En avril dernier, une vendeuse de la chocolaterie de la rue de la République à Besançon avait fait croire qu'elle avait été victime d'un braquage. En réalité, elle avait menti pour couvrir ses vols dans la caisse depuis 2 ans (30 000 euros). Elle était même allée jusqu'à s'affliger un coup de couteau dans le ventre. Problème : les empreintes relevées sur l'arme étaient les siennes.
Elle comparaît ce vendredi 28 juin au tribunal correctionnel de Besançon.































