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Danielle Brulebois, la députée jurassienne de la majorité présidentielle indique que, dans le cadre de l’épisode de gel tardif, qui a dévasté le vignoble jurassien, elle a sollicité le gouvernement. Elle a demandé le déclenchement de l’indemnité de solidarité nationale, la mise en place de mesures exceptionnelles, un soutien à la trésorerie, le report de charges et l’évolution de la dotation d’épargne de précaution et de la fiscalité des stocks. Suite à cette démarche, Gabriel Attal devrait s’adresser directement, prochainement, aux acteurs de la filière viticole jurassienne.

A presque un mois des élections européennes, qui se dérouleront le 9 juin prochain, la Maison de l’Europe et la région académique de Bourgogne Franche-Comté, avec le soutien de la Ville de Besançon, organisent, ce jeudi, une simulation du conseil des ministres européens sur le thème du Pacte vert et la neutralité carbone. Une trentaine d’élèves du lycée Pasteur joueront le rôle des Ministres des Etats membres et mèneront des débats pour trouver un compromis et adopter un texte fictif sur l’environnement, l’énergie et l’industrie automobile.

La Ville de Besançon recherche des personnes volontaires pour tenir les bureaux de vote lors des élections européennes du dimanche 9 juin. Ses missions sont de vérifier l’identité des électeurs, faire signer la liste d’émargement et apposer sur la carte électorale le tampon portant la date du scrutin.

Pour candidater, il faut être inscrit sur les listes électorales et se présenter à l’accueil de la mairie, au 2 rue Mégevand,  ou écrire à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , en joignant une copie de votre pièce d’identité, les coordonnées pour vous contacter et le bureau de vote dans lequel vous souhaitez être affecté.

Dans le cadre d’un appel à projets, lancé par l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée, le projet de territoire, défini par Grand Besançon Métropole (GBM) a été retenu parmi les 21 sélectionnés. Porté par GBM et le Syndicat Intercommunal des Eaux du Val de l’Ognon, avec l’appui de la Chambre Interdépartementale d’Agriculture Doubs- Territoire-de-Belfort et de la Fédération Départementale des Chasseurs du Doubs, ce dispositif, appelé Paiements pour Services Environnementaux (PSE), vise à rémunérer les efforts des agriculteurs en faveur de l’environnement. Le montant de la contribution s’élève à 3,4 millions d’euros, dont 3,1 millions d’euros d’aides pour les agriculteurs.

Sur un vaste territoire, allant de Four à Clerval, en passant par Nancray et Valdahon, ce sont 27 exploitations agricoles qui sont engagées dans cette démarche. Ce qui représente une surface totale de plus de 4.000 hectares. Précisons que le périmètre des PSE a été défini à partir des ressources stratégiques en eau potable du Grand Besançon (captages de Saint-Vit, de Geneuille/ Vallée de l’Ognon, source d’Arcier et karst profond de la Vallée du Doubs), auxquels s’ajoutent les enjeux de biodiversité et de qualité des eaux superficielles identifiées sur ce territoire.

L'interview de la rédaction / Christophe Lime

 

PORT DOUVOT EAU PARTENAIRES

Thierry De Costerd ( Président du SIVO, le Syndicat des Eaux du Val Marnaysien) Stéphane Sauce ( élu à la Chambre d'Agriculture Doubs Territoire-de-Belfort) et François Rollin ( directeur de la délégation de l'Agence de l'Eau Rhône Méditérannée Corse)

Rémunérés à hauteur des services rendus

Lancé en 2020, ce dispositif est financé sur cinq ans. Concrètement, un système d’indicateurs, évaluant les performances environnementales d’une exploitation agricole a été mis en œuvre. La replantation de haies, la quantité d’azote émise, l’utilisation d’herbicide, la composition de la biodiversité ( abeilles, invertébrés, papillons, verres de terre, oiseaux) font partie des éléments évalués. Les premiers résultats ont été récoltés et sont prometteurs. Il a été constaté par exemple une réduction de 25% de la quantité d’azote. Près de 8 kilomètres de haies ont été plantées. L’objectif final est d’atteindre 20 kilomètres de haies et 220 arbres isolés. Désormais, les différents acteurs réfléchissent à la pérennisation des actions mises en œuvre et la capacité de les financer au-delà de 2025.

L'interview de de la rédaction / Stéphane Sauce

 

Demain, mardi 30 avril, Ensemble ! organise une réunion débat sur la situation au Sénégal, suite à l’élection récente d’un nouveau président, issu de l’opposition. Le débat sera introduit par Mansour Diawara, né au Sénégal, juriste de formation et enseignant. « Un nouveau président élu. Quel avenir ? » sera la problématique abordée. Le rendez-vous est fixé, à 18h, à la salle Bidaut, bâtiment du Kursaal à Besançon. L’entrée est libre.  

Ce dimanche 28 avril, à l’occasion de la journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, le Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon a inauguré son jardin baptisé « Résurrection », en hommage à tous les déportés de la Seconde Guerre Mondiale. L’endroit bisontin, qui forme un triangle symbolique, avec le Musée et la place des Déportés, porte le nom d’une variété de rose qui le compose. 600 lieux en Europe accueillent cette fleur, dont les premières plantations ont vu le jour lors de la libération du  camp de Ravensbrück pour honorer les victimes.

L'interview de la rédaction : Alexandre Arnodo, directeur de la Citadelle

Cette rose incarne l’espoir, la liberté et la paix. Cet endroit est le deuxième jardin créé par la Ville à la Citadelle, qui souhaite le développement de ces initiatives,  « qui incarnent l’identité culturelle et paysagère du site ». Dernièrement, c’est le jardin Vauban qui est sorti de terre. D’autres seront progressivement intégrés au paysage de la Citadelle. Cette initiative contribue également à la végétalisation des lieux. Par cette démarche, la Ville de Besançon veut favoriser la biodiversité, développer des projets éducatifs et de sensibilisation à l’environnement et créer de lieux de contemplation et de repos pour les visiteurs.

L'interview de la Citadelle : Gaëlle Cavalli, responsable valorisation monument à la Citadelle de Besançon

L’examen du projet de loi sur la fin de vie devrait s’achever le 7 juin. « Le vote solennel s’il y en un interviendra le mardi 11 juin » a annoncé Yaël Braun-Pivet ; la présidente de l’Assemblée Nationale. Rappelons que la commission spéciale constituée par l'Assemblée nationale a commencé, le 22 avril dernier, un cycle d'auditions destinées à préparer l'examen du projet de loi sur la fin de vie. Le texte arrivera dans l’hémicycle de l’Assemblé Nationale le 27 mai

Le  collectif de soutien au peuple palestinien organise un nouveau rassemblement ce samedi après-midi, à Besançon, pour « faire pression sur le gouvernement pour arrêter la guerre qui se déroule à Gaza, menée par l’état israélien, et pour l’arrêt de la colonisation en Cisjordanie ». 

Le collectif exprime « sa solidarité avec le peuple palestinien, malgré la répression qui s’abat en France contre les militants et les élus, sous prétexte d’apologie du terrorisme ». Le rendez-vous est fixé à 14h sur l’Esplanade des Droits de l’Homme.  

Contre ce qu’il appelle « le musellement de voix engagées sur le conflit israélo-palestinien et face à la gravité des atteintes aux libertés publiques », un large collectif de personnalités, syndicats et d'associations, où l'on retrouve le Syndicat de la Magistrature, la Ligue des Droits de l’Homme,  la CGT ou encore le Planning familial, dénonce « une limitation inacceptable du pluralisme démocratique ».

Le collectif vient de publier, sur Médiapart, une tribune dans laquelle, il exprime « sa plus vive préoccupation » et les convocations par les services de police et les enquêtes en cours « pour intimider » des militants associatifs, syndicaux ou politiques.

Depuis quelques jours, les premières bornes de recharge électrique de Grand Besançon Métropole sont en service. Elles sont située avenue des Montboucons à Besançon et dans les communes de Cussey-sur-l’Ognon et de Geneuille. Au total, d’ici la fin de l’année, 84 bornes seront installées sur le territoire.

47 bornes seront positionnées à Besançon et 37 dans les communes autour de Besançon. Un marché public a été signé pour atteindre cet objectif. Par cette décision, la collectivité souhaite « accompagner les utilisateurs de véhicules électriques et réduire les émissions de polluants atmosphériques et la dépendance aux énergies fossiles ».