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Laurent Wauquiez est le nouveau président des Républicains. Au niveau national, il a obtenu 74% des voix face à Laurence Portelli (16%) et Maël de Calan (9%).

Dans le Doubs, le taux de participation est de 43,36%. Sur 2.101 inscrits, 911 adhérents ont pris part au scrutin. Laurent Wauquiez a obtenu 83% des suffrages. Florence Portelli a recueilli 12,54%. 4,77% pour Maël de Calan.

Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés pour un accident rue du Général Brûlard à Besançon. Une voiture est entrée en collision avec le tramway.

Cinq victimes sont à déplorer dont une est encore incarcérée. La circulation est interrompue, les lignes de tram 1 et 2 sont également perturbées. 

Plus de deux semaines après avoir contacté les élus ainsi que les responsables de la RDTD en charge des transports scolaires, les parents d'élèves de La Longeville attendent toujours une réponse concernant les problèmes liés à la sécurité des enfants dans les transports scolaires. Seul le maire de La Longeville, Adrien Pellegrini, a réagit en envoyant lui aussi un courrier au département du Doubs ainsi qu'à la préfecture du Doubs.

Régina Rusenacht parents d'élèves explique qu'ils se sont réunis afin de créer un collectif de parents et ainsi pouvoir se faire entendre "avant que quelque chose de grave ne se produise". "Nous sommes très déçus des élus. Nous allons laisser passer les vacances, et si rien ne bouge, si nous devons faire face à un seul problème, nous porterons plainte" explique-t-elle.

En début d'année, les élèves étant trop nombreux pour le nombre de places à leur disposition, ils faisaient le trajet debout dans les rangées, bien loin de toutes consignes de sécurité. "Aujourd'hui pour mettre fin à ces difficultés, quand le bus est plein, les chauffeurs refusent que les autres élèves présents sur le trottoir montent dans le car. Ils leurs disent d'attendre le bus d'après en espérant qu'il y ait de la place. Ils restent sur le trottoir parfois une heure, totalement livrés à eux-mêmes. Certes ils ont 14 ans, mais ce sont encore des enfants" s'insurge Régina Rusenacht.

Rappelons que le 23 novembre dernier, les parents avaient contacté les responsables des transports scolaires afin d'assurer la sécurité de leurs enfants, sur la ligne Morteau-Doubs.

Depuis ce dimanche 10 décembre, un nouveau parti politique a fait son apparition dans le Doubs. « Agir la droite constructive Â» est désormais une réalité. Pour ses responsables, l’objectif est d’occuper un espace au centre et à droite qu’aucun parti ne représente jusqu’à présent. Ce parti veut faire de la politique autrement. « Agir Â» et ses membres ne cachent pas également leurs ambitions pour les échéances électorales à venir. Rencontre avec Philippe Gonon, vice-président du Conseil Départemental du Doubs, l’un des membres fondateurs de ce parti dans le département.

Pouvez-vous nous présenter ce nouveau parti ?

C’est une initiative qui a été prise par un certain nombre de députés au niveau national. L’objectif étant de n’être ni Wauquiez, ni Macron. Autrement dit, occuper un espace politique qui s’est libérée au centre et à droite. L’élection de Macron en mai dernier a été un véritable tsunami politique. Il va falloir en tirer toutes les conclusions. Ce jour là, les Français ont exprimé des choses extrêmement précises. Y en un avant et un après mai 2017. On ne peut plus faire de la politique aujourd’hui comme on en faisait encore il y a quelques mois.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

Il y a un certain nombre de têtes émergentes, comme Franck Riester, qui est le porte parole et le leader. Mais les choses se construisent. Les statuts ont été approuvés le 5 décembre dernier. C’est tout récent. Il va y avoir un congrès, des élections. Il y aura la création d’un bureau. C’est une initiative spontanée qui est très intéressante. Il faut désormais structurer ce parti avec un président, un bureau, … . C’est désormais le travail que nous avons à faire.

Vous êtes à la recherche d’adhérents ?

Je suis un peu étonné car cela fait un jour ou deux jours que l’on a lancé cette idée dans le département du Doubs et beaucoup de gens sont en train de nous contacter. Spontanément, il y a beaucoup de personnes qui se manifestent, en expliquant « qu’elles ne veulent plus rester dans les partis traditionnels ». Ce sont des gens qui ont envie de nous suivre, qui ont envie de pratiquer ces nouveaux usages politiques.

La double appartenance politique ne semble pas être un problème pour vous rejoindre. Par exemple, vous concernant, vous continuez à porter l’étiquette UDI.

Nous sommes par moments écartelés. Chez Macron, il y a des bonnes choses et il n’est plus question de tout refuser un bloc ou de tout accepter en bloc aussi.

On peut envisager que pour les prochaines échéances électorales des candidats d’Agir se présentent ?

Dans les discussions préalables à la constitution d’Agir national ou dans le Doubs, forcément, la question des élections a été soulevée. Bien sûr qu’il y aura des candidats aux prochaines élections. Et ce, dès les Européennes de 2019.

La Ville de Besançon vient d’être équipée de sa première borne de recharge pour les véhicules électriques. Elle a été installée sur le parking Saint Jacques. Quatre autres seront implantées sur le territoire Bisontin (Granvelle, Chamars, Saint-Paul et Hôpital Jean-Minjoz). Au total, sur l’ensemble du département du Doubs, 47 bornes verront le jour. Certaines sont déjà en fonctionnement à Besançon, Valdahon et Morteau. Le coût global de cet investissement, financé par l’Ademe, la Région Bourgogne Franche-Comté, le Syded (syndicat mixte d’énergies du Doubs) et les communes, s’élève à 730.000 euros. L’achat d’une borne ne revient qu’à 2500 euros pour les villes concernées.

Ces installations, toutes en charge « accélérée Â», permettent de recharger complètement un véhicule citadin en 1h30. A Besançon, la recharge est gratuite sur ces 5 bornes et comprise dans le prix du stationnement. Précisons qu’il est toutefois nécessaire de se connecter avec un service de mobilité par smartphone pour lancer le processus de charge.

Le sénateur Jean François Longeot, à l’initiative de ce projet dans le département, lorsqu’il était Président du Syded, et Jean-Louis Fousseret, le Maire de Besançon, y voient un processus écologique et un soutien à l’industrie automobile, et notamment à Peugeot, dans son mouvement pour la transition énergétique.

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