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Après un début de saison compliquée, le SC Clémenceau est-il en train de retrouver un second souffle ? Le club bisontin vient de tisser un partenariat avec la société parisienne ‘DTAMG Â», spécialisée dans la gestion de patrimoine et de carrière de footballeurs. Par ailleurs, via l’association « total football Â», le club du président Patrick David entend créer une académie de football à Besançon. Pour le Président David, cette rencontre est providentielle. Dans un premier temps, l’objectif est d’essayer de maintenir l’équipe senior en national 3. Les autres projets verront le jour ultérieurement. Patrick David en a la certitude, même si son club ne parvient pas à conserver sa place en cinquième division française, la société parisienne ne le laissera pas tomber.

Sept nouveaux joueurs alignés

Samedi, comme ce fut déjà le cas la semaine précédente contre Sochaux (2), le SC Clémenceau a retrouvé des couleurs. Son effectif a mené une belle bataille contre le Racing Besançon, parvenant ainsi à décrocher un match nul. Le président bisontin reconnaît que son effectif manque encore de cohésion, mais il lui reste encore 13 journées pour se sortir de la zone rouge. Au total, sept nouveaux coéquipiers, à la recherche d’un second souffle, ont fait leur apparition au SC Clémenceau. Malgré ces renforts, le maintien s’annonce difficile. Mais Patrick David veut y croire.

Samedi, le SC Clémenceau se déplacera chez la réserve dijonnaise (2è), avant de recevoir Saint Apollinaire et de se rendre à Tavaux, pour affronter Jura Dolois.

Avec 42 000 nouveaux cas chaque année, le cancer colorectal représente, par sa fréquence, le troisième cancer chez l’homme et le deuxième chez la femme. La Ligue contre le cancer profite de « Mars Bleu », mois de sensibilisation au cancer colorectal, pour rappeler l’importance du dépistage chez les personnes de plus de 50 ans. Une opération de sensibilisation au dépistage avec le Côlon Tour, en partenariat avec l’ADECA-FC (Association pour le DÉpistage des CAncers en Franche-Comté).

Un côlon géant et des professionnels seront donc présents jeudi 8 mars de 10h à 17h à l’Espace Ménétrier. Via cette approche pédagogique, les visiteurs comprendront d’une part l’évolution et la progression de la maladie, et d’autre part l’intérêt du dépistage et de la coloscopie pour traiter des petites tumeurs en évitant possiblement un traitement chirurgical.

« Le côlon géant permet de renvoyer une véritable image positive du dépistage du cancer colorectal et de démystifier l’approche de cet organe, organe comme un autre. Les participants découvrent qu’il est facile de se faire dépister ».

On sait désormais qui est à l’initiative des guirlandes de slips et culottes accrochées à Poligny. Cette initiative surprenante est née dans un collège de la commune.

L’objectif étant d’aborder ensuite avec une classe de 4è, les problématiques des fausses informations et des rumeurs.

Si l’intérêt pédagogique reste à prouver, l’initiative a fait parler et a trouvé un écho retentissant auprès de la presse régionale, nationale et même internationale.

Demain, mardi 20 février, la Ville de Besançon accueille la rencontre de Pro A de tennis de table qui opposera le club Franc-comtois de Jura Morez à Rouen. Cette rencontre se déroulera dès 19h, au Gymnase des Montboucons.

Ce championnat est le plus relevé en Europe, devant les championnats Allemand, Polonais et Suédois. Les Bisontins qui le souhaitent auront l’occasion d’encourager les hauts jurassiens de Morez et d’assister à un spectacle de qualité opposant des joueurs faisant tous partie des meilleurs joueurs mondiaux. 

L’entrée est fixée à 5€, gratuite pour les moins de 16 ans.

La Sapaudia, qui œuvre pour le don de moelle osseuse, sera présente dans le Haut-Doubs pour recueillir des préinscriptions de donneurs. Elle mènera deux actions bien précises d’ici la mi-mars. Les 22 février et 1er mars, elle se rendra respectivement aux collectes de sang de Labergement-Sainte-Marie et Mouthe pour rencontrer le public, lui expliquer ce qu’est un don de moelle osseuse et lui rappeler que ce geste est très important et peut sauver des vies.

Dans un second temps, les personnes qui auront rempli une préinscription seront contactées par téléphone et invitées à se rendre à une collecte de l’Etablissement Français du Sang (EFS), délocalisée à Pontarlier, le 17 mars prochain. L’objectif étant pour l’EFS de connaître la carte d’identité génétique du donneur afin qu’il puisse être contacté en cas de besoin. Il deviendra alors un veilleur de vie.

Ces informations sont très utiles car elles permettront de mettre en relation, le moment venu, le donneur avec une personne malade. Les bonnes combinaisons sont rares. Mais lorsqu’elles existent, cela permet de sauver des vies. La France est encore très en retard dans ce domaine. On ne recense actuellement que 260.000 donneurs dans l’Hexagone. Alors que certains pays européens, comme l’Allemagne et la Pologne, dépassent largement le million. Plus de 2.000 malades sont en attente d’une greffe de moelle osseuse dans les hôpitaux français.

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