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Dans un communiqué de presse, la Ville de Besançon dénonce l’occupation « illégale Â» par le collectif Solidarité Migrants Réfugiés (Sol Mi Ré) d’un local commercial appartenant à la Saiemb. Elle apporte son soutien à cet office HLM.

« Cette occupation sans titre a été effectuée sans aucune concertation ou accord entrepris vis-à-vis du propriétaire, engendrant un problème de sécurité, de responsabilité et tout simplement, un problème de droit Â» explique l’écrit de la mairie. Cette dernière tient à préciser que « que ce local ne sert pas de lieu d’hébergement la nuit, pour les migrants, mais il est utilisé uniquement comme accueil de jour par l’association Sol Mi Ré Â».

La Ville invite l’association « Ã  aider les familles à se faire connaître auprès de la Préfecture afin d’être admises en accueil de jour et être hébergées dans les structures prévues à cet effet Â».

Un grave accident de la circulation s’est produit sur la RN 57 à hauteur du rond point de Beure. Une voiture et un poids lourd se sont percutés. On déplore un blessé grave.

Naissances :

01/12/17 – Marius de Fabien PERREY, horloger rhabilleur et de Aurore DESPLANCHES, psychomotricienne.

01/12/17 – Nino de Julien ZEMB, régleur et de Coralie CHAGROT, aide-ménagère.

01/12/17 – Omar de Fatoumata BERETE, sans profession.

02/12/17 – Bastien de Loïc BOURGLAN, plombier chauffagiste et de Emilie COULON, employée de commerce.

03/12/17 – Capucine de Julien MARGUET, ingénieur et de Julia GUINCHARD, professeur des écoles.

03/12/17 – Solal de Christophe ARDOUIN, employé pharmaceutique et de Christelle HOVASSE, employée pharmaceutique.

03/12/17 – Inès de Jaouad ZAOUI, commerçant et de Marine GALMICHE, gérante.

04/12/17 – Marcus de Benoit FAIVRE, chef d’entreprise et de Marianne DELAIR, secrétaire.

04/12/17 – Tempérance de Cédric SCHMITT, professeur de droit et de Sandrine JOUILLE, fonctionnaire de police.

05/12/17 – Margaux de Clément BENOIT-PEQUIGNET, chef de projet informatique et de Marinette BLONDEAU-PATISSIER, opticienne.

05/12/17 – Jacinthe de Raphaël GEORGE, menuisier et de Jeanne HARTEMANN, sans profession.

06/12/17 – Victorine de Eric CHARPY, menuisier et de Colette BÔLE-RICHARD, comptable.

07/12/17 – Aaron de Alexis RAMBOZ, ouvrier polyvalent et de Jennifer TOLEDANO, contrôleuse qualité.

07/12/17 – Louison de Julien LAGARDE, responsable industrialisation et de Ketty RIVIÈRE, professeur.

08/12/17 – Gabin de Mickaël JACQUET, mécanicien outilleur et de Mélanie RENAUD, employée de banque.

Publications :

07/12/17 – Christophe LOMBARDOT, ingénieur et Agnès VITRY, enseignante.

11/12/17 – Gaëtan VANNOD, charpentier et Charlotte VIEILLE-MARCHISET, infirmière.

Décès :

04/12/17 – Eugénie PECQUEUR, 94 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs) veuve de Henri MORCRETTE.

05/12/17 – Roger FAIVRE, 92 ans, retraité, domicilié à Puguey (Doubs) veuf de Marcelle LHOMME.

06/12/17 – Daniel GRANDJEAN, 55 ans, sans profession, domicilié à Frasne (Doubs) célibataire.

06/12/17 – Marcel RAHON, 83 ans, retraité, domicilié à Foncine-le-Haut (Jura) époux de Gisèle CONTENSUZAS.

06/12/17 – Jeanne BILLOD, 87 ans, retraitée, domiciliée à Morteau (Doubs) veuve de Bernard VOINET.

06/12/17 – Bertrand DENISET, 68 ans, sans profession, domicilié à Pontarlier (Doubs) célibataire.

07/12/17 – Marie CHARMOILLAUX, 94 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs) veuve de Gilbert COUSSEMENT.

09/12/17 – Marie-Françoise BONNET, 67 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs).

Les vacances d’été sont encore très loin mais il n’est pas trop tôt pour commencer à réfléchir à un job d’été. Pourquoi pas se lancer dans l’animation ? Dans ce cas, pour être diplômé et pouvoir être rémunéré, il convient de passer le BAFA. L’obtention de ce diplôme, accessible, nécessite de prévoir un temps de formation.

C’est la raison pour laquelle, ce mercredi après-midi, à 14h, le Centre Régional d’Information Jeunesse de Franche-Comté propose une présentation détaillée du BAFA et des différentes phases de préparation de ce brevet : la formation générale, le stage pratique, l'approfondissement ou la qualification.

Ce temps d’information est ouvert à tous. Il vous permettra aussi de poser toutes vos questions et d’échanger avec les interlocuteurs présents. Rendez-vous ce mercredi après-midi, à partir de 14h au CRIJ de Franche-Comté, 28 rue de la République à Besançon.

Les résultats de la consultation organisée ce dimanche par la Ville de Besançon concernant l'organisation du temps scolaire dans les écoles publiques de la cité sont connus. Les Bisontins se sont prononcés à 57,14% en faveur de la semaine de 4 jours : lundi, mardi, jeudi et vendredi. On notera également que 30,49% des votants se sont prononcés pour la semaine de 4,5 jours avec le mercredi matin et 12,37% pour la semaine de 4,5 jours avec le samedi matin. 2.683 personnes ont donné leur avis, soit un taux de participation de près de 3,77%. Rencontre avec Yves-Michel Dahoui, l’élu en charge de l’éducation à la Ville de Besançon.

Que vous inspire ce résultat ? Le retour à la semaine de 4 jours n’est pas une surprise ?

Ce n’est pas une surprise mais par rapport à un score fleuve qui était annoncé pour les 4 jours, ça n’est pas le cas. Avec 57% pour la semaine de 4 jours, les résultats sont plutôt équilibrés. Cela justifie complètement notre démarche et les trois options que nous avons proposées. Cela permet surtout de clore un débat qui était récurrent et jamais statué. A savoir, celui du retour ou pas aux quatre jours d’école.

Vous auriez sans doute aimé un taux de participation plus élevé ?

C’est une expérience qui est unique en France. Les collectivités n’ont pas l’habitude de procéder ainsi, contrairement à nos voisins suisses qui font des votations assez régulièrement, avec des taux de participation à 45%. C’est par la pratique que nous arriverons à mieux mobiliser. Je rappelle que nous, mairie, avions la possibilité d’opter pour une solution ou une autre. Je pense que 2700 personnes qui donnent leur avis, c’est mieux que 55 élus municipaux.

Comment allez-vous organiser la prochaine rentrée scolaire ?

Nous allons mettre en œuvre ces nouvelles dispositions dès septembre 2018. Nous garderons la même ambition en ce qui concerne le contenu de nos activités périscolaires puisque nous avons structuré cette offre. Nous avons recruté près de 500 animateurs, des directeurs et des directrices de centre, des coordonnateurs et des référents pour chacune des écoles. Cette structuration va être maintenue avec la même ambition. Notre souhait est d’évoluer encore dans la qualité de nos activités périscolaires. Simplement, cela s’organisera différemment puisque les modalités horaires ne seront plus les mêmes.

Désormais, cette nouvelle organisation du temps scolaire va être proposée à l’Education nationale ?

C’est effectivement l’inspection académique qui tranchera. L’inspecteur d’académie tiendra compte évidemment du vote des Bisontines et des Bisontins, que nous nous sommes engagés à porter auprès de lui. En parallèle, une réflexion est actuellement menée au sein des différents conseils d’école de la ville.

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