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Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, a fait le point sur l’affaire concernant l’incendie criminel, commis dans un appartement, rue de la Pelouse, à Besançon, suite à la disparition d’une jeune fille de 12 ans, le 21 août dernier. La publication de fausses informations sur les réseaux sociaux a eu des conséquences dramatiques. Faussement accusés, les locataires de cet appartement, une famille de kosovars, un couple et trois enfants mineurs, se sentant en danger ont fui les lieux. Dans la nuit du 22 au 23 août, leur appartement a été fouillé. Plus tard, un individu est venu y mettre le feu. Un incendie qui aurait pu avoir de graves conséquences.

Le frère aîné de la jeune fugueuse, dont le téléphone a borné à proximité de l’appartement incendié, a été interpellé le 5 septembre dernier, non sans mal. Il reconnaît la fouille des lieux, mais réfute l’incendie. Compte tenu de son pedigree, il a été placé en détention provisoire. Il s’expliquera le 26 septembre prochain devant la justice des mineurs pour violation de domicile, incendie volontaire et refus d’obtempérer.

Quant à sa jeune sÅ“ur, elle avait  décidé de fuguer du domicile familial pour aller retrouver un jeune homme, dont elle avait fait la connaissance sur le réseau Tik Tok. Elle a été retrouvée deux jours plus tard dans l’Essonne. Une procédure d’assistante éducative a été ouverte pour mieux comprendre les agissements de cette jeune fille de 12 ans  et le contexte dans lequel elle a pris la décision de partir.

L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux

Un feu de caravane s’est déclaré cet après-midi à Pouilley-Français. A l’arrivée des secours, cette caravane était déjà totalement détruite par les flammes. Les sapeurs-pompiers ont éteint le sinistre au moyen d’une lance. La gendarmerie s’est rendue sur place.

Jura : incendie

Déc 15, 2025

Un bâtiment agricole a pris feu hier soir, vers 20h30, à Bersaillin. Deux lances ont été déployées par les secours. 23 sapeurs-pompiers et huit engins se sont rendus sur place.

Les sapeurs-pompiers bisontins sont intervenus cette nuit, vers 2h15, rue Claude Pouillet,  pour un incendie survenu dans un appartement, situé au 2è étage d’un immeuble de trois étages. L’action rapide des secours, au moyen d’une lance, a permis d’éteindre le sinistre. Aucune victime n’est à déplorer. On notera que quatre fonctionnaires de police ont été incommodés par les fumées.

Un feu de végétation s’est produit hier, vers 16h, à Vincelles (39). Un feu d’herbes sèches a parcouru trois hectares. L’action des sapeurs-pompiers a permis de protéger deux habitations menacées par le sinistre. Un homme a été brûlé et transporté, par hélicoptère, sur un centre hospitalier.

Jura : incendie

Déc 15, 2025

Ce lundi matin, une voiture électrique a pris feu dans un garage, situé au sous-sol d’une maison individuelle, à Damparis (39). A leur arrivée, les soldats du feu ont réalisé l’extinction du foyer principal et une action défensive pour limiter la propagation de l’incendie au logement. Quatre personnes ont été relogées par le propriétaire.

Jura : incendie

Déc 15, 2025

Un incendie s’est déclaré ce vendredi après-midi, vers 13h30, à Champdivers (39).  Le sinistre a pris dans un bâtiment industriel sur le site de la carrière de la société Persont SA. Le feu a été éteint au moyen de deux lances. Il n’y aura pas de chômage technique.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus hier après-midi, vers 13h45, à Urtière pour du fourrage en surchauffe dans un bâtiment de 400 m2. 900 m3 de fourrage en vrac se trouvait à l’intérieur. L’étable mitoyenne a été protégée. Trois lances ont été déployées par les soldats du feu. Le fourrage a été extrait de l’endroit pour être déposé dans un champ à une centaine de mètres du lieu de stockage.  

Un incendie a pris ce dimanche, à la mi-journée, à Lavancia-Epercy (39), dans un bâtiment industriel. Huit personnels administratifs sont au chômage technique. 24 sapeurs-pompiers et huit engins se sont rendus sur place.

Un drame s’est déroulé, lors de la nuit de mercredi à jeudi, dans la commune du Haut-Jura, Vaux-lès-Saint-Claude. Un couple a été retrouvé, décédé, dans les décombres d’un appartement en feu. Et ses deux enfants, vivants, l’un de deux ans, l’autre de 10 mois, seuls dans une voiture devant le domicile du couple. Après les premiers éléments de recherche, les enquêteurs ont déterminé ne s’agit désormais plus seulement d’une histoire d’incendie, mais d’un violent féminicide.

Aux alentours de 22h30, rue de Trey la Fontaine à Vaux-les-Saint-Claude, cette commune de 700 habitants, des fumées épaisses se dégagent d’un petit appartement. Les voisins alertent les pompiers qui se rendent immédiatement sur place. Très vite, les soldats du feu découvrent le cadavre d’un homme et d’une femme au sein du domicile. Seulement, quelques heures plus tard, une autopsie révèle de très nombreuses lésions sur le corps de la femme, ainsi qu’un impact de balle au niveau de la tête de l’homme. Dans un communiqué publié ce vendredi, le procureur de la République, Lionel Pascal, a précisé les premiers éléments de l'enquête et les résultats d’autopsies des victimes. Âgée de 26 ans, la femme a succombé à une hémorragie massive suite à des coups portés via une arme blanche. Un couteau avec des traces de sang et des éléments pileux ont été retrouvés sur place. L'homme, quant à lui, a succombé à un tir unique réalisé à l'aide d'un fusil de chasse au niveau de l'encéphale. Une fois de plus tout concorde, un fusil a été retrouvé à proximité du corps de l'homme.

Le couple, qui selon plusieurs sources, s’était séparé puis remis ensemble, avait emménagé à Vaux-lès-Saint-Claude en mai 2023. Selon le parquet, aucune intervention n'avait été sollicitée à leur domicile, ni aucun différent au sein du couple porté à la connaissance des autorités. Seulement, l’homme de 57 ans originaire de Montpellier qui travaillait dans une usine d’injection plastique était connu de la justice. Il a notamment été condamné en 1996 pour des faits de meurtre, avant d’être remis en liberté en 2003. Il a de nouveau été condamné, quelques années plus tard et à trois reprises, pour délit relatif aux mœurs et non-respect des obligations liées à son inscription au fichier judiciaire des auteurs d'infractions sexuelles.