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En raison de suspicion de toxi-infection alimentaire dans deux établissements scolaires du Doubs, au lycée de Dannemarie-sur-Crête et au collège d’Ornans, des investigations sont en cours.

A Dannemarie-sur-Crête, un plat en sauce et un dessert lacté sont mis en avant comme sources possibles. Dans la Vallée de la Loue, le fromage blanc aux fruits et provenant du même lot de fabrication d’une fromagerie basée à Pouilley-les-Vignes est pointé du doigt.

Précisons que l’entreprise qui a livré ces produits a également été inspectée et des prélèvements des produits réalisés. Dans l’attente des résultats d’analyse, le lot de produits laitiers est bloqué.

Malgré une saison compliquée, le GBDH peut nourrir quelques motifs de satisfaction. Le club bisontin est bien représenté pour les récompenses individuelles annuelles en Proligue. Luka Brkljacic et Thibaud Arteaga sont nominés dans plusieurs catégories. Meilleur joueur et meilleur demi-centre pour le premier. Meilleur joueur, meilleur espoir, et meilleur ailier droit pour le second. Pour voter, rendez-vous jusqu’au 4 juin, sur le site de la LNH.

 

La Ligue Butagaz Énergie a dévoilé les 3 finalistes pour le titre de meilleur entraineur de l’année, parmi lesquels figure la coach de l’ESBF Raphëlle Tervel. Auteures d’une saison remarquable, les Engagées ont terminé sur le podium du championnat après avoir battu par deux fois Chambray. Pour voter pour Raphaëlle Tervel, rendez-vous sur le site de la Ligue Féminine de Handball, dans la rubrique Trophée MVP. Les votes seront clos ce dimanche à midi.

 

 

Ce lundi, le vaccinodrome de Micropolis a ouvert ses portes à Besançon. De nombreux élus étaient présents afin d’inaugurer ce nouveau centre, qui permettra d’ici deux semaines de vacciner 2000 personnes par jour.

Anne Vignot (Maire de Besançon), Joël Mathurin (Préfet du Doubs), Christine Bouquin (Présidente du Doubs), ou encore Nezha Leftah-Marie (Déléguée départementale de l’ARS) étaient présents ce lundi, afin d’inaugurer le nouveau centre de vaccination à Micropolis. Un centre qui permettra d’accueillir d’ici deux semaines 2000 personnes par jour, contre 350 au centre Résal. Une avancée notoire qui permettra dans les prochaines semaines d’accélérer considérablement la vaccination, désormais ouverte à toutes les personnes de plus de 18 ans sans comorbidités : « Pour pouvoir faire tourner ce centre, il faut une équipe de 100 personnes. Des secrétaires, des infirmiers, des pharmaciens, des médecins, des secouristes, et du personnel logistique Â», explique le commandant Reynald Ballin, sapeur-pompier, et chef du centre de vaccination.

Comment ça se passe ?

Depuis hier, tout le monde ou presque peut aller se faire vacciner. Il suffit pour cela de prendre rendez-vous sur Docto’lib, où il est notamment possible de choisir entre différents vaccins. Les équipes présentes au vaccinodrome organisent ensuite les journées à venir en fonction des données recueillies sur Docto’lib. En cas de désistement, l’objectif numéro un est évidemment de ne gâcher aucune dose : « On a un suivi en instantané. Quand des gens se désistent, on leur téléphone et s’ils ne viennent pas, on réouvre à la minute les plages laissées ouvertes. Le plus simple reste tout de même que les personnes qui prennent rendez-vous le note bien dans leur agenda et viennent se faire injecter leur dose Â». Le vaccinodrome restera ouvert jusqu’au 30 septembre, date à laquelle les autorités espèrent avoir vacciner toutes les personnes qui le souhaiteront.

À trois semaines des épreuves du baccalauréat qui débuteront le 16 juin, suivies quelques jours plus tard par celles du brevet, le SNES-FSU, syndicat d’enseignants, déplore les conditions dans lesquelles ces examens se tiendront. 

Selon le syndicat, aucune précaution n’est prise afin de permettre aux élèves de passer sereinement ces épreuves. Dans un communiqué de presse, il révèle que seulement 3 lycées (Belin à Vesoul, V. Hugo à Besançon, et Jean-Michel à Lons-le-Saunier) sont vraiment en demi-jauge comme préconisé par le ministère depuis la rentrée des vacances de Pâques. De plus, le SNES-FSU indique que la règle de fermeture d’une classe dès le premier cas de Covid semble ne pas être appliqué, certains chefs d’établissement gardant le silence sur les chiffres de contamination. Concernant les autotests, le syndicat condamne aussi le fait que seulement 15% de ceux livrés ont été utilisés. Le SNES-FSU conclut en affirmant que rien n’est envisagé pour pallier les inégalités de traitement entre les candidats qui n’ont pas pu bénéficier des mêmes conditions de scolarité dans tous les établissements cette année.

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