Ce week-end, on dispute la 26è journée de championnat en national 3. Contrairement au SC Clémenceau qui se sait déjà condamner, l’US Saint-Vit peut encore se sauver. Certes, la mission s’annonce périlleuse, mais Jean-Luc Jouffroy, son coach ne veut pas perdre espoir. « Tant qu’il y a encore une petite chance, il faut jouer le coup à fond » explique-t-il. La tâche est d’autant plus compliquée que le calendrier qui attend les Saint-Vitois l’est tout autant. Sur les cinq derniers matches qu’il lui reste à disputer avant la fin de la saison, le groupe devra affronter trois équipes qui jouent la montée en national 2 : Sochaux (2), Pontarlier et le Racing. Les deux autres matches se joueront contre Clémenceau ce dimanche, à 15h, à domicile et à Avallon le 28 avril.
Jean-Luc Jouffroy ne veut pas exprimer de regrets, même s’il reconnaît que la défaite contre Pontarlier (1-0) à la reprise de janvier a laissé des traces dans les têtes. Il espère que son équipe aura le mental qu’il lui faut pour venir à bout des bisontins de Clémenceau. Sans quoi, les espoirs de maintien s’envoleront vraiment cette fois-ci. Saint-Vit reste sur une défaite à Quétigny (3-0) la semaine dernière. Une très mauvaise opération face à un prétendant au maintien.
