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Pontarlier / Coupe Gambardella : Les U19 entrent dans l’histoire du club

En décrochant leur billet pour les 32ès de finale de la Coupe Gambardella, les U19 de Pontarlier viennent d’écrire une nouvelle belle page de l’histoire du club. Jamais le CAP football n'avait atteint ce niveau dans cette compétition. Une vraie fierté pour les joueurs et leurs éducateurs.

Depuis hier, Pontarlier connaît son adversaire pour les 32è de finale de la Coupe Gambardella, la Coupe de France des U19. Les petits protégés de Kévin Faivre affronteront, le 7 ou le 8 février prochain, l’équipe d’Orléans. Une nouvelle fois, la tâche s’annonce difficile. Mais, comme leurs aînés, les jeunes footballeurs du Haut-Doubs ne sont-ils pas meilleurs quand ils se sentent en danger ?

Kévin Faivre déjà sur le coup

Kévin Faivre, le coach pontissalien, n’a pas perdu de temps. A peine le nom de leur adversaire connu, qu’il s’est empressé de glaner quelques informations sur lui. Pour Kévin, il n’y a pas de doute, « c’est encore une grosse équipe Â» qui se présente à eux. « Ca à l’air d’être une équipe relativement athlétique, joueuse, qui marque beaucoup de buts mais qui en prend beaucoup aussi. Il y aura peut être une opposition de style, entre nous, qui sommes plutôt solides défensivement, et nos adversaires, qui cherchent à énormément produire de jeu, quitte à s’exposer Â» explique-t-il. En Championnat, Orléans occupe actuellement la 10è place de sa poule, à deux petits points seulement de la première formation relégable. En 32ès de finale, les Orléanais ont battu Niort. Une qualification obtenue aux tirs au but.

Un long déplacement

Au-delà de ces aspects purement footballistiques, Kévin Faivre craint le long déplacement qui attend son collectif. C’est la raison pour laquelle, il aimerait pouvoir déplacer le match au samedi 7 février. « On s’attend à un déplacement long et difficile. On aurait aimé une grosse affiche à Pontarlier. On rêvait de figurer dans le groupe sud et d’affronter des formations comme Marseille ou Monaco. Rien n’est perdu. Si on veut y arriver, il va falloir passer ce tour Â» conclut l’éducateur pontissalien.