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Grand Pontarlier : Mise en place des nouveaux bacs d'ordures ménagères

Depuis plusieurs semaines, de nouveaux bacs d’ordures ménagères ont été installés dans les foyers du Grand Pontarlier. La Communauté de Communes organise actuellement les opérations nécessaires à la mise en place de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères incitative (TEOMi).
Les nouveaux bacs distribués sont pucés afin de contrôler la production de déchets des foyers du Grand Pontarlier. La distribution s’effectue jusqu’au 19 octobre.

Pourquoi changer les bacs ?

« Nous avons dû remplacer 70% des bacs puisqu’ils étaient devenus obsolètes Â» explique Patrick Genre président de la CCGP.
Les 30% restants ont quant à eux été pucés et n’ont pas eu besoin d’être remplacés.

Comment va s’organiser la collecte des déchets au sein de la CCGP ?

La modification de la TEOMi s’échelonne sur trois ans. La phase d’enquête s’est terminée permettant ainsi l’installation des nouveaux bacs distribués aux habitants.
Pour chaque foyer, la taille des bacs distribués varie en fonction de sa profession, du nombre d’habitant et de la production de déchets.

« Certains sont passés de bacs de 240L à des bacs de 120L, il va falloir désormais prendre de nouvelles habitudes sur les questions de productions d’ordures ménagères. Chaque habitant de la CCGP devra avoir recours plus facilement aux points d’apports volontaires pour les déchets recyclables Â» explique P. Genre.

Sur l’année 2020, aucun changement de facturation n’aura lieu concernant la collecte des ordures. Des vérifications seront effectuées pour s’assurer que les équipements et les outils informatiques sont opérationnels.
Les premières facturations liées à la nouvelle TEOMi se feront via l’avis d’imposition de la taxe foncière en 2022.

Plus d’heures de collectes sur les points d’apports volontaires ?

« En effectuant les premières enquêtes sur les nouvelles habitudes des foyers, nous pourrons savoir s’il est nécessaire que le nombre de passages sur les points d’apports volontaires augmente. Nous analyserons également le besoin peut-être de proposer de nouveaux lieux de collectes Â» explique P. Genre.