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Besançon : Et la nouvelle piscine Chalezeule, qu’en pensez-vous ?

Une fois que l’on a montré patte blanche et que la sécurité veuille bien nous laisser travailler, nous avons demandé aux baigneurs présents ce qu’ils pensaient de la nouvelle piscine Chalezeule ? Depuis presqu’une semaine, le site, entièrement rénové, a ouvert ses portes au public après plusieurs mois de travaux. Les baigneurs portent un regard assez critique sur le site. Le chantier en cours pose quelques désagréments qui gâchent un peu l’enthousiasme des visiteurs.

L’absence de gazon et la présence de terre à certains endroits, de trop petits bassins, un pentagliss qui n’est pas connecté aux bassins, l’absence d’un espace aménagé pour les tout-petits reviennent en boucle. Certains regrettent le retard pris par les travaux dès l’été dernier et qui n’ont pas permis de respecter les délais cette année. « Mr Fouseret dit que les travaux ont duré deux ans. C’est faux. L’été dernier, le chantier a débuté très tardivement. Pourquoi ? Â» s’interroge ce père de famille, venu passer l’après-midi à Chalezeule. « Pour les nageurs, il est devenu impossible de faire de longues brasses comme avant. Ce n’est pas bien. Pourquoi n’ont-ils pas laissé le grand bassin d’avant ? C’était quand même mieux ? Â» ajoute Serge. « On s’attendait à quelque chose de plus grandiose. Ca manque de toboggans et d’installations ludiques. C’est quand même mieux à Dole Â» ajoutent ces jeunes baigneurs. « Je trouve que le coût est trop élevé par rapport au résultat final Â» complètent ces jeunes parents.

Cependant, tout le monde reconnaît le faible coût de l’entrée. Le tarif de 2,50 euros appliqué pour les adultes et 2 euros pour les enfants est très apprécié. Tout comme cette nouvelle offre à Besançon pour venir se rafraîchir quelques heures pendant cette belle période estivale qui commence.

Que tout le monde se rassure, d’ici une quinzaine de jours, les enfants devraient pourvoir s’amuser dans le splash pad, une aire de jeu qui devrait leur plaire. Quant à la terre, il faudra sans doute s’armer de patience avant de voir apparaître les premières herbes tant attendues.