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C’est une aventure musicale qui se termine, avant d’en relancer une nouvelle. L’artiste pontissalienne Jule vient de clore son triptyque de trois albums, qui composent le projet « les bruits de l’âme », lancé en 2022. Après « Hypersensible » et « Le Temps », « Résilience » vient compléter cette offre musicale. Désireuse de proposer  « quelque chose de plus musicale et festive », enthousiasmée par ses prestations scéniques et les concerts d’autres artistes, comme Claudio Capéo, lors de son passage à la « Paille », Julie Rousselet a voulu prendre un nouveau virage. L’artiste s’est émancipée. Elle a souhaité  donner une consonnance plus dynamique et techno à cette dernière création.

Une fois les doutes dépassés… 

« J’ai voulu des chansons beaucoup plus dansantes, énergiques, laissant plus de place à la musique qu’aux paroles, qui peuvent parfois être difficiles » explique-t-elle. Jule ne cache pas que ce virage musical a été émaillé de doute. Des interrogations qui se sont vite estompées lorsqu’elle s’est aperçue que ses compositions suscitaient toujours autant d’émotion et de partage avec son public. Pour mener à bien ce projet, la chanteuse a conservé sa sphère la plus proche, tout en faisant appel à Thomas Dapoigny, un beat-maker d’Yverdon-les-Bains, qui a aidé à cette évolution et conseillé ce changement. Jule n’en a pas pour autant perdu son âme. Elle reste l’instigatrice de ses réalisations.  Elle continue de penser et écrire les notes de musique et les mots qu’elle diffuse. Inspiré de son quotidien et de sa vie personnelle, « Résilience » est encore un bel hymne à la combativité, la rage de vivre, le partage et à l’amour des autres.

L'interview de la rédaction : Jule

Un set et un clip

Julie Rousselet n’entend pas en rester là. Son aventure musicale et artistique continue de se construire. Elle vient de créer un set, composé de 12 à 20 chansons, qui l’aidera à promouvoir toute cette riche expérience et lui ouvrir de nouveaux horizons. La scène reste plus que jamais un objectif. Des dates de concert seront communiquées prochainement. En parallèle, le public peut également découvrir « Je déteste », son dernier clip, issu de son dernier album, en ligne sur YouTube et son site internet ( www.jule-musique.fr )

Après six ans d’absence, la Fée Estivale est de retour dans le Jura, dans le village de Châtelneuf. Pour ses organisateurs, l’objectif est d’animer le milieu rural et notamment la commune jurassienne hôte et ses 150 habitants. Ce festival se déroulera en deux temps  ce vendredi et ce samedi. Au menu, deux soirées concert et une journée marché et spectacle.  Cette nouvelle édition présente une programmation éclectique, proposant des consonnances rock et festives, avec notamment de la  techno et du reggae.

Pour mener à bien ce projet, une équipe d’une vingtaine de personnes est mobilisée. « C’est un travail d’une année »  explique Justin Roche, un des bénévoles engagés dans cette aventure musicale et culturelle. Le collectif a plaisir de se relancer dans cette aventure. « C’est enthousiasmant de retrouver la dynamique d’organisation et de proposer quelque chose de culturel dans un village de cette taille. Cela nous semblait très important » explique Justin Roche.

L'interview de la rédaction / Justin Roche

 

Rendez-vous au centre du village de Châtelneuf ces vendredi 10, de 18h à 00h30 et samedi 11 mai, de 18h à 2h du matin. Le marché se tiendra de 11h à 17h samedi. Les spectacles se dérouleront entre 14h et 18h durant cette même journée.  Pour de plus amples informations : http://feeestival.weebly.com/

L’édition 2024 du Festival « d’Autres Formes », consacré à l’art numérique, a déjà trouvé son public en terre bisontine. Réparti sur trois semaines, il a rassemblé près de 7.500 personnes, contre 4.500 en 2023.

Une dizaine de lieux ont accueilli la programmation, qui a présenté six créations produites par des artistes locaux. C’est un public très varié qui s’est déplacé. Spectateurs et auditeurs confirmés et néophytes, venus parfois en famille, d’âges différents,  ont répondu présent.  

Voilà 18 ans que le groupe Let Dzur (les jeunes, en patois saugeais) fait vivre les fêtes populaires du Haut-Doubs. Leurs reprises et sons rock celtique, inspirés de Soldat Louis, ne sont plus à présenter. Il y a un an pile poil, entraîné par Justine Drezet, sa jeune chanteuse, le groupe s’est laissé tenter par la composition d’un titre. Pas habituée à ce genre d’exercice, et parce qu’elle ne se sentait pas légitime, la formation a fini par répondre positivement à l’appel des organisateurs locaux de la grande manifestation internationale agricole « Terre de Jim », qui se tiendra les 6,7 et 8 septembre prochains sur le territoire de Mamirolle, et qui leur demandaient de composer l’hymne de l’évènement.

 

L'interview de la rédaction : Martin Droz-Vincent ( chant, accordéon, cornemuse, guitare)

Coralie , la chanteuse de Cock Robin

L'interview de la rédaction : Fabrice Minary (clavier)

Soucieuse de réussir le pari qui lui était lancé, l’équipe a fait appel à Coralie Vuillemin, la sœur d’un membre du collectif, qui a collaboré, durant de nombreuses années, avec le groupe de new wave et pop rock américain Cock Robin. Sa connaissance du milieu de la musique a aidé à la création de « Je reviens », le nouveau titre étendard de l'équipe du Haut-Doubs. « Elle a apporté les images poétiques sur les textes. Elle a bien saisi notre projet, en s’identifiant au personnage principal de la chanson » explique Fabrice Minary (clavier). Lancé en mai 2023, le titre s’est construit progressivement. Le temps des paroles a laissé la place aux accords et à la musique, puis au tournage du clip, avant de livrer l’opus aux auditeurs, via les plateformes habituelles. Sorti le 1er mai dernier, « Je reviens » enregistre déjà une belle audience, qui devrait s’enrichir encore. « On est surpris par ce qui nous arrive. Nous ne pensions pas à cela » expliquent collégialement les membres de Let Dzur. 26.000 auditeurs ont d’ores et déjà été comptabilisés sur You Tube. De plus, comme l’explique Justine, « certaines personnes se sont déjà accaparées les paroles ». Une jolie reconnaissance.

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L'interview de la rédaction : Fabrice Minary (clavier)

Une histoire de copains du Haut-Doubs

L'interview de la rédaction : Justine Drezet ( chant)

L'interview de la rédaction : Justine Drezet ( chant)

Let Dzur, c’est l’histoire d’une bande de jeunes ados, qui ont grandi musicalement ensemble dans leur Saugeais natal. Agés de 24 à 37 ans aujourd’hui, ils sont définitivement liés avec le territoire du Haut-Doubs. Des origines, des valeurs, des savoir-faire et des paysages qu’ils ont voulus mettre à l’honneur dans cette chanson. Le projet est réussi. Les mots et les images décrivent  ce territoire qu’ils affectionnent, tout en évitant les clichés qui auraient pu le desservir. « Avec les Jeunes Agriculteurs, nous voulions mettre en valeur la ruralité du territoire, au-delà de l’agriculture. On voulait que cela parle au plus grand nombre, même à ceux qui ont quitté la région » explique Justine, la chanteuse. On peut adresser une très bonne note à Fabrice, Martin, Nicolas, William, Fabien, Simon, Maxence, Julien, Charles et Justine. Leur union a permis de répondre aux attentes des agriculteurs locaux, tout en donnant naissance à un titre joyeux, chantant et dansant, qui fleure bon le Haut-Doubs et la Franche-Comté.

L'interview de la rédaction : Justine Drezet ( chant)

A peine son aventure à « The Voice » terminée que Lou Beurier est déjà repartie pour de nouvelles aventures et projets musicaux. Pour la jeune artiste pontissalienne, l’été sera une nouvelle échéance importante. En compagnie de son producteur Mike Fahrni, elle fignole son premier album, baptisé « l’heure idéale », dont les premières notes ont déjà trouvé des oreilles attentives, à travers « jalousie », le premier single, sorti en mars dernier. Dans quelques semaines, les nombreux fans pourront se précipiter sur cette création, qui devrait compiler une dizaine de titres, entièrement écrits par l’artiste. « Je m’amuse dix milles fois plus sur scène lorsque j’interprète mes chansons. Le partage avec le public est bien meilleur ».

Pourquoi « l’heure idéale » ?

Comme toutes les personnes qui savent se remettre en question, Lou reconnaît un petit passage à vide, qui semble lui avait été salvateur. « L’heure idéale » correspond à cet instant qu’elle juge être le bienvenu pour sortir cette nouvelle expérience musicale, qui l’ « enthousiasme énormément ». D’autre part, à travers les musiques et chansons, qu’elle propose, cette adolescente, jeune femme, s’interroge également sur son devenir et sa place dans cette société. Comme tout nouveau projet, celui-ci lui a ouvert d’autres horizons, Lou a rejoint un groupe de jeunes musiciens bisontins, âgés de 17 à 22 ans, avec lequel elle prépare ses futures prestations scéniques.

Le kiff de la scène

Il n’y a pas de doute. L’été de Lou Beurier sera bien rempli. Plusieurs dates de concert s’organisent pour juillet et août prochains. « Je vis pour la scène. Je veux que les gens m’écoutent et me voient. C’est important. Mon kiff, c’est vraiment le contact avec le public » explique-t-elle. Pas question de se mettre la pression et d’oublier les échéances scolaires à venir. « On prend notre temps. Il faut que cela reste un plaisir et une passion. On verra bien pour la suite » termine-t-elle avec sagesse et lucidité.

L'interview de la rédaction : Lou Beurier et sa dernière chanson "Jalousie"

Jusqu’au 20 avril, le Bastion,  la Rodia et Mazette ! accueillent, jusqu’au 20 avril, l’évènement « Musiciennes à Besançon ». Il s’agit d’un temps fort autour de la création féminine et des minorités de genre. Cette initiative permet aux participantes, en l’occurrence trois artistes, de bénéficier d’un accompagnement artistique encadré par des professionnels pour travailler son projet. Au programme des concerts et des temps de rencontre, d’échange et de conférence. Pour tout savoir sur cet évènement : https://musiciennes-mab.fr/

On ne la présente plus. Du haut de ses 17 ans, Lou Beurier a réalisé un déjà beau parcours artistique. Il n’empêche que la jeune chanteuse veut encore aller plus loin, tout en portant un regard lucide sur le monde musical, qu’elle fréquente depuis l’âge de 8 ans.

Ce samedi, parce qu’elle aime les défis et connaît les pouvoirs fulgurants de la petite lucarne, Lou participera à l’émission « The Voice ». C’est avec un des tubes de Miley Cyrus, « Flowers », que la Pontissalienne a tenté de séduire le jury du célèbre télécrochet de TF1, composé de Bigflo et Oli, Zazie, Micka, Vianney et Camille Lellouche. Quatre ans après sa participation à l’émission de Nagui « N’oubliez pas les enfants » et le casting de l’émission « The Voice Kids »,  la jeune femme  retrouve les caméras de télévision. Sollicitée par la production de l’émission, l’artiste a tenté sa chance. Son mérite est d’autant plus grand qu’ils étaient 60.000 au départ,  pour espérer apparaître dans le programme.

Un album en préparation

Depuis près de 10 ans, cette élève de première, qui passera le bac de français en juin prochain,  ne cesse de fréquenter les scènes et salles de spectacle de la région et d’ailleurs. Durant cette décennie, elle a réalisé quatre opus. Cet été, parmi ses nombreux autres projets, c’est un album qui sortira. En attendant, le 22 mars, ses nombreux fans pourront découvrir « Jalousie », le premier extrait de cette nouvelle création. Lou Beurier n’a pas fini de faire parler d’elle. Le public de TF1 pourra découvrir toute la gamme de son talent. Pour l’heure, le secret est bien gardé concernant l’épilogue de cette prestation télévisuelle. La petite lucarne est loin d’être une fin en soi. La Pontissalienne  sait que les réseaux sociaux sont également un formidable outil promotionnel. Tout comme la scène. Une expérience unique pour tous les artistes de France et de Navarre.

L'interview de la rédaction : Lou Beurier

C’est peut-être le début de quelque chose, mais l’étudiant bisontin Emmanuel N’Die veut garder la tête sur les épaules et ne surtout pas s’emballer.

Du haut de ses 22 ans, le jeune homme baigne dans la musique depuis une dizaine d’années. Depuis quelques mois maintenant, les projets se concrétisent et des portes se sont ouvertes. Il y a un an, le jeune artiste bisontin a rejoint le projet « à toi la scène », basé à Lons-le-Saunier, au Bœuf sur le Toit, piloté par Aurélien Bouveret, le programmateur du Festival de la Paille, et ses équipes de professionnels. Une structure qui a retenu la candidature de ce jeune homme, plein de compétences et de valeurs. En son sein, il y append l’univers de la musique, avec pour finalité la naissance d’un groupe musical. En parallèle, ce jeudi soir, Eli F. Baptist sortira son premier single « Mond », qui aura le privilège d’être diffusé, demain soir, sur TF1, au générique de la série Léo Matteï de Jean-Luc Reichmann. Car oui, Eli est aussi comédien.

ELI MATTEI

Léo Matteï

Grâce au carnet d’adresses d’Aurélien Bouveret, son directeur et manager, le jeune homme a conquis la production de la série à succès de la première chaîne. Après quelques apparitions, aux côtés de Théo Fernandez, qui a lancé sa carrière dans le film « Les Tuche », Eli a pu montrer toute la gamme de son talent dans ce nouvel épisode, où il joue le rôle de Bastien, un colloque de la mère de Matteï, le célèbre personnage tenu par Jean-Luc Reichmann.  Une belle opportunité pour cet étudiant en 3è année de licence de Arts du spectacle à Besançon.

Carpé Diem

Le jeune artiste veut profiter de cette dynamique prometteuse pour s’inscrire dans la durée. Un bon moyen pour faire connaître son univers pop, électro et R’N’B. Eli fourmille de projets musicaux et médiatiques. On le retrouvera sur la scène régionale cet été, notamment à Ruffey-sur-Seille. On pourrait également le revoir très rapidement dans le petit écran. L’idée de concourir à The Voice ou la Star Académy trottent également dans sa tête.

L'interview de la rédaction

La slameuse franc-comtoise Chloé M., originaire du Jura, poursuit son petit bonhomme de chemin. L’artiste trace sa route et continue de bien grandir et asseoir son autorité, grâce à ses multiples expériences artistiques. Si son parcours régional n’est plus à démontrer, Chloé a passé la vitesse supérieure, en espérant gravir encore les échelons. L’année 2023 s’est inscrite dans une nouvelle dynamique, 2024 devrait l’être davantage. Son grand objectif est de multiplier les concerts dans la région, mais également au-delà de ses frontières.

Comme elle le dit si bien, Chloé M. « veut passer un palier supplémentaire ». 2023 lui a ouvert des portes, qui lui semblait encore difficile à franchir. Finalement, le travail, la passion et l’abnégation ont payé. En novembre dernier, la Jurassienne assurait la première partie de Benjamin Biolay à Bordeaux. Quelques mois plus tôt, à l’invitation de l’Institut Français de Côte d’Ivoire, en compagnie de trois autres slameurs internationaux, elle participait à un festival de Slam à Abidjan. « Cette invitation m’a, à la fois, surprise et rendue fière. J’avais remarqué que mes vidéos étaient très appréciées en Afrique, mais je ne m’attendais pas à un tel accueil » explique-t-elle.

Un clip tourné à Pontarlier

Pour atteindre son grand objectif de toujours et encore performer, et notamment multiplier les expériences scéniques, Chloé M. vient de terminer un clip promotionnel, qui sera diffusé dans le courant du mois de mars sur les réseaux sociaux, et notamment YouTube. Tournée au théâtre du Lavoir, cette vidéo s’avère être un outil indispensable pour élargir son audience, conquérir un nouveau public et convaincre les organisateurs de festival et de salles de concert que le slam fait bel et bien partie du spectacle vivant.

chloe M

 

Détermination

Chloé M. est déterminée à réussir ce challenge qui s’ouvre à elle. Elle n’en oublie pas pour autant sa région de cœur. Dans quelques semaines, elle poursuivra ses ateliers d’écriture, en rencontrant des collégiens à Arbois. Par ailleurs, deux dates de concert figurent déjà à son agenda pour cette année. Le 22 mars, elle participera au Festival des Moineaux et se produira au Bastion à Besançon. Le lendemain, dans le cadre de la semaine de la Francophonie, Chloé M. Interprètera ses créations à la salle Villarceau de Besançon, à partir de 17h30.

L'interview de la rédaction / ChloéM.

En ce début de semaine, les Eurockéennes de Belfort viennent de dévoiler la programmation définitive de la prochaine édition du festival franc-comtois. Les organisateurs ont annoncé la venue de valeurs sûres, telles que The Prodigy et Royal Blood. A leurs côtés des révélations francophones (Julien Granel  et Yamê), mais également des talents locaux (Horskh, Dirty Deep, Pierre-Hugues José). Rappelons qu’une première salve d’artistes avait dernièrement été présentée, avec des têtes d’affiche comme David Guetta, Lenny Kravitz, Bigflo et Oli, Zaho de Sagazan, …. .