Le 15 mars prochain se déroulera le 1er tour des élections municipales. A Besançon, neuf candidats sont en lice. Dans le cadre de l’une de nos interventions à l’université de Besançon, nous avons demandé aux étudiants en licence 3 communication, option journalisme, de s’intéresser à ce scrutin et à ses acteurs. Remy P Ferro, Aline Bouchard , Antoine Michelat et Clément Courvoisier ont rencontré Eric Alauzet. Il nous présente leur papier du jour qu’ils ont mis en texte et en voix. Clément nous le présente.
Eric Alauzet, membre du parti La République en Marche, représentera la majorité présidentielle aux élections municipales de Besançon en mars 2020. Ce médecin généraliste acuponcteur est le candidat désigné par le parti LReM aux municipales de Besançon puisque Jean-Louis Fousseret ne se représentera pas pour un nouveau mandat.
Le programme d’Eric Alauzet se résume en trois grands axes : le social, l’écologique et l’économie. L’écologie tient à cœur à Eric Alauzet, il propose donc la végétalisation du centre-ville ou encore l’installation de plus de mille toits solaires dans les rues bisontines. Economiquement, Eric Alauzet souhaite renforcer la place, l’image de Besançon aux yeux des bisontins mais aussi aux yeux de l’extérieur. Il espère l’instauration d’un nouveau pôle Temis : Temis Environnement, situé aux alentours du site de la Bouloie. Enfin, la principale mesure sociale serait d’instaurer un conseil citoyen constitué de bisontins tirés au sort et formés par des experts, sur le sujet qu’ils choisissent, pendant une cinquantaine d’heures. Cette initiative permettrait de se prononcer entre autres sur le projet d’écoquartier des Vaites.
Dans son programme, un point a particulièrement retenu l’attention de certains : former des policiers municipaux afin qu’ils puissent s’équiper d’armes létales. « Plus de la moitié des villes y sont équipées. Cela permet aux policiers qui sont de plus en plus victimes de violences de se défendre » explique-t-il. « Cet équipement permettrait à la police municipale et nationale de mener plus d’actions collectives » assure le député de la 2ème circonscription du Doubs.
