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Après deux années de travail, associant de très nombreux acteurs, qu’ils s’agissent des étudiants, des associations étudiantes, du CROUS, de la COMUE, les universités et des collectivités locales, Nathalie Albert-Moretti, rectrice de la région académique Bourgogne Franche-Comté a présenté ce lundi, ce qu’elle appelle, « le livre blanc »,  les premières actions émanant du Schéma Territorial de la Vie Etudiante. Ce document se veut être un véritable outil pratique et de mise en œuvre opérationnelle d’initiatives en matière de vie étudiante.

L'interview de la rédaction : Nathalie Albert Moretti

Différentes étapes ont été mises en œuvre pour donner naissance à une stratégie partagée qui contribue à améliorer et développer la vie étudiante par bassin universitaire. Ce schéma 2024/2029, validé par les autorités,  prévoit un plan d’action territoriale, composé de 15 axes et 34 actions, dont 22 sur le territoire de Besançon. Parmi les objectifs développés : les mobilités, l’accès aux soins, l’égalité, l’inclusion, les discriminations, la politique culturelle, la valorisation de l’engagement étudiant,… .

ETUDIANTS SCHEMAS RECTRICE

                                                                                      Plusieurs institutions s'inscrivent dans cette dynamique

Quelques actions

Plusieurs opérations ont été déclinées et ont vu le jour. Une épicerie sociale, la Ressourcerie, où sont distribués des produits alimentaires et de 1ère nécessité, la nuit de l’éloquence (un concours oratoire ouvert à tous les étudiants de l’enseignement supérieur), la journée des fiertés (dans le cadre de la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie),… . Parmi les projets à venir : les guichets uniques, en partenariat avec Info Jeunes Bourgogne Franche-Comté, afin de permettre aux étudiants  de trouver des réponses à leurs nombreuses interrogations, dans des domaines aussi variés que le logement, la santé, le sport, les loisirs, … et la continuité du grand projet de réhabilitation du campus de la Bouloie, dont Grand Besançon Métropole est un soutien actif.  

L'interview de la rédaction : un responsable de l'association des étudiants Togolais

Le président de l’Université de Bourgogne, après le vote de son conseil d’administration, a fait savoir que son établissement quittera l’Université Bourgogne-Franche-Comté dès la fin du contrat de site en décembre 2023. L’instance régionale indique qu’elle prend acte de cette décision, « qui met un terme à l’ambition collective, lancée en 2015, de rendre la recherche et la formation de Bourgogne-Franche-Comté encore plus fortes, plus visibles et plus attractives, notamment à l’international » explique-t-il.

Une très bonne nouvelle pour l’université de Bourgogne Franche-Comté qui vient de recevoir 14 millions d’euros pour son projet HARMI, qui est l’un des 15 lauréats de l’appel à projets national Excellences.

L’objectif de cet ambitieux projet, pour lequel 250 chercheurs sont associés en Bourgogne Franche-Comté, est d’étudier les micro-organismes et leur activité. Ces experts et professionnels sont issus de laboratoires universitaires , des organismes nationaux de recherche avec INRAE et le CNRS, et des CHU de Besançon et de Dijon, ainsi que des entreprises locales. Ce projet, coordonné par Laurent Philippot, microbiologiste et directeur de Recherche INRAE au sein du laboratoire « Agroécologie », va permettre de mieux comprendre les microbes et leurs interactions avec d’autres organismes vivants et de mieux les utiliser pour faire face aux problématiques mondiales actuelles. « Les microbes sont les organismes les plus petits de notre planète. Ils peuvent nous aider à contribuer à relever certains de nos plus grands défis comme celui de la lutte contre le réchauffement climatique, la transition en agriculture, la sécurité alimentaire, la santé et la préservation des environnements aquatiques et terrestres.

Concrètement cette somme va permettre de créer de nouveaux postes de recherche, de lancer de nouveaux projets de recherche, renforcer le continuum recherche/formation, augmenter la qualité et l’attractivité de la recherche en Bourgogne Franche-Comté, favoriser l’intégration des étudiants dans les formations et les réseaux internationaux, d’acquérir de nouveaux équipements et mieux faire connaître les microbes et leur fonctionnement dans les écoles, les musées et auprès du grand public.

Douze laboratoires sont appliqués dans cette démarche, qui représente « un véritable potentiel d’innovation » dans les tous les secteurs de la vie courante. Un beau projet au pays de Louis Pasteur.

L'interview de la rédaction / Laurent Philippot

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