Après des mois d’attente, trois des cinq chevaux volés ce printemps à Étalans ont été retrouvés grâce aux investigations menées par les gendarmes français et roumains. Pour financer leur rapatriement depuis plus de 2 000 km, l’éleveur lance une cagnotte en ligne.
Les frais de transport restent lourds, et chaque don compte. Opaline, Obois et Olly sont en voie de retour, tandis que l’espoir demeure pour Olaine, Osaka et les chevaux d’autres éleveurs victimes du même réseau. Pour participer à cet élan de générosité. https://www.onparticipe.fr/c/SKp8r452
A Neublans Abergement, dans le Jura, le four à pain communal a été détruit par un incendie dans la nuit du 12 au 13 octobre. Le sinistre prive le boulanger du village de son outil de travail et de tout revenu. Sous l’impulsion de la commune, un élan de solidarité s’est déclenché : les habitants proposent leur aide et une cagnotte a été lancée pour soutenir l’artisan. Objectif : relancer la production et reconstruire le four. Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur ce sinistre. Pour participer à cet élan de générosité : https://www.gofundme.com/f/apres-lincendie-ensemble-relevons-la-boulangerie
Les 7, 8 et 9 octobre, les Clubs Lions de Besançon, en partenariat avec l’Établissement français du sang, organisent leur collecte annuelle sur le campus de la Bouloie. Face à des besoins en sang critiques, les donneurs sont invités à se mobiliser sous le chapiteau installé sur le parking du Crous. Inscriptions possibles en ligne : https://dondesang.efs.sante.fr/trouver-une-collecte/139626/sang/16-09-2025
Et si le sport féminin était davantage porteur de valeurs et d’altruisme que le sport masculin ? Ce dimanche, à Vaux-et-Chantegrue, à l’occasion du match des seniors féminines du FC Lac Remoray Vaux et du FC Lièvremont Arçon, les joueuses ont mis leur force en commun pour former un nœud humain symbolique, à l’occasion d’octobre rose, le mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein.
La commune de Champagnole se mobilise ce samedi 4 octobre pour Octobre Rose, campagne nationale de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Dès 9h, la place de la Mairie accueillera une vente de roses au profit de la recherche. Les inscriptions à la marche débuteront à 10h (3 € ou 12 € avec tee-shirt, chapeau ou chèche).
Le départ est prévu à 14h, avec trois parcours au choix : 5 km (accessible aux personnes à mobilité réduite), 9 km et 13 km. Une initiative conviviale et engagée, portée par les acteurs locaux pour rappeler l’importance du dépistage précoce.
Du 26 au 28 septembre, l’association Semons L’Espoir et le Club Alpin Français de Besançon lancent une version régionale des Sommets de l’Espoir : « les sommets du Haut-Doubs ». Objectif : offrir à 15 adultes atteints de cancer un séjour en montagne pour reprendre confiance, partager et se reconnecter. Au programme : randonnées, ateliers aventure et ascension du Mont d’Or, avec hébergement au-dessus des Hôpitaux-Vieux.
Un souffle de verdure s’apprête à transformer la terrasse impersonnelle du 4e étage du service de soins palliatifs du CHU de Besançon. Grâce au soutien du Fonds Phisalix et de ses mécènes, un jardin thérapeutique et sensoriel verra bientôt le jour, pensé comme un espace de réconfort pour les patients, leurs familles et les soignants.
Un lieu de vie au cœur du service
« Ici, certains patients ne peuvent plus rentrer chez eux. Ils n’ont pas toujours la possibilité de sortir à l’extérieur. Offrir un espace pour respirer, voir le soleil, entendre des oiseaux, c’est essentiel », explique le Docteur Nicolas Becoulet, chef du service des soins palliatifs du CHU de Besançon. Le projet prévoit des bacs de jardinage à hauteur de fauteuil roulant, des plantes aromatiques, une fontaine, des aménagements végétalisés et un mobilier convivial. Un espace conçu autant pour l’apaisement que pour l’introspection, dans un moment de vie où les gestes simples comptent plus que jamais.
L'interview de la rédaction : Le docteur Nicolas Becoulet, chef du service des soins palliatifs du CHU de Besançon.
Le soutien du Fonds Phisalix et des mécènes
Le chantier est estimé à 155.000 €. Ce 16 septembre, quatre mécènes – la Ligue contre le cancer, le groupe 1000, Ruggieri, Druet et Trascic – ont remis ensemble des chèques pour un total de 60 000 €, soit 60 % du financement déjà acquis. « Le mécénat n’a pas vocation à se substituer à l’Assurance maladie, mais à apporter ce supplément d’âme qui rend l’hôpital plus humain », souligne Emmanuel Luigi, directeur général adjoint du CHU. Depuis sa création en 2024, le Fonds Phisalix a déjà collecté 180 000 € et financé plusieurs projets, de la pédiatrie à la psychiatrie, en passant par l’oncologie. Le jardin thérapeutique est l’un de ses projets phares pour 2025.
L'interview de la rédaction : Jonathan Debauve, directeur de la communication du CHU Minjoz.
Un fonds en plein essor
Nommé en hommage à Marie et Césaire Phisalix, couple de médecins bisontins engagés dans la recherche et la société, le fonds s’appuie sur une dynamique collective. « Les équipes médicales, les cadres de santé et les mécènes travaillent ensemble, c’est ce qui fait la force de ce projet », insiste la direction. Parmi les initiatives à venir : un dîner caritatif organisé le 14 octobre à Besançon, en partenariat avec Cuisine Mode d’Emploi(s), l’école fondée par le chef Thierry Marx. Objectif espéré : récolter 15.000 € supplémentaires grâce à un repas de gala et une vente aux enchères. Fermob, partenaire du projet, s’est également engagé à fournir du mobilier en don en nature. Pour participer à cet évènement : https://www.fonds-phisalix.fr/
Un symbole pour l’hôpital public
Au-delà des chiffres, le jardin incarne une philosophie : replacer l’humain au centre des soins. Dans un service où l’accompagnement prime sur l’acharnement thérapeutique, cet espace permettra aux patients de retrouver un peu de liberté et aux familles de créer des souvenirs précieux. « Ce n’est pas un projet de décoration, c’est une démarche profondément utile pour le bien-être des malades et de leurs proches », conclut le Docteur Nicolas Becoulet
Le samedi 13 septembre, de 14h à 21h, l’Esplanade des Droits de l’Homme à Besançon accueillera la 3ᵉ édition de l’événement « Mine(s) de rien, ça change tout », co-organisé par le CCFD-Terre Solidaire et ses partenaires : Amnesty International, Les Amis de la Terre, ATTAC, France-Nature-Environnement et la Ligue des Droits de l’Homme.
Point fort de la journée : la table-ronde « Quelles ressources pour quel avenir ? », de 17h à 19h à l’Espace Grammont (20 rue Mégevand), animée par Barbara Romagnan, présidente de la Ligue des Droits de l’Homme de Besançon. Des experts interviendront pour éclairer les enjeux de la transition écologique et énergétique, et proposer des alternatives à l’extractivisme.
Au programme également : village associatif, animations, concert engagé du groupe Mine de Rien. Une journée pour réfléchir, échanger et célébrer la solidarité. Entrée libre.
Le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Pontarlier offrira des colis festifs aux retraités de 60 ans et plus ainsi qu’aux personnes en situation de handicap en fin d’année, sous conditions de ressources. Les inscriptions ouvertes jusqu’au 7 octobre prochain au CCAS, 6 rue des Capucins. Infos et renseignements au 03 81 46 51 36 (du lundi au vendredi, 10h–12h / 14h30–17h). Il vous sera demandé votre avis d’imposition 2025, vos justificatifs de ressources, une carte d’invalidité si applicable et un relevé d’identité bancaire ou postal.
Une initiative née d’une idée personnelle
À l’origine, ce n’était qu’un projet personnel : rallier Saint-Vit à Ornans à pied. Mais pour Frédéric Plançon, habitant du Doubs, l’envie de donner un sens plus large à cet effort s’est rapidement imposée. Soutenu par ses proches – notamment sa compagne, sa meilleure amie et des collègues – il a décidé de transformer ce défi en un élan solidaire au profit de l’Association Huntington France.
L'interview de la rédaction : Frédéric Plançon
Un parcours de 62 kilomètres
Le 20 septembre prochain, le départ sera donné, à 10h, depuis la mairie de Saint-Vit. L’arrivée est prévue à Ornans, vers 18h, après un tracé d’environ 62 kilomètres et des ravitaillements à la Gare d’Eau et Mamirolle. « J’ai déjà parcouru plusieurs fois certains tronçons, mais cette fois, l’objectif est de boucler l’ensemble en une seule journée », explique le sportif bisontin. Tout au long du chemin, amis, collègues et anonymes pourront se joindre à lui pour quelques kilomètres afin de l’accompagner et de le soutenir.
L'interview de la rédaction : Frédéric Plançon
Une mobilisation qui dépasse les frontières
L’annonce du défi sur les réseaux sociaux a créé un véritable engouement. « Au départ, je pensais faire ça dans mon coin, et finalement, j’ai été contacté par des médias, des collègues, et même des personnes de Paris ou de Marseille qui m’ont envoyé des encouragements. C’est fou ! » s’enthousiasme M. Plançon. Cette mobilisation illustre la solidarité qui entoure la lutte contre la maladie de Huntington, pathologie neurodégénérative encore trop méconnue.
L'interview de la rédaction : Frédéric Plançon
Comment soutenir le défi ?
Les habitants sont invités à venir encourager le marcheur le long du parcours, au départ, à Saint-Vit, ou à l’arrivée à Ornans. Une cagnotte solidaire a également été ouverte sur la plateforme HelloAsso. L’intégralité des dons sera reversée à l’Association Huntington France, afin de financer un projet d'habitat partagé.
Pour faire un don : https://www.helloasso.com/associations/association-huntington-france/formulaires/4