalités. Ce jeudi matin, un temps de discussion a été organisé dans chaque classe. Les 700 adolescents ont été invités à s’exprimer sur cette question de société. Dans le hall du collège, sur un mur, baptisé pour l’occasion « Non Au Harcèlement Â», les jeunes ont pu écrire des messages en lien avec ce sujet. Ce qui a permis parfois de libérer la parole et de prendre conscience de certaines situations difficiles. Durant ces moments collectifs, les professeurs ont invité leur jeune public à ne pas s’isoler et à parler. « Il n’y a pas de scolarité réussie, si les élèves ne se sentent pas en sécurité ou s’ils rencontrent des difficultés ou connaissent des inquiétudes Â» rappelle Virginie Mourey, Conseillère Principale d’Education au collège bisontin.

Inscription au concours national

Au collège Diderot, encadrée par un professeur, une classe de 4è s’intéresse au harcèlement scolaire. Elle travaille notamment sur la réalisation d’une vidéo, qui s’inscrit dans un concours national. Au cours de l’année, ces adolescents auront également l’occasion de vivre d’autres riches initiatives pédagogiques comme cette rencontre avec la maman d’un adolescent de 16 ans qui, harcelé au quotidien à l’école et sur les réseaux sociaux, a tenté de se donner la mort en s’immolant. A travers ce projet de classe, les adultes espèrent provoquer une réaction chez ces jeunes adolescents qui n’ont pas toujours conscience de la conséquence de leurs actes.

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