Après un début de procès bien laborieux, l’accusée avait été « oubliée » à la prison de Dijon, la cour d’assises du Jura a condamné, en appel, la mère de famille, jugée pour le viol de sa fille, à huit ans de réclusion.
Cette condamnation est identique à celle prononcée en novembre dernier par la cour d’assises de Haute-Saône. Lors de cette première instance, le père avait été condamné à 15 ans de réclusion.
La mère, qui était poursuivie pour participation « active », avait choisi de faire appel.