Choix du secteur :
Se connecter :
 

Le Festival de la Paille, qui vivra sa dernière édition les 24 et 25 juillet prochains à Métabief (Doubs), a dévoilé ses premiers noms. Vendredi 24 juillet, le public retrouvera l’univers de Luiza et le reggae de Biga*Ranx. Le samedi 25, le groupe de rock Skip the Use est attendu au pied des pistes du Haut-Doubs. Une vingtaine d’artistes seront annoncés d’ici février pour cette « édition de légende ».

À l’occasion des fêtes, une offre de Noël exceptionnelle permet de bénéficier de pass à tarif réduit dès l’achat de deux billets. Une carte cadeau imprimable est également proposée pour glisser des places sous le sapin. Les pass sont disponibles dès maintenant sur www.festivalpaille.fr.

La Ville de Besançon poursuit sa démarche ambitieuse de valorisation des femmes dans l’espace public. Par l’installation de plaques biographiques, la dénomination de nouvelles rues et la création d’un parcours patrimonial dédié, la municipalité entend rendre visible l’héritage de femmes scientifiques, artistes, militantes ou encore résistantes, longtemps oubliées dans la mémoire collective. Ce matin, une plaque a été inaugurée devant l’école Pierre et Marie Curie, dans le quartier de Palente. Elle rendant hommage à Irène Joliot-Curie.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne 

Un parcours pour découvrir Besançon autrement

Ce parcours, pensé pour les habitants comme pour les visiteurs, invite à arpenter le centre-ville mais aussi certains quartiers périphériques à la rencontre de figures féminines marquantes. Chaque plaque comporte des éléments biographiques détaillés, permettant de contextualiser le parcours de ces femmes et de comprendre leur rôle dans l’histoire : scientifique, artistique, politique ou syndicale. « Ce cheminement permet de découvrir la ville à travers ces personnages, et de mieux comprendre leur contribution à notre société », souligne Aline Chassagne, élue de la majorité municipale bisontine, en charge de la culture et du patrimoine historique. 

Une initiative pour corriger une inégalité historique

Cette action s’inscrit dans un constat largement partagé, avant cette mandature, seuls 5% des noms de rue à Besançon portaient le nom d’une femme. Pour la municipalité, agir sur ces symboles participe pleinement à la lutte contre les inégalités femmes-hommes. « Remettre les femmes dans l’espace public, c’est rappeler leur place dans notre histoire. Les rues, les places, les squares, mais aussi les statues, deviennent des supports de mémoire visibles par toutes et tous », explique Mme Chassagne.  L’objectif est double : offrir une meilleure représentation féminine dans la ville et nourrir le regard des plus jeunes générations.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne 

Un dispositif pensé pour les familles et les écoles

La localisation de certaines plaques, notamment à proximité d’établissements scolaires, n’est pas anodine. La municipalité revendique un intérêt particulier pour les relations intergénérationnelles, permettant aux enfants, aux parents, aux grands-parents et aux enseignants d’être confrontés quotidiennement à ces figures féminines. « Devant une école, on touche plusieurs générations. C’est essentiel en termes de pédagogie et de transmission. Ces femmes ont façonné notre histoire, avec un grand H mais aussi à travers des trajectoires individuelles incroyables », rappelle l’élue. Le parcours devient ainsi un outil éducatif, culturel et citoyen.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne 

Statues, rames de tram et nouvelles rues : des hommages multiples

Au-delà des plaques, Besançon a multiplié les formes d’hommage : des statues dédiées à Henriette de Crans, Colette et Eugénie d’Héricourt, des rames de tram portant les noms d’Odile Selb-Bogé, résistante déportée, Denise Lorach, fondatrice du Musée de la Résistance et de la Déportation, ou encore Germaine Tillion, honorée une nouvelle fois. Plusieurs rues et lieux publics ont également été renommés en hommage à des femmes telles qu’Isabelle Febvay, Gisèle Halimi, Germaine Tillion, Yvonne Bühler, Paulette Guinchard, Marguerite Vieille-Marchiset, Clarisse Vigoureux, Gabrielle Petit, Assia Djebar, Hannah Arendt, Janine Andrade ou encore Yvonne Grappin.

Focus : Irène Joliot-Curie, une figure mise à l’honneur

L’une des deux plaques dévoilées ce mercredi célèbre Irène Joliot-Curie, chimiste, physicienne, prix Nobel de chimie 1935 aux côtés de son mari Frédéric Joliot-Curie, et l’une des premières femmes à entrer dans un gouvernement français en 1936. Fille de Pierre et Marie Curie, pionnière de la radioactivité artificielle, elle fut également commissaire au Commissariat à l’énergie atomique en 1945. Décédée en 1956 d’une leucémie liée à son exposition professionnelle au polonium et aux rayons X, elle symbolise à la fois l’excellence scientifique et l’engagement politique. Placée « à la croisée des chemins du quartier et des générations », sa plaque s’intègre pleinement à ce parcours de mémoire féminine.

Les 22 et 23 novembre, Espace Mont d’Or organise la 7è édition du Festi’Diff, le festival des différences, qui donne la possibilité à des artistes en situation de handicap de se produire sur scène et d’évoluer aux côtés d’autres chanteurs et groupes. La rencontre, la tolérance et le partage sont au cÅ“ur de ce rendez-vous annuel, qui a trouvé sa place en Franche-Comté. A quelques jours de l’évènement, la soirée de samedi soir affiche d’ores et déjà complet. Quelques places sont encore disponibles pour vendredi soir.

L'interview de la rédaction : Aurélien Bouveret

Cette année encore, le programmateur de l’évènement, Aurélien Bouveret, ne s’est pas trompé. Le succès est au rendez-vous. « Alchimie des éléments Â», regroupant des jeunes de l’accueil de jour de Pontarlier et des élèves du collège Lucie Aubrac de Doubs, « Maggy Bolle Â» et « les Novill’Art Rois Â», composés de résidents de l’hôpital psychiatrique de Novillars et les « Fatals Picard Â» assureront le show samedi soir. La veille, vendredi, le public pourra applaudir les 15 membres de « Répercussion Â», venus de Saint-Claude (39), « Percujam Â», composé de jeunes adultes autistes et de leurs éducateurs, la Pontissalienne « Lou Beurier Â», qui vient de sortir un nouvel album, et les six garçons d’« Une touche d’optimisme Â»,  qui ponctueront de la plus belle des manières cette première soirée festive.

Une marraine

Après l’artiste La Lue, l’organisateur a confié à Julie Rousselet, alias Jule, le rôle de marraine de ce nouveau festival des Différences. « S’ouvrir aux autres, se tolérer, ne pas s’arrêter juste à ce que l’on voit Â» lance l’artiste pontissalienne, dont le talent s’est exprimé lors d’une précédente édition. C’était en 2022.

L'interview de la rédaction : Aurélien Bouveret

Les personnes qui veulent participer à la soirée de vendredi peuvent encore le faire. Il reste quelques places. Plein tarif : 22 euros. -15 ans : 10 euros. Toutes les infos sont à retrouver sur le site www.fest-diff.fr Rendez-vous vendredi et samedi à l'Espace des Vallières de Labergement Sainte Marie.

Ce dimanche 3 novembre, un hommage sera rendu à l’ancien maire de la commune de Valoreille, Jean-Paul Clément,  qui a perdu la vie le 27 août dernier. Un spectacle de musique et de poésie sera proposé en l’église des Terres de Chaux à 17h. Philippe Michelot, au trombone, et la conteuse Stéphanie Dautel se produiront à cette occasion. L’entrée est libre.  

Que faire pendant les vacances de la Toussaint ? Plein Air a sans doute la solution. Depuis 2019, le parc de loisirs « la Guiguitte en Folie Â», implanté à Filain, en Haute-Saône, propose de nombreuses animations et attractions pour petits et grands, sur les 5 hectares qu’il dispose. A quelques jours de la grande pause hivernale, le site haut-saônois a paré ses plus beaux habits d’Halloween. Une belle ambiance, avec de nombreuses surprises, manèges et animations  qui font peur et divertissent. Il y en a pour tous, des plus petits aux plus grands, des plus téméraires aux plus calmes.

L'interview de la rédaction : David Nicolas, géranrt du parc

Une maison hantée et un feu d’artifices

Jusqu’au 3 novembre, le thème d’Halloween est décliné. Sur place, tous les après-midis, le public peut  assister à des spectacles de magie et se faire maquiller. Une maison hantée, déconseillée aux moins de 10 ans, a été conçue pour l’occasion. Pour les plus petits, le labyrinthe, entièrement décoré, ne passera pas inaperçu. A ne pas manquer également, le feu d’artifices qui conclut chaque journée, jusqu’au 2 novembre inclus.

L'interview de la rédaction : David Nicolas, géranrt du parc

Un parc en fête

Le public pourra également profiter de l’ensemble des installations déployées au fil des années. Le bateau pirate, le dino-train,, mais également des structures gonflables, des aires de jeux, des karts à pédales, une salle d’arcane, équipée de billards et de baby-foot, un petit cinéma et la partie réservée aux animaux, avec notamment les attendrissants animaux de la ferme et les surprenants et intrigants animaux exotiques sont également proposés.

GUIGUITTE OK 2

Le parc de loisirs « Guiguitte en Folie Â» est ouvert tous les jours, du lundi au dimanche,  de 10h30  Ã  20h, jusqu’à ce dimanche, et 19h, pour la dernière semaine, avant la pause. Précisons, car ce n'est pas toujours le cas, qu’à l’intérieur du parc, une fois l’entrée payée, les animations sont accessibles, sans débourser le moindre euro supplémentaire. La restauration n’est bien évidemment pas comprise.

Il y aura bien une Transjurassienne en 2025. Les organisateurs l’annoncent ce lundi après-midi. Il s’agira de la 46è du nom. Rappelons que, l’an dernier, l’épreuve ne s’est pas disputée par manque de neige. A moins de quatre mois de l’événement, les inscriptions sont ouvertes pour les 4 500 passionnés de ski de fond attendus sur le week-end ; Si les conditions d'enneigement et météorologiques le permettent, le parcours historique de La Transjurassienne de 70 km entre Lamoura et Mouthe sera privilégié. Six autres épreuves seront également proposées le samedi et le dimanche.

Au programme :

Samedi 8 février

  • Classic 50 km
  • Classic 25 km
  • Rando Classic 25 km

Dimanche 9 février

  • La Transjurassienne 70 km
  • Skating 50 km
  • Skating 25 km
  • Rando Skating 25 km

Toutes les informations sont à retrouver sur : www.latransju.com

Le 10 novembre prochain, l’Olympique Besançon fêtera ses 120 ans d'existence. C’est à l’automne 1904 qu’a eu lieu le premier match de rugby du club sur le terrain des Prés de Vaux, au bord du Doubs. A cette occasion, l’OB sort une brochure de 100 pages, illustrée de 600 photos. Elle revient sur 120 ans d’histoire. Pour la journée du 10 novembre, des temps festifs et sportifs ont été prévus. Un match des vétérans, les Bisonquinze, est notamment programmé durant la matinée. Il lancera les hostilités.

Ce samedi matin, à 11h, on célèbrera la libération de Valdahon, survenue  en septembre 1944. Le rendez-vous est prévu sur la place de Gaulle. Au menu : prise d’armes avec le 13è régiment, suivi du défilé de la Compagnie. Un défilé de véhicules d’époque est également au programme. Un vin d’honneur sera ensuite offert par la Ville à l’Hôtel de Ville.

Pour la septième année, l’association la Pive fête sa monnaie ce samedi 12 octobre de 12h à 22h sur la place Granvelle à Besançon. Selon les derniers chiffres, en date de la fin de l’année 2023, 700 particuliers l’utilisent. 260 professionnels, répartis sur l’ensemble de la région, sont engagés dans ce dispositif. Cinq collectivités, dont la Ville de Besançon, soutiennent la Pive. Selon cette même source, environ 200.000 pives sont en circulation.

L'interview de la rédaction : Antoine Monot, chargé du développement du réseau professionnel.

Numérique ou papier, la Pive est un moyen de paiement comme l’euro. Antoine Monot, chargé du développement du réseau professionnel, présente une monnaie « qui fait vivre les acteurs économiques locaux Â». « Choisir cette monnaie permet de relocaliser la richesse Â» - puisque les Pives ne peuvent s’utiliser que dans la région – et «  dynamiser l’économie régionale Â». M. Monot y voit également d’autres avantages : « elle est un accélérateur de la transition écologique, en favorisant les circuits courts et la consommation locale. Elle met aussi en exergue d’autres valeurs, liées à la consommation, telles que le réemploi, la recyclerie et l’agriculture paysanne Â».

L'interview de la rédaction : Antoine Monot, chargé du développement du réseau professionnel.

 Des comptoirs d’échange

Un réseau de quatre salariés et une cinquantaine de bénévoles se mobilisent pour convaincre de nouveaux commerçants et de nouveaux clients sur le territoire franc-comtois. Des comptoirs d’échange sont présents chez les commerçants partenaires, qui disposent d’une réserve de pives pour répondre à la demande. Par ailleurs, une application numérique a été déployée. Facile d’utilisation, elle donne les moyens à tout un chacun de remplir régulièrement son portefeuille numérique et, ainsi, de ne jamais être à court lors de ses achats.

 L'interview de la rédaction : Antoine Monot, chargé du développement du réseau professionnel.

La fête de la Pive

Elle se déroulera ce samedi à Besançon, au cœur de la place Granvelle. Une trentaine de producteurs, créateurs et artisans engagés seront présents. Comme le veut l’évènement, on fera également la fête, avec des animations pour petits et grands, des concerts, des ateliers et des jeux, avec à la clé des cadeaux offerts par les professionnels de la Pive.

Pour tout savoir sur cet évènement : www.pive.fr

Quelle belle fête ! Certains diront que cela coûte beaucoup trop d’argent en cette période de difficultés financières pour le pays, mais le passage de la flamme olympique dans le Doubs a apporté une dose de bonne humeur et de passion collective qui font du bien. A Pontarlier, des milliers de personnes ont fait le déplacement, ce matin,  pour suivre l’évolution de l’emblème. Pour l’occasion, la capitale du Haut-Doubs, ses élus, les enseignants et le milieu associatif et sportif ont su mobiliser.

L'interview de la rédaction : Denis Gérôme, président de l'association Commerce Grand Pontarlier

L'interview de la rédaction : Philippe Besson, élu en charge des sports à la ville de Besançon

 

 

 

FLAMME 3

C’est un cortège tout en couleur qui a suivi les 17 relayeurs officiels de la flamme olympique. Le coup d’envoi a été donné à 8h20 par le champion automobile Sébastien Loeb. Le Jurassien Quentin Fillon Maillet a conclu le parcours de quelques kilomètres. Les 3.500 enfants et adolescents français et suisses ont largement été associés à la fête. Tous avaient conscience de l’honneur qui leur a été réservée. On a chanté, dansé, bougé, marché pour accompagner au mieux la flamme olympique. Pour l’occasion, les plus petits avaient également préparé la danse des JO. Une magnifique et très enthousiasmante Flashmob. La flamme peut continuer son périple, jusqu’au 26 juillet, et son arrivée à Paris. On écoute ses enfants et adolescents au micro de la rédaction.

Les reportages de la rédaction

FLAMME 4