Dimanche soir, la 3è édition du Hacking Health bisontin, le marathon d’innovation en santé, s’est terminée sur une note positive. Cette année, en présence de Luc Sirrois, le co-fondateur canadien du mouvement hacking Health, plus de 400 personnes (étudiants, ingénieurs, designers, graphistes, électroniciens, roboticiens, patients…) ont répondu aux 22 problématiques lancées. Composé de spécialistes indépendants, professionnels de santé ou représentants de patients, le jury du Hacking Health 2019 a distingué les projets les plus aboutis ou les plus prometteurs au terme de 48h de réflexion. On notera notamment la présence de dix écoles : ISIFC, ENSMM, Université de Franche-Comté, ERISEM, ESTA, UTBM, Access Code School, Université de Bourgogne, IMEA, STJO
Le palmarès
Projet le plus prometteur : APYC, seringue connectée, porté par Romain LÉGER Imaginer un dispositif à installer sur le corps de la seringue afin de suivre les paramètres d’injection et la rendre connectée.
Meilleure solution patient : Blood Keeper, pansement compressif, porté par Florian SIBILLE et Quentin VUILLEMIN.
Coup de cœur du jury : Tandicap, tandem pour personne en situation de handicap, porté par Jean-Christophe LAPAYRE.
Meilleure solution open source : PathoSearch, moteur de recherche pour l’anatomie pathologique, porté par Franck Monnien.
Solution la plus innovante : App-e Mot , application pour le suivi des nourissons, porté par Colin FROMION et Sébastien KRUMM.
Meilleur projet clinique : Assisthesia, aide aux anesthésistes, porté par Marie MONTCHABLON et Nathalie BOICHUT.
Meilleur impact en santé publique : Errance, géolocalisation des personnes atteintes d’Alzheimer, porté par Malvina BOURDENET et Caroline COIRNOT.
Mention OnlineFormaPro : Marco Colo, suivi de formation pour interne en coloscopie, porté par Maëva Charkaoui.
