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Dans un courrier adressé au Premier ministre Sébastien Lecornu, le sénateur Jean-François Longeot exprime ses inquiétudes face à la réforme du mode de scrutin municipal dans les communes de moins de 1 000 habitants. Ce nouveau dispositif, prévu pour les élections de 2026, impose des listes paritaires sans possibilité de panachage, remplaçant le système souple jusqu’ici en vigueur. Le sénateur relaie l’opposition de nombreux élus locaux, qui dénoncent une réforme « peu pragmatique » et susceptible de fragiliser la démocratie de proximité. Il appelle le Gouvernement à mieux prendre en compte la réalité du terrain.

Jean-François Longeot, sénateur du Doubs et président de la Commission de l’Aménagement du Territoire et du Développement durable du Sénat, a officiellement soutenu la demande d’inscription des comices agricoles du Doubs au patrimoine culturel immatériel français.

Dans un courrier adressé à la ministre de la Culture, Rachida Dati, il a salué ces manifestations comme des « vitrines du savoir-faire agricole » et des vecteurs essentiels de transmission des traditions locales.

La fermeture des réseaux 2G et 3G dès 2026, annoncée par les opérateurs, inquiète Jean-François Longeot, sénateur du Doubs et président de la commission de l’aménagement du territoire au Sénat. Il dénonce une absence d’étude d’impact et alerte sur des risques majeurs : équipements connectés rapidement obsolètes, coûts de migration pour collectivités et entreprises, pertes fiscales pour les communes.

Le 21 mai, la commission a réuni opérateurs, industriels, associations et élus pour dresser un état des lieux. Face à ces incertitudes, le sénateur a saisi le ministre de l’Industrie et le Premier ministre, appelant à anticiper dès maintenant les conséquences technologiques, opérationnelles et financières de cette transition.

Le sénateur Jean-François Longeot, soutenu par des sénateurs de tous bords politiques, a adressé un courrier au Premier ministre François Bayrou, demandant le report de l’application de la loi sur la parité dans les fonctions électives communales aux élections de 2032.

Cette réforme, imposant des listes paritaires même dans les communes de moins de 1 000 habitants, inquiète les élus ruraux. La rareté des candidats éligibles menace l’organisation du scrutin et pourrait entraîner des vacances institutionnelles. Le sénateur sollicite l’inscription rapide de cette proposition à l’ordre du jour du Parlement afin d’ouvrir le débat.

Le sénateur doubiste Jean-François Longeot fait savoir que le Sénat a définitivement adopté ce mercredi l’interdiction du démarchage téléphonique sans consentement préalable du consommateur, mettant ainsi un terme aux appels intempestifs promettant des aides publiques ou un changement d’opérateur.

Après plusieurs allers-retours entre les deux chambres du Parlement, cette mesure entre en vigueur en août 2026. Désormais, les entreprises devront obtenir l’accord explicite des personnes avant tout contact téléphonique, via un formulaire signé ou une autorisation donnée lors d’une visite en magasin.

Les contrevenants s’exposent à des sanctions sévères, pouvant aller jusqu’à 20 % du chiffre moyen annuel pour les entreprises et 500 000 euros d’amende pour les particuliers.

Le Conseil Constitutionnel a validé, par sa décision du 15 mai dernier, l’extension à toutes les communes du scrutin de listes paritaires.  Le sénateur doubiste Jean-François Longeot exprime son inquiétude face à cette évolution qu’il considère « comme une nouvelle illustration du mépris pour la ruralité et les petites communes Â».

Selon lui, « cette réforme risque de réduire leur nombre et de rendre son application difficile pour de nombreuses collectivités Â». Lors de son audition du 13 mai devant le Conseil Constitutionnel, Jean-François Longeot avait  plaidé contre les effets de cette réforme sur les réalités locales.

Le sénateur doubiste Jean-François Longeot sera auditionné le mardi 13 mai par les membres du collège du Conseil Constitutionnel. Il intervient en tant que coordinateur de la saisine déposée par 84 parlementaires, contestant la réforme du mode de scrutin aux élections municipales récemment adoptée par le Parlement.

Cette loi, qui doit entrer en vigueur en 2026, modifie en profondeur l’élection des conseils municipaux dans les communes de moins de 1 000 habitants. Le parlementaire met en avant « son caractère imparfait et précipité, soulevant ainsi une grave question de constitutionnalité Â». Il insiste sur le fait que cette démarche est « transpartisane Â», rassemblant des élus de divers horizons politiques pour garantir une révision approfondie du texte

Le Sénateur doubiste Jean-François Longeot a dernièrement attiré l’attention du Premier ministre sur la réforme concernant le mode de scrutin des élections municipales, qui devrait s’appliquer l’année prochaine dans les communes de moins de 1.000 habitants. Ce texte prévoit la généralisation du scrutin de liste paritaire à toutes les communes.

Dans ces conditions, les électeurs voteront pour des listes complètes de candidats. Ils ne pourront plus panacher les listes et les modifier, en rayant ou ajoutant des noms. M. Longeot relaie les inquiétudes des Maires et leurs difficultés à proposer des listes complètes. Tout en assurant, que les édiles sont « favorables à une meilleure représentation des femmes dans les conseils municipaux Â».

Un rassemblement s’est tenu ce matin, devant la mairie de Maîche, en soutien aux salariés de la firme Oerlikon. Rappelons que 38 postes sont menacés en France voisine. 24 postes sont concernés à Maîche et 14 à Mamirolle. « Derrière cette entreprise, ce sont des hommes et des femmes au savoir-faire exceptionnel, qui font la fierté de notre industrie. Réindustrialiser la France commence par ne pas la désindustrialiser » écrit Christine Bouquin, la présidente du Conseil Départemental du Doubs, qui s’est rendue sur place

Aux côtés de Régis Ligier, l’édile maîchois, le député Matthieu Bloch, proche d’Eric Ciotti, et le sénateur Jean-François Longeot, la patronne du département demande à Catherine Vautrin, ministre du travail, et Marc Ferracci, ministre chargé de l’industrie et de l’énergie, « d’agir ».

Ce mercredi, le Sénateur doubiste Jean-François Longeot a interrogé le  ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique concernant l'annonce du groupe suisse Oerlikon  pour les sites de Maîche et de Mamirolle. Rappelons que 34 postes seront supprimés sur ces deux sites, soit un quart des effectifs.

Le parlementaire rappelle que l’entreprise a bénéficié « d’aides dans le cadre du plan France Relance pour le financement de machines d’usinage Â». Il dénonce d’autant plus « le projet de délocalisation Â». «  A l’heure où le gouvernement prône la réindustrialisation du pays, le Sénateur demande les intentions du ministre face à ce projet de délocalisation de l’outil de travail de l’entreprise Coeurdor qui laisserait échapper les savoir-faire issus d’années d’expériences des salariés Â».