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Jonathann Daval a dû faire face une nouvelle fois à sa belle-famille. Ce mercredi, il comparaissait devant le tribunal de Besançon pour répondre des faits de « dénonciation calomnieuse ». Le Procureur général Etienne Manteaux a demandé la relaxe. Le prévenu a, une nouvelle fois de plus, présenté ses excuses à la famille, qui demande également 60.000 euros de dommages et intérêts. La décision a été mise en délibéré au 24 mai prochain.

C’est un jugement historique. La Cour européenne des droits de l’homme a condamné un  Etat, en l’occurrence la Suisse, pour inaction climatique. Cette décision pourrait néanmoins faire jurisprudence dans toute l’Europe. Il est reproché aux autorités helvètes de ne pas suffisamment se mobiliser pour combattre le réchauffement climatique. Il leur faudra désormais trouver de nouvelles mesures pour faire évoluer la situation.

Une militante d’extrême droite, qui avait brandi des banderoles anti-immigration lors du Carnaval de Besançon, dimanche après-midi, a été entendue, ce mardi, par les policiers bisontins. Rappelons que la maire de Besançon, Anne Vignot, a porté plainte pour « incitation à la haine raciale ». La jeune femme, qui a été placée en garde à vue, est ressortie libre en fin de journée.Une enquête est toujours en cours.

Deux individus ont été interpellés le 8 avril dernier, à 19h, à Besançon, à l’angle des rues Fontaine Argent et du Repos. Une patrouille de police a remarqué que les deux protagonistes étaient impliqués dans un trafic de stupéfiants. Lors du contrôle, un des deux hommes a reconnu spontanément venir acheter un demi gramme de cocaïne au second.

Le vendeur a également admis les faits. Il a expliqué qu’il était venu de Dijon pour rendre service  à un ami, mais il a refusé de donner son nom. Le dossier a été classé sans suite pour l’acheteur. Quant au revendeur, il s’expliquera le 12 septembre devant le tribunal correctionnel de Besançon.

Un homme de 32 ans a été placé en garde à vue dimanche soir à Besançon. Elle est toujours d’actualité ce lundi matin. Le 7 avril, vers 21h, rue de l’Orme Chamars, les policiers ont remarqué que cet automobiliste venait de commettre un refus d’obtempérer. Lors du contrôle, il est apparu qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire. Il n’a également pas pu présenter un document justifiant son identité. Par ailleurs, le véhicule n’était pas assuré, le contrôle technique était périmé et le véhicule immobilisé depuis octobre 2021.

Jonathann Daval, qui purge actuellement 25 ans de réclusion pour le meurtre de sa compagne Alexia, comparaîtra, ce mercredi, devant le tribunal de Besançon pour dénonciation calomnieuse ». En juin 2018, avant de reconnaître le meurtre de sa victime, Daval avait accusé son beau-frère Grégory Gay d’avoir étranglé Alexia au domicile de ses parents. Sa condamnation a été prononcée le 21 novembre 2020. Il risque cinq ans de prison supplémentaire. Précisons qu’il est actuellement incarcéré en Alsace dans la centrale d’Ensisheim.

Dans un appartement bisontin, occupé par une femme de 39 ans, implanté rue des Flûtes Agasses, les policiers ont découvert notamment 8.850 euros, près de 4 kilos de résine de cannabis, 680 grammes d’herbe de cannabis et près de 50 grammes de cocaïne. Les documents comptables, retrouvés sur place, laissent penser à un trafic de stupéfiants estimé à plus de 27.000 euros, en une semaine, et plus de 13 kilos de marchandise.

Lors d’une deuxième audition, la trentenaire a expliqué aux policiers qu’elle conditionnait les stupéfiants pour le compte d’un tiers , dont elle refusa de donner le nom par peur de représailles. Pour le travail effectué, depuis février, elle aurait gagné 1.000 euros. Et ce, pour rembourser des dettes. Elle a été présentée ce vendredi au Substitut du Procureur en vue d’une comparution immédiate.

Un individu de 38 ans, originaire de Pontarlier, a été placé sous contrôle judiciaire. Il a été déféré, après 48 heures de garde à vue. Il est soupçonné d’avoir dégradé le véhicule de son ex-compagne. Il aurait également tenu des propos peu flatteurs à son sujet et l’aurait harcelée par voie téléphonique.

Dans le Jura, l’association « Serre Vivante » a entrepris une démarche en justice. Elle a déposé, auprès du tribunal administratif de Besançon, une requête portant sur la décision de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Nord Est, autorisant la société EDEIS à exploiter l’aérodrome de Dole -Tavaux.

Selon le collectif, « ce document n’aurait jamais dû être validé au regard de la situation de la piste, par respect pour les usagers ». Et d’ajouter : « voler n’est pas compatible avec un mode de vie bas carbone ». Il est affirmé que « les associations de protection de la nature et de l’environnement doivent assumer leur responsabilité de lanceurs d’alertes pout tenter de préserver la santé et les conditions de vie de tous ».

Le 1er avril dernier, un homme est parvenu à mettre hors d’état de nuire un individu de 30 ans qui avait fait irruption dans son habitation rue des Cras à Besançon. Il lui aurait fait une balayette, alors qu’il venait de dérober une paire de baskets. Un second individu aurait pris la fuite.

Le mis en cause a été interpellé par les policiers et placé en garde à vue. Le trentenaire serait impliqué dans un autre vol par effraction, dans lequel il aurait dérobé un VTT. Le malfrat présumé a reconnu les faits. Précisant qu’il s’agissait « d’un vol par opportunité ». Il s’expliquera en juin prochain devant la justice.