Le mois de mai n’a pas encore débuté que déjà les ponts eux sont au cœur de toutes les attentions. 1er mai, 8 mai, ascension…Quand poser un jour de congé pour profiter d’un week-end prolongé ? Et pour les enfants comment fait-on ? Bonne question ! Il est bon se rappeler que, comme le code de la route, celui de l’éducation explique la conduite à tenir, en l’occurrence l’assiduité :
« Lorsqu’un enfant manque momentanément la classe, les personnes responsables doivent, sans délai, faire connaître au directeur ou à la directrice de l’établissement les motifs de cette absence. Les seules raisons considérées comme légitimes sont les suivantes : maladie de l’enfant, maladie transmissible ou contagieuse d’un membre de la famille, réunion solennelle de famille, empêchement résultant de la difficulté accidentelle des communications, absence temporaire des personnes responsables lorsque les enfants les suivent. Les autres motifs sont appréciés par l’autorité de l’Etat compétente en matière d’éducation ».
Affaire qui peut remonter jusqu’au recteur d’académie avec, selon le même code une possibilité, purement théorique, d’amende en cas d’abus si un élève est absent quatre demi-journées en un mois dans le premier degré, et dix demi-journées en un mois dans le second degré.































