Une affaire de violences conjugales a rapidement été gérée par la police pontissalienne. Le 26 février dernier, une mère de famille a appelé les forces de l'ordre car sa fille l'avait appelée pour lui dire que son compagnon la battait.
Les fonctionnaires se sont rendus à leur domicile. Ils ont alors découvert une femme ivre, présentant une forte pression au niveau de l'avant-bras. La victime présumée a subitement changé de version.
Elle a été conduite en cellule de dégrisement. Lorsque la lucidité lui est revenue, elle a reconnu avoir menti. Entendu lundi matin, son compagnon a expliqué avoir voulu se protéger et la protéger d'elle-même. L'affaire n'en est pas pour autant terminée. Les investigations policières se poursuivent.
