archive-actu

Ce jeudi 16 novembre, le Centre d’Action Médico-Sociale Précoce (CAMSP) du Doubs et de l’Aire Urbaine organise une journée d’étude, ouverte à tous les professionnels de la petite enfance, sur le thème des enjeux du langage postural à Micropolis Besançon. Le CAMSP est un centre polyvalent qui accueille les enfants de 0 à 6 ans, présentant un trouble dans leur développement, quelle qu’en soit la gravité et la nature (sensoriel, moteur, mental, psychique). Une équipe pluridisciplinaire composée de médecins (neuropédiatre, pédopsychiatre, médecin de PMI), de thérapeutes et rééducateurs (psychologue, orthophoniste, kinésithérapeute, psychomotricienne), d’éducatrices spécialisées et d’assistantes sociales accueille l’enfant et sa famille.

Jeudi, ces professionnels, soucieux de parfaire leurs connaissances et d’améliorer leurs interventions se rencontreront et aborderont, comme ils le font régulièrement, une thématique précise. Celle du portage de l’enfant fera l’objet de toutes les attentions. Ce domaine d’intervention est en constante évolution. D’où l’importance de faire le point sur les pratiques en cours. Des études très poussées ont d’ailleurs récemment permis de prouver que le couchage de l’enfant sur le dos, réduisait considérablement les cas de mort inattendue du nourrisson. Il est également apparu que le langage postural avait toute son importance dans l’interaction entre le bébé et son parent, dans l’organisation du schéma corporel de l’enfant et dans l’éveil corporel du tout petit.

Pour tous ces professionnels, le développement harmonieux du nourrisson dépend, en partie, de la qualité du soutien apporté par son environnement.

Après plusieurs rencontres au cours desquelles le Racing Besançon n’est pas parvenu à sortir son épingle du jeu, samedi dernier, le groupe d’Alexandre Pepe a été récompensé et a connu un épilogue heureux. Les footballeurs bisontins ont battu le leader de leur poule de national 3, la réserve dijonnaise, qui, avec sept victoires et deux nuls, était invaincue depuis le début de saison.

Alexandre Pepe ne veut pas s’enthousiasmer trop vite mais reconnaît quand même que son groupe a livré une belle bataille samedi soir à Léo Lagrange. Avec un match en retard, le Racing Besançon compte 14 points et figure à la sixième place au classement. Une situation qui ne convainc qu’à moitié le coach bisontin. Les points perdus à Pontarlier, il y a une quinzaine de jours, lui reste encore en travers de la gorge. « Si nous comptions trois points de plus, je vous aurais dit que nous avions bien réussi notre début de saison. Ce qui n’est pas totalement le cas. Néanmoins, nous sommes confiants en l’avenir Â» ajoute Alexandre Pepe.

Deux autres nouveaux renforts

Pour Alexandre Pepe, son équipe est encore « fragile Â». C’est la raison pour laquelle, le club a décidé de se renforcer . Il y a quelques jours, avec Anthony Fori, le Racing Besançon a accueilli sa première recrue. Deux autres joueurs pourraient également rejoindre la formation bisontine d’ici la fin de l’année. En attendant, le championnat se poursuit. Ce dimanche, les Racingmen se déplacent à Saint-Apollinaire, actuel 11è du championnat.

Les élèves du collège Olympe de Gouges à Pont-de-Roide vont rencontrer demain des athlètes de haut niveau.

Dans le cadre du projet C@P 25, le département du Doubs souhaite associer le sport et l'éducation populaire, le sport étant un facteur de cohésion sociale et d’attractivité du territoire.

Le club cycliste Etupes interviendra demain auprès de 50 collégiens, l'objectif étant de permettre aux élèves de vivre des moments privilégiés et de participer à des entraînements de grands sportifs. Ils pourront également échanger sur le sport, la sécurité des sportifs, ou encore la santé.

La ville de Besançon a décidé d’interroger les Bisontines et les Bisontins sur l’organisation du temps scolaire à la rentrée prochaine. Pour ce faire, la cité comtoise organise une grande consultation citoyenne qui se tiendra le 10 décembre prochain. 36 bureaux de vote, implantés dans toute la ville, seront ouverts pour recueillir un maximum de suffrages. Rappelons que depuis l’arrivée aux responsabilités d’Emmanuel Macron, les municipalités ont la possibilité de modifier le temps d’école. Nombreuses sont celles qui ont choisi de revenir à la semaine de 4 jours. Pour Yves Michel-Dahoui, l’élu en charge de l’Education à la Ville de Besançon, il est important d’associer la population locale à cette réflexion. « Il s’agit d’un vrai sujet de société qui concerne le plus grand nombre Â» explique-t-il. Et de poursuivre «  il était important que nous tranchions cette question ensemble».

Trois questions posées

Cette consultation citoyenne se déroulera en deux temps. Tout d’abord, pour que la population puisse se faire sa propre opinion, un débat public se tiendra le 27 novembre, à 20h, au Kursaal. Des experts et des spécialistes du temps de l’enfant seront présents et exposeront leurs divergences. En parallèle, un dossier complet et objectif sera très largement diffusé. Il sera consultable également sur internet. Le 10 décembre, les Bisontins seront appelés aux urnes. Ils devront alors choisir l’une des trois options proposées : l’école doit-elle se dérouler sur 4 jours, 4 jours et demi avec le mercredi , ou 4 jours et demi avec le samedi ? A Besançon, comme c’est le cas partout en France, la décision finale sera prise par l’état.