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Dimanche soir, vers 23h, les policiers pontissaliens ont interpellé un mineur de 17 ans qui circulait sur une motocross, avec une fausse plaque d’immatriculation. Il est apparu également qu’il conduisait malgré un défaut d’assurance et de contrôle technique. Le jeune homme a reconnu les faits. Il sera convoqué ultérieurement. En attendant, il a été remis à ses parents.

Un jeune homme de 18 ans a donné du fil à retordre aux policiers ce lundi après-midi à Pontarlier. Le jeune homme a tenté de fuir les forces de l’ordre  en prenant tous les risques  et en adoptant une conduite dangereuse avec sa trottinette électrique. Il a fini par se rendre à hauteur du parc du Grand Cours, alors qu’il pensait s’y cacher. Il a expliqué aux policiers avoir pris peur car il était en possession d’un joint. Dans l’attente de la réponse pénale, il a été laissé libre.

Anne Vignot a décidé de porter plainte pour cyber harcèlement, suite à l’action qu’elle a dénoncée, devant la justice, après l’intervention de deux militantes du collectif Némésis lors du Carnaval de la Ville, dimanche dernier. L’édile a reçu des centaines d’injures, des propos dégradants et des appels à commettre des crimes, dont des menaces de viol.

Une femme devra s’expliquer en mai prochain devant la justice. Le 11 avril, vers 18h, rue Léonard de Vinci, à Besançon, alors que la police avait été alertée sur son comportement – elle déféquait notamment à la vue du public – elle a insulté les fonctionnaires et a craché sur l’un d’eux.

Elle était également porteuse d’un couteau. Elle a été placée en garde à vue différée. Lorsque la raison est revenue, elle a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Précisons que, sur instruction d’un magistrat, le couteau a été détruit.

Un individu, de nationalité algérienne, en situation irrégulière, a été interpellé,  le 10 avril dernier, à la gare Viotte à Besançon. Ivre, au moment du contrôle mené par les agents, il a laissé tomber, de sa poche, une savonnette de 100 grammes de résine de cannabis. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Après dégrisement complet, il a expliqué que les stupéfiants découverts en sa possession constituaient sa consommation personnelle. Une ordonnance lui a également été notifiée pour le 26 avril prochain.

A Besançon. Un mineur de 16 ans devra s’expliquer le 24 mai devant le Juge des Enfants. Le 10 avril, il a été trouvé en possession de 26 grammes de résine de cannabis. Le contrôle a été réalisé à l’angle de la rue de la République et de la Grande Rue. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu vendre des produits stupéfiants. Ce que les policiers avaient constaté lors de l’exploitation de son téléphone portable. Sur instructions du magistrat de permanence, les stupéfiants ont été détruits.

Un homme de 48 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Le 11 mars, lors d’un contrôle, à Pontarlier, il était apparu qu’il était au volant, malgré un permis de conduire qui n’était pas valide et un défaut d’assurance. Le résultat des tests toxicologiques s’est avéré positif au THC. Convoqué au commissariat ce jour, après la confirmation des résultats, le quadragénaire a été placé en garde à vue, après avoir été fixé sur son sort par la justice.

Dans l’affaire, opposant la Ville de Besançon et le Jardin des Vaîtes, le tribunal administratif de Besançon a rejeté le recours introduit par le collectif. L’association demandait l’annulation de la décision par laquelle la présidente de Grand Besançon Métropole a refusé d’inscrire à l’ordre du jour du conseil communautaire l’abrogation partielle du plan local d’urbanisme de la commune de Besançon.

Un homme de 36 ans a été placé sous contrôle judiciaire à Besançon. Le 9 avril dernier, lors d’un contrôle, une patrouille de la police nationale a constaté qu’il conduisait malgré une annulation de son permis de conduire. Le véhicule n’était pas assuré. De plus, le dépistage stupéfiant était positif à la cocaïne. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Excepté sa conduite sous l’emprise de produits stupéfiants, expliquant qu’il se trouvait sous traitement de codéine, pour des douleurs dentaires.

Marie Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, a réagi après le placement en détention provisoire de la maire d’Avallon Jamilah Habsaoui, également conseillère régionale. L’élue socialiste a suspendu la délégation qu’elle lui avait confiée.

Si elle soutient « la lutte contre les trafics de drogue », Mme Dufay en appelle également « au respect à la présomption d’innocence » et pointe  « la campagne haineuse », dont l’élue fait l’objet sur les réseaux sociaux, « souvent basée sur ses origines ».