Dans un communiqué la CGT a réagi aux mesures formulées par le gouvernement pour sauver le site d’Alstom à Belfort. Pour le syndicat, « ces annonces représentent 2 à 3 ans d’activités pour Belfort et invalident le projet initial ».
Néanmoins, le syndicat ne cache pas ses inquiétudes pour l’avenir et sur ce qui se passera après 2020. Il demande des engagements, des garanties et une véritable stratégie industrielle.
Face à ces zones d’ombres, la CGT et FO ont réclamé « d’urgence » des assises nationales sur la filière ferroviaire. Michel Faivre Picon, le secrétaire régional de la CGT nous en dit davantage.































